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Superwonderscope

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Tout ce qui a été posté par Superwonderscope

  1. [quote="Allan Theo"]Bon bin je viens de le voir. Long, mou et ennuyeux. [/quote] Oui mais l'Astoria est confortable avec une douce chaleur moite des aisselles en sortant, hein?
  2. Oui mais tout ce qui est tatoué est à moué.
  3. Je vais te résilier ta face toi tu va voir ! Tututututt... attention...c'est moi qui ai le pouvoir de résilier des trucs....moi je dis ça...je dis rien, hein...
  4. pareil Idem Dingue! Ehhh J'ai un copyright pour celui la ! FTR!
  5. Hm... ce film manque de mime qui surgit de par derrière Bon ben euh bof, quoi. Ce n'est pas incompétent ou ennuyeux ou moche, c'est juste sans intérêt. Penelope en médecin de l'OMS n'est pas crédible pour deux francs CFA. Matthew est joli. voilà. Mais de bons seconds roles (Zahn , bien enjoué) Belle séquence d'ouverture qui canarde bien, avec de jolis SFX. Tonitruant, il laissait augurer...que nenni. Le scénario essaye d'élaborer du film d'aventure responsable (chasse au trésor & considérations médicales & écologiques), c'est déjà un truc de gagner sur les films d'aventures à prétensions mystico-fumeuses à la Indy de mes fesses. Mais ça reste balourd et assez démonstratif. meme si le tandem Zahn/McConaughey foctionne plutot bien, ça pédale un peu dans le vide. Visuellement parlant, le film gagne surtout sur la fin. Parce que même les traits d'humour pendant les poursuites en bateau, chameau et tutti quanti ne sauvent pas une banalité de mise en image. Sinon, le film est en droite ligne du "french bashing" à la mode ces temps-ci aux USA. Les français sont des etres retors, torves, mielleux et il ont un problème avec les déchets toxiques (déjà que Mururoa, hein!). Et pis le Mali, ouhlalalalalalalala, quel pays affreux dirigé par ouhlalalalallalala un méchant, j'vous dit qu'ça. heureusement que neuya des Touaregs gentils et opprimés ohcépabien. Morale à un dollar troué, bonne conscience généralisée et roulez jeunesse. A toute chose malheur est bon. les suites envisagées ne verront pas le jour. Amusant: Lambert Wilson a tourné à 20 ans de différence dans deux films qui portent le même nom (le premier fut le navet produit par Golan Globus avec brooke Shields. j'ai cru comprendre qu'il le regrette aujourd'hui )
  6. [quote="meltingman"]MON DIEU QUE C'EST MAUVAIS !!!!! L'acteur principal joue comme une nouille. Les effets de peur sont tous des "bouh" ridicules. L'idée est sous-exploitée voire carrément incohérente. Et je ne parle pas du déchainement de pixels pour la scène finale, ridicule jusqu'au bout. (rah la la la tête du Boogeyman, on se croirait dans le "Cobaye 2") En plus l'idée est presque entièrement piquée à la nouvelle de Stephen King "le croque-mitaine" ("the boogeyman" in zi original lainegouaidje), qui arrive à faire monstrueusement peur en 10 pages, ce que n'arrive jamais à faire ce film. Ma note : a fuir / 1500[/quote] OK c bon, on peut tous y aller sans crainte, donc
  7. Superwonderscope

    Les genres du bis ?

    AaAaAaArgggghhhhhhhhh SACRILEGE! Tu mérites le bucher! ca sent le coup de pieds L'archer et la sorcière est un téléfilm de Nicholas Corea (et une bonne daube, ceci dit en passant) Albert Pyun a réalisé l'Epee sauvage mais certes, c'est de l'Heroïc Fantasy.
