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Superwonderscope

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Tout ce qui a été posté par Superwonderscope

  1. bavi, chacun ses faiblesses C'est une chanson arrivée pile poil à une période de ma vie où je n'allais pas trop bien et ça me correspondait tout à fait. Et la video était superbe, aussi. Et la chanson est passée en boite il y a 15 jours de cela et, bon, l'impact était toujours là
  2. J'essaie de toucher le fond de plusieurs publics
  3. J'ai détesté, hormis peut etre la chanson des saucisses. pas trouvé ça drole ni trash Juste pathétique et benet. Le film illustre de manière parfaite l'apostasie, la vacuité et la fatuité de Tom Green.
  4. le Z2 UK est en effet complet, ce qui n'était pas le cas de la VHS française de chez R'né Chatiau (dont la VF était parfois épouvantable) Tout d'abord, le titre original est LA CASA CON LA SCALA NEL BUIO (La maison aux escaliers dans ténèbres). C'est un téléfilm qui devait à la base suivre un concept de 6 x 25 mn et avec un meurtre en fin de bobine, sorte de cliffhanger pour l'épisode suivant. Suivant l'idée de dardano sacchetti et produit par Mino Loy, le film fut tourné en 16mm. Suivant une projo avec toutes les parties bout à bout, il a été finalement décidé de le sortir au cinéma et ce fut un succès. Le téléfilm était d'ailleurs étrangement plus sanglant que le prod habituelle, ce qui a fait une des raisons de sa sortie. J'aime bien certains meurtres (celui de Fabiola Toledo dans la salle de bains est plutot brutal et la scène du couteau sur la main est ) et le film fourmille d'idées très intéressantes, avec des mélanges de film dans le film...la réalisatrice étranglée avec la pellicule du film qu'elle réalise - plus spécifiquement la partie révélant l'identité du tueur dans le film...et de ce fait dans la réalité!-. Le héros est un compositeur de musique de films venu travailler dans la maison d'un ami. la musique qu'il compose devient d'ailleurs celle du film de Bava même. Le film offre une quintessence du style visuel de Lamberto Bava. Le gout des récits en un seul lieu, préférence pour les scènes intérieures, la mise en abime de l'image, les médiations avec les scènes de mise à mort, l'irruption de la sensation de peur venant du quotidien, l'ironie. Ensuite, cette Maison de la Terreur (en VF) est un téléfilm. Une fois de plus, si tous les téléfilms étaient de ce niveau (et en 1983), je serais plutot content! Ceci n'excuse pas les scories (le premier meurtre au cutter, un chouia raté) ça et là dans le film mais lkes cadrages sont toujours soignés. Et pour du 16 mm , ses trois objectifs, son budget minimal et ses conditons de tournage réduites, le film s'en sort plus qu'honorablement. faut quand même pas pousser non plus!
  5. Ca va sentir le male dans le slibard! "Your girlfriend dumped you* Your car has been stolen your rent is overdue ... but these are the least of your worries when you're fifity feet off the ground" Ca claque sa race, ça! Des meufs bien roulées De la moto qui crache la vitesse des cascades CGi à couper la touffe des djeunzs dans le mooooooooove une pléthore de tubes en fofofofofofof- foliiiiiiiiiiiiie C'est Supercross de Steve Boyum ( Timecop 2 , La castagne 2 et cascadeur sur Mighty Ducks 3 ) avec Mike Vogel (TCM 2004) Steve Howey, Sophia Bush (Van Wilder) et le cachetonnage : Robert Patrick, daryl hannah et David Carradine "Risk Everything Fear nothing: Supercross!" La bande annonce kitutonslip : http://www.apple.com/trailers/fox/supercross/
  6. Mé-euh reviens, petit cocker, pars pas la queue entre les jambes!
  7. Ca va pas la tête-euh ! J'ai beau trouver Plan 9 Zèdissime mais je ne lui trouve aucune qualité particulière rédemptrice. La seule âme qu'il puisse avoir, c'est celle d'une Bricol'Girl. C'est drôle au Xeme degré mais qu'est-ce que c'est chiant ! Brain from Planet Arous est tout aussi Z à la seule différence que je ne m'ennuie pas à sa vision.
  8. c'est pas top , c'est pastis, c'est passe-montagne, c'est passoire mais ça résume bien une vie, non? allez zou : Eurythmics : English Summer Depeche Mode : Halo Donna Summer : Hot Shot Niagara : J'ai vu Saint Etienne : Action Yello : Oh Yeah Pet Shop Boys : Left to my own devices Kylie Minogue : Better the devil you know Muse : Sunburn Mylène Farmer : Désenchantée
  9. YEaH! Oh! yEaH! Post production terminée début 2005. Le film commence à sortir un peu partout en DTV...et la suite des aventures du Max ("Ring of Fire") est prévue pour un tournage cet été. Visiblement toujours sur l'ile de Guam. Jaquette grecque: Le héros : Mickey Hardt, ancien champion de Tae Kwon Do
  10. Mais Lise, elle y tient à son car! => Le car à Mais Lise oki
  11. [=quote"Prodigy"]Série Z c'est à la base du fauché de chez fauché, du Empire, du Full Moon, du PM Entertainement, du Donald G. Jackson, du Nu Image avant leur période "je me prend pour Miramax".... Je suis moyennement d'accord pour le coup. Empire et Full Moon, c'était de la vraie série B d'antan. Ne serait-ce que pour le budget de Puppet Master 3 qui touchait les 800 000 dollars (sans les effets correctifs de la valeur du dollar aujourd'hui). Qu'on aime pas les prods Full Moon, certes, mais la qualité y état rarement absente (sauf peut etre à la fin!) Idem pour PM et leurs budgets explosions à foison. Par contre, pour NuImage, ça dépend. Octopus 2, c'est du vrai Z qui ressemble à une zèderie totale alors que Crocodile 2 fait série B un chouia plus classe Donald G Jackson, vi, c du Z, par contre
  12. ben si, justement . L'échec a enterré deux ou trois projets
  13. Disons qu'Atomik Circus est un film doté d'un budget "A" et qui ressemble à une Zèderie . J'ai juste là? Sinon, je souscris à ton analyse (sauf pour Supernova, hein)
  14. Films de genre récents français (pas que du Z à la Atomik, oeuf corse) Question audace, Fidélité avait monté, rappelons-le, une branche de films appelée Bee Movies dont 4 films sont sortis : Bloody mallory, Un jeu d'enfants, maléfique et requiem. Tous des bides. Sinon, collé au wagon, il y eu Brocéliande (de la Chauve Souris, qui produit d'ailleurs le Sheitan), St Ange, haute Tension, en effet... ils se sont tous plantés. Il n'y a eu guère que Promenons-nous dans les bois (de Fidélité, d'ailleurs) qui a su tirer son épingle du jeu. Et je ne parle même pas de Swamp d'Eric Bu. La liste est loin d'être exhaustive mais... l'idée générale y est! Si on remonte à Baby Blood, on peut aussi lorgner du cote d'Il était une fois le Diable ! Des tentatives toutes sympathiques dans leur essence mais qui ne résistent pas à la loi du marché. C'est tout ce que je disais!
  15. Annabella Sciorra une des meilleures actrices du moment et honteusement cantonnée à des piti roles. Maintenant Lumet, c'est un Dieu (un peu vieux?) et depuis Night falls on Manhattan, bé Et Vin, bien dirigé, il peut être un bon acteur, j'en suis persuadé (voir the Boiling Room)
  16. L'accord avec la Fox vient d'être finalisé, en échange des droits d'exploitations en Amérique du Nord, il me semble. Mais bon, c'était juste pour faire un contrepoint avec Atomik Circus dont je reste persuadé que le financement a été hasardeux et la distribution mauvaise et limite malhonnête vis à vis du public. Ensuite ce qu'on pense du produit, c'est autre chose. je disais juste qu'il n'y avait pas de hasard ensuite à ce qu'aucun produit risqué ne se fasse d'ici quelques années. Ou alors des trucs comme les Brigades du Tigre : Ze Mouvie. Càd des produits pensés, paquetés de la pre-prod jusqu'à la deuxième diffusion télé en 2008 et la vente aux Macédoniens.