  8. Spéciale dédicace DPG qui voulait un avis Instannément culte à sa sortie totalement ratée aux USA, balancée comme un kleenex malpropre par la Paramount, le film s'est pris une vautre incroyable, des critiques bien sur assassines, donc DTV chez nous. Marci Feld (Lisa Kudrow) est forcée de reprendre le controle d'un label de rap détenu -sans qu'il le sache- par son père. Elle essaie ainsi de controler les débordements d'une star du rap, Dr S (Damon Wayans) qui attise les foudres d'une senatrice ultra-conservatrice (Christine Baranski). La menace de boycott aidant, Marci voit sa vie de parfaite petite bourgeoise avide de shopping et de galas de bienfaisance totalement remise en question. Incohérence et laideur visuelle digne d'un téléfilm Hollywood Night sur TF1, il est techniquement inepte. Lisa Kudrow n'a jamais été aussi inexpressive : elle semble perdue, hagarde : incarnation véritable de la potiche molle du bulbe. Aucun scénario en vue : les scènes semblent hachées, vaguement rattachées les unes aux autres par un argument aussi fin d'une feuille de papier à une face. La durée du film et la décision du studio de la sortir sans publicité, sans projection de presse indique clairement un dégazage de produit dont personne ne souhaite. MAIS Néanmoins, quelque chose surnage : certains gags sont en effet à hurler de rire, dommage qu'ils ne soient pas reliés les uns aux autres. En prenant le film au 94eme degré, il est en effet plutôt drôle : Marci X appartient à la catégorie des films tellement mauvais qu'ils en deviennent drôles. L'interpétation du rappeur controversé par Damon Wayans est démesurée. Prenant tout le clinquant possible et imaginable (dents en or, collier argent-dorés, coiffures impossibles, habits baggy surnotés..) afin de mieux démonter les clichés inhérents au hip hop, . certaines chansons du film font mouche de par leur contenu "The Power is in my pants" ("le pouvoir est dans mon froc") auquel répond Marci par "The power is in my purse" ("le pouvoir est dans mon sac à main"). Egalement très fin et fun "...In the butt" ("dans le cul"). les paroles se répétant ad vitam par "take it in the butt - yeah...take it in the butt-yeah..". le film est classé R Christine Baranski en sénatrice ultra-conservateur est à se rouler par terre(elle s'appelle d'ailleurs Spinkle...allusion à Annie Sprinkle ?) et, honnetement, sa scène de danse sur du rap est un grand éclat de rire . les dialogues sont aussi bien dans le ton. Son fils lui indique que le chanteur de rap Dr S est très populaire et elle répond : *Non il n'est pas populaire partout. Nous sommes des millions à le penser et ça s'appelle l'Utah" Le film adopte également un point de vue inattendu plutôt gay friendly. Un boys band catho ( Boyz R Us) cest supposé, dans un spot TV, proner l'abstinence sexuelle entre fille et garçon jusqu'au mariage. Etant obligé de supporter ce message, le rappeur obtient un moment de formation avec le groupe...et le boys band transforme sa chanson pour donner sa version gay : pas d'abstinence mais surtout du plaisir dans les rencontres. Les gestes deviennent explicites et le coming out des quatre garçons est total. Qui plus est, le fils de la sénatrice conservatrice devient un fan (et même plus!) et proner le nouveau message du groupe à la fin. A voir également à la fin du film nos quatre gays refaire une version 21eme siècle très libérée des chansons des Village People. (et annoncer qu'ils ont couché avec Eminem ) Un ton très progressiste (relation inter-raciale, ton gay-friendly, moquerie de la religiosité des débats politiques et des questions raciales), et surtout une scène d'amour & de baiser inter-racial qui est toujours pratiquement tabou à Hollywood. Le scénario du film est écrit par Paul Rudnick (un des rares scénaristes out), qui a écrit, entre autres, Jeffrey, In & Out, Les Valeurs de famille Addams. Bref, après l'avoir vu en salle à NYC -une salle pleine à majorité de blacks totalement déchainés et hilares -, je l'ai trevu avec un énorme plaisir, rigolant à des trucs totalement idiots dans un film mal fichu mais plutot bien vus. j'adore Pour le DVD : c'est rien du tout. 1.85:1 avec 16/9eme (très bonne qualité, il faut le reconnaitre) VO en 5.1 avec VF 5.1 et st français. (itou ci-dessus) chapitres et c'est tout!