  17. fossoyeur, c'est un bien grand mot, mais il a sonné le glas vue la polémique. les productions de genre étaient quoiqu'il en soit bien écorchées aux vues des résultats excessivment médiocres des autres opus (Bee movies & consorts), le coût plus le laisser aller de la gestion du projet (je ne parle pas du cote artistique du film que je déconnecte du débat, même si je trouve le film raté) ont fait qu'aux vues de la situation actuelle, de telles prods ne verront plus ou presque pas le jour dans les années à venir. Ou alors de la trempe du projet Babylon babies de Matthieu Kassovitz à 55 millions de €, mais financé à plus de 5O% pour la 20th Century Fox. Mais bon, Kassovitz, c'est autrement plus vendeur que les frères Poiraud et il a déjà fait ses preuves
  18. en tous cas, namemejuste ouane prodjècte français de genre effectué depuis. j'attends.... encore un peu... personne? oki.... bon, il y a la connerie djeunz-16eme branque-YOUPLABOUM Le Sheitan qui sort le 1er février 2006. Et on va mettre la connerie SF de kad et olivier de coté. Pour l'instant, c'est zéro pointé pour le film de genre, en attendant Gans.
  19. Connu aussi sous les titres "Encore" ou "The day The screaming stopped", il s'agit de l'avant-avant dernier films de Walker. Sorti en video française sous le titre Hallucinations. On sent le départ de David McGillivray de la place de scénariste car ici, Walker se trouve cloué au pilori par un script banal et doté de rebondissements peu excitants. Accompagné d'une mise en scène qui ne retrouve que peu de fois les éclairs macabres de Frightmare ou de House of Whipcord. Jack Jones (oui, le chanteur qui donnera à la crosière s'amuse sa voix suave!) joue le role d'un chanteur qui revient à Londres après 6 années aux USA. il a suivi sa femme et interrompu sa carrière. Son divorce le fait revenir à la chanson et son promoteur l'installe à la campagne pour composer. Il ne sait pas que sa femme s'est faite massacrer par quelqu'un déguisé en vieille femme (et on aura aucune explication sur le costume hutilisé!) et il commence à souffrir d'hallucinations bizarres. Le point de départ est d'ailleurs bon. La première heure installe correctement l'action et les personnages : on se trouve pris dans le noeud de l'intrigue très rapidement. Une fois de plus, Sheila Keith (la folle furieuse de Frightmare) joue le rôle de la gouvernante de la maison et vole la vedette à tout le monde. Charmante Old Lady, elle prépare le thé, cuit du pain et lache quelques répliques ambigues qui laissent à penser qu'elle y est peut etre pour quelque chose dans la folie naissante du chanteur. Regards tour à tour odieux et adorables, elle est vraiment hors pair! Le premier meurtre (la femme de Jones) est tout à fait délicieux. Du'ne brutalité rare, elle se prend plusieurs coups de serpes en pleine tête, se fait couper une main et défigurée. Son cadavre demeurera d'ailleurs longtemps jusqu'à la décomposition du visage. la narration s'emploie d'ailleurs à alterner l'action du film et des images de la tete pourrissante. Le reste demeure plus banal et il faut traverser un long moment de désert et d'ennui avant que l'action ne reprenne son droit à la fin. C'est d'ailleurs le principal problème de The Comeback. Le rythme y est languissant et ce qu'on y voit sur l'écran peu excitant. Hormis le personnage de David Doyle (le Bosley de la série Drôles de Dames!), promoteur du chanteur. Couchant ave sa secrétaire mais préférant se travestir et écouter de vieilles chansons des années 40... un très bon suspect. Pour les autres acteurs qui cachetonnent : Holly Palance (fille de Jack) dans le rôle de la femme de Jones, Richard Johnson (L'enfer des Zombies, The Haunting) qu'on entr'aperçoit, et pamela Stephenson, plus connue pour ses talents comiques -Not the 9'Oclock news, SNl et Superman 3!. Pamela qui nous est d'ailleurs dévoilée en petite culotte légère! L'autre problème reste le scénario. Mal ficelé, il plante un décor interessant avant de tout laisser en plan au bout d'une heure. Et le film dure 96 mn! Inutile de dire qu'après une heure, on regarde sa montre. Et lorsque je la regarde deux fois en moins de dix minutes, c'est très mauvais signe. La révélation finale tombe comme une hache en pleine tête, comme ça, sans coup férir. Et l'explication du motif tellement improbable qu'on se prend à penser. d'une air lelouchien.."tout ça pour ça"? Qui plus est, les