  9. [quote="Lucius Dunn"] ... mais écoute cela fait quelques jours que je l'ai ressorti, et je n'arrive plus à en décrocher Tellement Jerry, Tellement Goldsmith ! (le thème [b]A Lot Better[/b] WOAW : frisson, bonheur, joie) [/quote] Nous avons les mêmes gouts par contre, je me demande quand une version intégrale sortira... il manque quelques morceaux, tout de même (notamment la scène entre peter weller et Richard Crenna lorsqu'ils parlent du sous-marin russe : il y a une superbe mélodie absente du CD )
  10. [quote="Lucius Dunn"][img]http://users.tpg.com.au/adsly0so/jpg/leviathan.jpg[/img][/quote] La plus belle composition de Jerry pour moi (je suis pas DU TOUT objectif sur ce coup-là, je sais ) Au fait Lucius, j'avais pas remarqué à quel point tu ressemblais à : 1/ Jakob Sveistrup (le représentant du danemark pour le concours de l'Eurovision) 2/ Nicolas Duvauchelle C'est encore plus frappant dans sa pub pour Hugo Boss Dingue!
  11. 2 euros en Grèce. Je dis ça, moi, je dis rien, hein
  12. [quote="Allan Theo"]Il est sortis le Geri !!! [/quote] yes et il est très bon
  13. [img]http://images.play.com/covers/646771m.jpg[/img] oh ça va hein [img]http://www.lakeoftears.net/img/cover_fa.jpg[/img] en fait, j'ai entendu une chanson dans un magasin de CD et j'ai acheté sur un coup de coeur. résultat, deux chansons de potables. [img]http://images.play.com/covers/632886m.jpg[/img] oh ça va, hein (bis)
  14. Kikavu? pete? dispochez le buralo à 11,99€ (un peu cher, quand meme ) avec aussi dany Saval (ouch!)
  15. Superwonderscope

    Les genres du bis ?

    bé pour mon apport sur le film russe Ekipazh, je ne trouvais pas les films catastrophe, qui sont un genre à part entière Et quant on voit des jolies extravagances comme cataclysme forcre 7-9, La Submersion du japon, Horizons en Flamme Super express 109 ou Deluge sur la Ville... il y a de quoi faire! Chais pas mais pour moi... ça manque. Et pis je dirais plutot Girls with guns (car elles en ont généralement plus d'un en main )
  16. C'est quelque part le film le mieux écrit de Jean Rollin (dont j'aime beaucoup la Rose de fer, aussi). Et c'était la première fois que le revoyais en dix ans... et je le trouve, malgré ses défauts ça et là, toujours aussi... fascinant. Toujours proche de son thème de prédilection des deux jeunes femmes complices, à la lisière du fantastique et de l'amour, il donne une nouvelle variation sur le thème du vampirisme. Où une société de jeunes bourgeoises du début du siècle, non contentes de se reunir dans un abattoir afin de boire du sang de boeuf, se reunisent une fois l'an afin d'étancher leur soif de sang humain. Quelques belles scènes : la plus connue, la plus belle, avec Brigitte Lahaie armée d'une faux, en cape noire et bottes, sur un pont en train de poursuivre et tuer ses victimes. La scène d'amour en Brigitte Lahaie et l'un des bandits, qu'elle finit par tuer d'un coup de poignard. La camera y est assez mobile au sein des decors naturels, cela donne un mouvement un peu inédit chez Rollin. Visuellement très soigné, en costumes, il se termine par une scène nocturne avec ses demoiselles habillés d'une gaze de couleurs se jettant sur la victime désignée afin de lui boire son sang. Irréel, entre le reve et la réalité, Rollin touche son but. L'originalité de Fascination, c'est son absence de fantastique quant au thème des vapires. le film tente de se raccrocher au réel, en axant son récit sur le fétichisme du sang. La guérison de l'anémie apr le sang de boeuf sest transformant en addiction et en fétichisme mortel par certaines dames de la haute. Je reste dubitatif sur la nécessité de la scène entre Franca mai et Brigitte Lahaie, qui relève plus du fait de céder à un quota obligatoire de chair féminine que de besoin narratif. Elle apparait trop artificielle. Au final, il est plus facile pour les amateurs d'art et essai de s'y retrouver dans le cinéma de Rollin que les fans de films de genre. ceux-ci, plus critiques envers Rollin de par son rythme alangui, ses références littéraires, sa direction d'acteur proche de l'onirique -au diapason de l'atmosphère générale du film ici- et , plus certainement, sa volonté de ne pas céder aux facilités des codes du genre fantastique ou d'horreur, le rejettent généralement en bloc . Ceci dit, les chantres de la politique d'auteur rejettent aussi occasionnellement le travail de Rollin, de par le coté un peu exploitatif de son cinéma (scènes dénudées, lesbianisme prononcé, quelques scènes sanglantes...). Etant à la croisée des genres et tentant d'en effacer les frontières, un peu à la manière des serials qu'il affectionne tant, Rollin, avec Fascination (et ses autres films), divisera encore aujourd'hui, j'imagine. Mais pour ma part, Fascination reste un bel objet filmique, reposant sur l'excitation de l'intellect et des sens plutot que de céder aux sirènes de la facilité.
  17. Vu sur un DVD Z2 grec en scope 16/9 , VO anglaise mono sur 1 canal et st anglais. avec le film annince d'origine. C'est beaucoup mieux que je ne l'imaginais! J'avais lu divers papiers l'annonçant comme inférieur à l'original...bé...ppour moi c'est le contraire . Je le trouve beaucoup plus fun, mieux rythmé avec une collection de coup de tatanes (elle frappe la bougresse ) de Tamara Dobson qui valent le détour. De plus, de voir son acolyte asiatique (très jolie au demeurant) kicker tout aussi bien que de lancer des flechettes à froufrou rouge , spamal. Le défilé de fringue que tamara Dobson fait , c'est aussi l'hallu totale. A l'instar de Pam grier dans Foxy brown, elle change de tenue à chaque scène, et les chapeaux Denfert rochereau défilent aussi...jusqu'à la tenue finale, très sexy et décolletée Les maquillage soutranciers complètent le tableau très chargé...mais malgré les platform shoes, cela ne l'empeche pas de courir, sauter, tirer dans le tas! La niveau de destruction culmine avec le final qui atomise littéralement le casino de Stella stevens... les cascades vont bon train et le rythme faiblit très très peu. Bon point pour la scène de poursuite de Cleopatra Jones en voiture dans des ruelles sombres de HK. Stella Stevens qui surpasse allègrement Shelley Winters (du premier opus) en perversion. Et elle kicke aussi, la gourgandine! Elle est en fait une variation de la lesbienne butch responsable de l'empire de la drogue locale (se déroulant à HK, coprod oblige)...on a donc droit à du gouzi gouzi lesbien, massage et tutti quanti. Figure régulière de la blaxploitation (Coffy et consorts,) la lesbienne est un cliché sur patte, séductrice, manipulatrice, dominatrice, bref du mauvais cote de la loi (et blanche, bien sûr, les lesbiennes noires étaient toutes du cote du bis italien ). Elle périra ici d'une pénétration sauvage... mais d'un coup de sabre il faut que le chatiment soit à la hauteur de son double crime (chef de file de la drogue et lesbienne qui oblige sa fille adoptive à faire tout ce qu'elle lui demande! quelle horreur! ) Au final, c'est vraiment fun, à prendre au second degré d'une BD colorée, dotée d'un scénario passe-partout mais qui va au moins droit au but. Dommage que la justicière vit là ses dernières aventures.