incohérences du scénario vont bon train, tant le nombre d'heureux hasards qui contribuent à la situation dramatique du héros sont nombreux. Pourquoi se compliquer la vie de telle manière? Et le motif reste incroyablement plat, dénué de tout sens... tout aurait été tellement plus simple dès le début à l'arrivée du chanteur! Même si le cinéma n'est pas une affaire de logique pure, le spectateur est en droit d'en demander un minimum pour que l'ensemble tienne le coup et reste plausible! Certains dialogues sont aussi à pleurer de rire. Sheila Keith est doté de certains qui osnt croquignolets "avez-vous déjà vu une enfant mourir empoisonnée à la strychnine?" employé dans les meilleurs conversations du monde. On se rattrape un peu côté effets. Outre la première séquence sanglante de toute beauté gratuite, nous sommes gratifiés d'un autre joli meurtre dans un ascenceur, d'effets de maquillage de tete pourrie mangée par les asticots, un corps momifié... du bel ourvrage, assurément. Dommage qu'il faille attendre tellement longtemps pour en voir à l'écran. L'atmosphère des hallucinations sonores et visuelles est d'ialleurs bien rendue, donnant, dans la première partie du film, lieu à de belles scènes de cauchemar naissant. Enfin, la copie du film est médicore. Sortant du Coffret Anchor Bay Z2 UK consacré à Pete Walker, elle est pale, manquant de piqué et d'une définition pauvre. La scène d'ouverture où la femme de Jones vient à se faire tuer parait surexposée par instants. La bande annonce reprenant cette scène offre même un meilleur contraste, c'est dire! Ensuite, on voit clairement la pauvreté de la copie récupérée; Dès le générique de début, les griffures et rayures apparaissent. on en repère ça et là le long du métrage, lepire moment étant à la 77eme minute ou plusieurs rayures verticales noires ornent l'écran de toute leur splendeur! Côté sonore, comme tous les films du coffret, un mixage mono d'origine sur deux canaux, un 5.1 et un DTS. Pas écouté le 5.1 suffisamment longtemps, mais le mono crachouille un peu et reste assez faible. le DTS réduit le crachouillis en question, dynamise considérablement l'ensemble (beaucoup plus que le 5.1 qui n'offre rien de plus que le mono, du moins de ce que j'en ai entendu). mais c'est loin d'etre optimal. Présence de st anglais amovibles. le film est présenté en format 1.85:1 et transfert 16/9e. Un commentaire audio de Pete Walker (pas écouté), la bande annonce d'époque et des bios. The Comeback demeure au final hélas raté, aux ambitions évidentes mais trop long pour son sujet et trahi à la fois par un scénario bêta et une msie en scène peu inspirée.
  20. il n'est pas prévu au programme.
  21. 1969 : La Tigon de Tony Tenser tombe sur un scénario s'appelant "The dark" écrit par un jeune Michael Armstrong (Mark of the Devil). Un groupe de jeunes gens blasés du swinging London décident de passer une nuit dans une soi-disante maison hantée. Avec à la clé séance de spiritisme...et au bout, le meurtre sauvage de l'un d'entre eux. Et le coupable parmi le reste de la bande? Ils décident de cacher le cadavre et de ne rien dire. Mais... Tenser propose le produit à la firme américaine AIP. Elle y voit une nouvelle mouture jeunes-chansons-sexe-drogue-horreur et déciee d'apporter 50% du budget...et les problèmes commencent. Changements de scripts intempestifs, imposition du casting (Frankie Avalon - sans Annette Funicello, heureusement!) jusqu'à Boris Karloff que Tenser avait utilisé dans The Sorcerers. Hélas, Karloff est à bout de force, en chaise roulante. Ce sera Dennis Price qui prendra le role de l'inspecteur. Armstrong devient fou de rage et est dépossédé de son film. La première devant les pontes d'AIP est une cata, après qu'une partie des scènes fusse entièrement retournées par un autre réalisateur. La séquence d'ouverture avait changé et la durée du film n'excédait plus que 79mn (version US). Le titre en sera changé pour un plus sobre "Horror House" Au finish pour la version totale, seules les 2/3 des scènes d'Armstrong furent intégrées. Le scénario d'origine ayant été édulcoré, remanié tous les jours, on a un film totalment bancal, stupide d'où submergent quelques fulgurances stylistiques et de violence. Les trous de scénarios sont affolants, tant les incohérences se bousculent au portillon. Ainsi quelques personnages se retrouvent-ils dans la maison (l'amant marié, par exemple) pour