  18. Même sans l'article ci-dessus, ce sera sans moi.
  19. ou encore a influencé Cosmos 1999... rien que ça. Merci à Movierev de m'avoir procuré une copie de ce film assez incroyable. Certes en tchèque non sous-titré mais armé d'un synopsis, il se laisse voir sans problème. car visuellement parlant, c'est quand même 1963. 1H21. Scope Noir et blanc, ( même si annoncé couleurs dans diverses sources), produit par le studio Barrandov de Prague. Il raconte l'histoire du vaisseau spatial Ikarie qui part de la terre en direction d'Alpha du Centaure. cette mission compte à son bord une quarantaine de scientifiques - colons qui vont traverser l'espace pendant plusieurs années pour trouver une nouvelle terre. Ils vont ainsi rencontrer un vaisseau abandonné (le Tigger) et diverses aventures. Les effets spéciaux sont de bonne qualité pour ces années 60. assez proche des modèles d'Eiji Tsuburaya, par exemple. Certaines transparences sont par contre superbes (la vision des cosmonautes à bord de l'Ikarie dans un plan depuis l'espace.), d'autres moins convaincantes (ceux montrant l'Ikarie volant à la vitesse de la lumière). Il existe une ambiance assez curieuse dans le vaisseau. Un espèce de microcosme de société où règne une atmosphère décalée, éviscérée de toute référence à laTerre. Mention spéciale au lounge des scientifiques où on décèle une danse du 22eme siècle . On y découvre aussi un ordinateur central régissant tout, avec une caméra en guise d'oeil, un clone de Robby le Robot...il y a également des hommes malades (avec une curieuse maladie de peau?) dont un qui devient totalement fou, s'enfermant dans une partie du vaisseau et menaçant (d'après ce que j'aicompris) de tout faire sauter et d'empecher Ikarie d'aller au bout de son voyage. Ca me rappelle quelque chose, tiens Des Décors absolument sublimes, de la salle de controle aux longs couloirs sombres...et la visite du vaisseau spatial abandonné dans l'espace annonce pas mal de films de SF à venir. la découverte de corps morts, dont certains en décomposition, avec les cosmonautes qui avancent au ralenti... ambiance de mort qui rode. Ils possèdent d'ailleurs des combinaisons étranges et lumineuses : chaque pas déclenche une lumière dans les semelles de leurs chaussures leur permettant d'éclairer leurs pas. Unegrande pièce est aussi réservée à la culture physique, plusieurs scènes s'y déroulent d'ailleurs et la caméra n'est pas avare de corps masculins en plein effort gymnique ainsi que deux des héros du film qui prennent leur douche ensemble. je serais en ce sens plus que curieux de voir le film avec des st car certaines images & échanges de regards m'ont paru étranges . En tous n'ayant que peu de rapport avec le sujet du film. Et pour terminer la série des films qu'il a pu influencer IKARIE XB 1 voit son final annoncer SPOILER La Planète des Singes avec Charlont Heston. Ni plus, ni moins. END SPOILER Enfin pour finir, le scénario est l'oeuvre principale de Pavel Juracek, scénariste et réalisateur tchèque qui vit sa carrière coupée en plein élan après son brulot Prípad pro zacínajícího kate (Le Cas du jeune bourreau) qui le fit interdire de tourner et d'écrire. Habitué des récits fantastiques, il introduitsait régulièrment des paraboles sur la liberté et, forcément, sur le régime en place. Ikarie n'échappe pas à cette règle et on ne peut s'empecher de penser à autre chose en voyant cette bande de colons s'envoler de la terre afin de trouver un monde meilleur, traverser plusieurs crises, surmonter la folie, l'incopréhension, la peur pour trouver un final ambigu. Une grande découverte pour moi, en tous cas, qui me fait penser que la SF et le fcinéma fantastique tchèque regorge de trésors encore enfouis!
  20. vu la fin, enfin. Ca s'arrange avec les deux derniers combats. Celui avec le maitre Yogi vaut en effet le détour poiur les contorsions du sieur. Mais j'ai quand même préfér celui avec le travesti et ses dialogues Ultimes "le coup du casse-noisettes" "dites donc toutes les deux, vous etes des polissonnes" lance-t-il/elle aux deux potes qui l'agressent . Je rejojns cherycock sur les acrobaties qui sont de haute voltige, au propre comme au figuré. Ce n'est pas des manchots unijambistes sourds et muets qui me diront le contraire Sinon, au finish, le fim est certes un nanar rejouissant ùais il faut quand même se pater presque une heure de scènes assez longues et, honnetement, pas suffisamment mal filmées pour en faire un navet DeLuxe. C'est en fait assez plat et ne repose que sur l'intensité de la connerie du doublage (qui établit en effet un record en la matière!).
  21. revu après 20 ans d'attente et en DVD Z1, avec piste DTS et tout et tout...1.78 et 16/9. ouhlalalalalala... le film a mal tenu la route. Cette histoire d'expérience de projection dans les rêves d'autrui par Dennis Quaid (et un rival animé de méchantes intentions) part de bon augure pour s'écraser mollement. Je l'avais adoré à sa sortie (mais enfin bon, j'avais une excuse, j'étais un ado et donc pas toutes mes facultés mentales bien développées ) et là, méchant coup de vieux de bien : * Le casting solide. Dennis Quaid, Max Von Sydow, Mme Steven Spielberg, Christopher Plummer, Eddie Albert ..tous en bonne forme * les SFX . du stop motion pas mal avec Snakehead, des effets phtographiques, notamment dans les rêves et les transferts de reves *l'idée du scénario (le fait de se projet d'un reve à l'autre dans celui d'un autre persoenne que soi...idée que Wes Craven reprendra d'ailleurs pour Freddy 3). *la politisation du sujet : Eddie Albert joue le role d'un président qui soiuhaite le désarmement nucléaire. Plummer, au service d'un lobby nébuleux, souhaite faire échouer cette tentative. Cela entre dans la mode 80's des intrigues fantastiques à coloration politique telle que Dead Zone ou Hidden. Intéressant. *Dennis Quaid à moitié à poil. En slip rouge. Il est vraiment gaulé comme un dieu (si on enlève lkes trois poils qui se battent en duel sur son poitrail). Avez-vous remarqué que, à l'instar de Kevin Bacon qui montre toujours son cul à l'écran, dennis Quaid a toujours une scène Topless dans ses films? de mal * LA MUSIQUE DE MAURICE JARRE BORDEL DE MERDE .c'est tout bonnement insupportable. Trifoullis électronique de neuneu qui découvre sa console bontempi à deux octaves sur pile. Afreux, affreux, affreux. en décalage avec les scènes qu'elle est supposée représenter. elle tue tout suspens, toute tension. Un vrai massacre. *le scénario : bancal, cahotique. la mise ens cène n'arrange en rien le coté bordélique et mal maitrisé de l'ensemble. le fim repose en fait sur l'interprétation et les effets spéciauxet laisse de cote la logique de l'entreprise. résultat : je finissais par attendre les scènes d'action. les scènes d'exposition sont totalement inintéressantes.....comme si Ruben ne voulait pas s'y intéresser. De ce fait, la parabole politique intervient comme un gadget, au même titre que certains SFX. Bref, une déception . pire encore, la piste DTS du DVD est tout bonnement ignoble. saturation, grésillement, le remixage est à jeter à la poubelle, un vrai gachis. Cote bonus, c'est un peu la pauvreté, même pas de Film annonce. pas écouté le commentaire, par contre mais bon, je déchante pas mal.
  22. [quote="Buralo66"]putainputainputain, pourquoi j'ai posté ici !! [/quote] méééé non... on est là pour discuter entrepotes autour d'un gode... autour d'un kawa, kool, koi j'ai réagi à chaud parce que bon, c vrai, les propos de DPG m'ont un peu fait grimper au plafond. Mais ya rien de perso, hein, on le reprécise toujours ça fait pas de mal. J'ai bien compris le sens de son intervention (et pis bon, Doc Gyneco était bien en couv de Tetu il y a de cela deux ans, et maquillé de surcroit comme quoi tout est possible!) Mon point était aussi de dire que si les associations ne se mobilisaient pas, il n'y aurait personne pour s'indigner de la chose. C'est que sous couvert de liberté de la parole, la banalisation de ce type de discours est tranquillement en train de s'installer. Toute violence contre quelqueminorité que ce soit est à prohiber, encore pire les appels à la haine et au meurtre à leur encontre. Il est juste dommage (pour des raisons culturelles, pécunières ou que sais-je encore) que ces artistes ne se comportent pas de manière responsable et surtout, humaine.
  23. bah, c'est juste que les meufs sont bonnes à se faire sauter ou des salopes pour la plupart des chanteurs, que les mecs sont vriament tous des salauds passqui comprennent rien pour les chanteuses, que la société elle est pas juste. Et que les homos sont juste bons à se faire défoncer la gueule ou se faire buter, personne ne le regrettera. La différence se situe un peu là.
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