des raisons absolument ridicules (retrouver un briquet perdu!). Ou encore pour "revivre la soirée et refaire les mêmes gestes afin de trouver le coupable". ce qui donne suite à des atermoiements de tous genres. C'est aussi sans compter les ahurissantes fautes de raccord qui se ramassent à la pelle, au gré des feuilles mortes de la cmpagne anglaise! les scènes de nuit sont les pires, entre certaines se déroualnt en pleine nuit noire et le contrechamp indique un petit matin blème. ces erreurs se retrouvent de manière permanente le long du métrage. Une insulte à l'intelligence du spectateur, matiné certainement de remaniage sauvage et de je-m'en-foutisme total. La cohérence visuelle part au caniveau, accompagnée de celle, narrative, qui donnait déjà des signes de faiblesses. Le premier meurtre a du en choquer plus d'un à l'époque. Il est brutal, féroce, sanguinolent et inattendu! ce qui tranche (ahahah) avec le second, visiblement tourné par l'autre réalisateur, tant le style est différent et surtout... avec une violence hors champ et sans une goutte de sang. Avec un large couteau, il faut le faire! D'ailleurs le deuxième personnage tué semble collé à l'histoire de manière gratuite tant il n'a rien à faire avec le reste. le troisième meurtre renoue avec la brutalité, la violence et le suspense du premier. La mise ens cène joue d'ailleurs avec les nerfs du spectateur quant à savoir des deux protagonistes est le meurtrier. Jeu de regards, jeux de lumières & d'ombre, alternance de gros plans & plans américains... la msie en scène est intelligente. hélas, dès que les acteurs ouvrent la bouche, c'est la catastrophe. Il faut alors expliquer le motif de la tuerie et l'explication est d'un ridicule achevé! L'inteprétation est au diapason : médiocre au mieux, insipide au pire. les deux comiques de service (Peter & Marge) font ce qu'ils peuvent mais cela tourne à vide. Inutiles. les scènes d'hystérie (dont aussi un faux-raccord sur Marge qui vient de se prendre une raclée les cheveux ébouriffés et qui le plan d'après a le brushing refait!). Reste Julian Barnes dans le rôle de Richard, étonnament sobre et précis dans son jeu. C'est bien le seul. Surnagent ainsi quelques scènes : celle du musée où Jill Haworth voit une sculpture macabre et se trouve prise de panique. Montage haché, caméra fluide, angles de prises de vue originaux donnent un côté un peu surréaliste. la scène finale (mentionnée ci-dessus) avec la révélation du tueur et le plan final qui ne semble rien régler, ce qui dmeeure une surprise. il faudrait voir en ce sens la copie américaine qui est supposée bénéficier d'une fin plus morale? Vu sur le DVD Z2 UK de la Tigon Box (Anchor Bay). Le film a été tourné en 2.35:1 ( visiblement du Techniscope mais le générique ne mentionne rien). Copie en 16/9 avec une VO en mono deux canaux, remixage 5.1 et DTS. A noter une piste DTS très efficace, bonne répartition des sons, des effets arrières remarquables. Probablement le meilleur mixage de la Tigon Box, le son est efficace, puissant. Durée : 86mn. Des st anglais amovibles sont disponibles, ainsi qu'un spot radio, un film annonce et un commentaire du réalisateur. Le commentaire demeure instructif, quoique Armstrong se perde dans des considérations personnelles (on sent bien l'amertume du produit lui ayant échappé, malgré le fait qu'il admette avoir beaucoup appris). Ainsi certaines scènes échappent toalement à son commentaire, puisqu'il raconte totalment autre chose (ainsi juste avant la scène du musée qu'il décrit en catastrophe). La copie est superbe. Lumineuse, aux couleurs très réussies (notamment sur les verts & les rouges ne staurant pas mais demeurant vifs) et pratiquement aucune scorie apparente. Seules les scènes se déroulant au petit matin gardent un aspect terriblement pales.
  22. Un peu de tendresse dans ce monde de brutes de metalleux et de harcore dans tous les sens le nouvel album de [size=200][b][color=red]SAINT ETIENNE[/color][/b][/size] (car je suis aussi SaintEtiennologue ) [img]http://www.recordstore.co.uk/images/covers/san271-300.jpg[/img] La quintessence de la Pop anglaise... l'album commence par Sun in my morning et se termine par Goodnight...une ode aux menus plaisirs de la vie, l'odyssée d'une journée ordinaire mais tellement extraordinaire. Le single Side Streets en est la parfaite incarnation sur la beauté des chemins de traverse. Beau, tout simplement.
  23. Très jolie. Très souriante. Très abordable. Très sympa. et.....OUI! ELLE A SUIVI LES CONSEILS DE M. WONKLEY (la prochaine fois, je tente une approche avec mon DVD de Ripper à lui faire dédicacer. C'est pas gagné )
  24. Narnia = La Passion du Christ pour les enfants? Motive Marketing,quia géré la campagne marketing pour La Passion of the Christ, a reconnu sur son site web que Disney l'a engagé pour gérer la campagne de Narnia. Mais surtoutde faire une campagne publicitaire et marketin basée sur une foi intense et un programme destiné aux familles. Le film a été décrit par certai,ns comme étant une version pour enfants de la Passion du christ. Un réseau de télévision chréteinne, HomeWord a décrit le film comme étant "merveilleux d'un point de vue chrétien". en ajoutant que "la communauté chrétienne fournira toutes les opportunités possibles à travers leurs églises afin que les familles ménent leurs enfants à voir le film et s'y déplacer en masse."
  25. Nouvelle collaboration entrePete Walker (à la prod et à la réalisation) et David Mc Gillivray au scénario (et co-produit par Tony Tenser). Cette fois-ci, Frightmare raconte l'histoire d'une jeune fille qui découvre que sa mère, enfermée 15 ans auparavant avec son mari pour cannibalisme, est peut etre en train de rechuter grave. Sympathique petit shocker britannique, vite emballé en 85 minutes, Frightmare offre une vision bien décapante de la cellule familiale britannique. Entre la mère psychopathe, cannibale amateure de cerveau, son mari amoureux mais terrriblement faible allant jusqu'à se faire enfermer à l'asile avec elle et la deuxième soeurette qui semble donner des signes de folie furieuse... la pauvre Deborah fairfax a fort à faire pour demeurer le seul point d'ancrage équilibré de cette famille psychotique. Le film est mieux construit qu'à l'habitude chez Walker. Une réalisation plus soignée que House of Whipcord ou que Die Screaming Marianne. Moins d'effets tape à l'oeil et la photographie (qu'elle soit au naturel ou en intérieurs)plus professionnelle dans sa mise en images. On a droit à une étude de moeurs bien sentie dans la première partie du film. Le scénario cherche en fait à construire le relationnel entre chaque personnage sans sombrer dans la brutalité (de suite). Pour ensuite s'attacher à la duplicité de chacun et laisser éclater la violence des rapports et à l'encontre des protagonistes. Côté effets chocs, il y a de quoi se mettre sous la dent. Une fourcHe en pleine tete, du crane percé, une tête défoncée...le gore y est discret mais bien présent. La fin présente aussi une tournure inattendue, sorte de famille Adams du crime où les valeurs qui font la force de cette cellule afin d'éjecter l'élément perturbateur se trouve pervertie à ses propres fins meurtrières. Au-dessus de tous, l'interprétation survoltée de Sheila Keith, une habituée de chez Pete Walker, qui donne ses lettres de noblesse à l'expression folie homicide. Tireuse de cartes de tarots, elle voit le mensonge et le futur pour mieux tirer partie de ses soi-disants clients et proies en devenir. ce qui donne à certaines scènes des ruptures de tons savoureuses avant la mise à mort. On pardonnera une petite baisse de rythme au beau milieu du film ainsi que quelques incohérences scénaristiques (notamment sur les questions psychiatriques qui sont platrées n'importe comment en psychiatrie de bazar de l'hotel de ville). Tout cela pour se concentrer sur une oeuvrette moins innocente qu'elle n'en a l'air, dans une certaine veine (!) du shocker anglais aux racines sociales perverties. etun système social mal ajusté (thème repris à House of Whipcord, d'ailleurs, et son discours sur la peine de mort). Vu en DVD Z2 UK de la Pete Walker Box. vo en mono deux canaux, 5.1 et DTS ( la piste DTS n'apporte pas grand chose si ce n'est une réduction minime du souffle mais la majorité des sons concentrés en central. peu de surround ou d'effets arrière notables), avec st anglais amovibles. Une bande annonce, une bio (légère) de Sheila Keith et de Pete Walker. Ainsiqu'un commentaire de Pete Walker que je n'ai pas encore écouté. La copie est en widescreen 1.85:1 et avec un transfert 16/9. De très belles couleurs, chatoyantes et chaudes dans les scènes d'intérieurs, un joli contraste dans les scènes de nuit (notamment celle de la baston à la sortie du pub), la copie y est vraiment très belle et pratiquement sans aucune marque du temps.
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