Aller au contenu

Superwonderscope

Members
  • Compteur de contenus

    2 726
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Superwonderscope

  1. C'est assez! Cétacé? C'est à chier!
  2. Dans la Tigon Box, curieux film de SF fauché qui narre les aventures de parachutistes britanniques qui disparaissent en plein vol! Diable! Serait-ce des défections à l'Est? Ou plus simplement des voleurs de corps qui viendraient de l'espace infini? Voulant surfer sur la vague de la conquête de la Lune, Tony Tenser produit ce truc fauchissime et doté, pourtant, d'une idée de base suffisament folle pour tenir en haliene le spectateur deux ou trois bobines. hélas, le manque flagrant de budget et la pauvreté d'imagination de l'ensemble achève le reste... et le film s'étire, mou et peu passionnant, jusqu'à un final dont on est content de voir arriver la couleur. Une très belle scène onirique. La reconstitution en studio d'une plage où vient se reposer, à la nuit tombée, la mystérieuse Lorna (Lorna Wilde) et que croise le héros chargé de résoudre cette affaire ( Patrick Allen ventripotent, qu'on essaie de nous faire passer pour un US Lover au charme fou ). ceci dit, les quelques scènes sur cette plage sont à mi-chein entre le rêve et la réalité. Les plus beaux passages du film. Et les pour les coquinous, un plan de Lorna qui s'éloigne dans la mer après avoir oté tout vêtement. on voit pas grand chose et ça n'apporte rien au film. passons. Coté acteurs, c'est la grande classe. George Sanders cachetonne commeil le faisait à la fin de sa carrière. il est^placé en tête de distribution mais n'a qu'un role secondaire. maurice Evans, qui sortait de La Planète des Singes et de Rosemary's baby, se voit embourbé dans ce machin et affublé d'un rayon laser digne de Legoland. neil Connery, qui, après Opération Frère Cadet, prouvera au monde entier qu'il demeure le frère de et rien d'autre. Robert Flemyng, aussi, traîne ses guetres sans trop savoir ce qu'il fait là-dedans. reste Hilary Dwyer. sortie de Witchfinder General et juste avant Oblong Box et Cry of the Banshee, elle est bien la seule avec une once de talent. Cote SFX, c'est pauvre. Un misérable griboullis rouge genre les Envahisseurs pour montrer que les corps disparaissent lors de saut de parachute. Un vaisseau spatial fixe qu'on ne voit pas décoller (et pour cause, ils ont découvert l'invisibilité, les aliens! pratique!). pas de tentacules ni de petites femmes vertes : les aliens prennent forme humaine. ben tiens! Bref, on attend que la fin arrive...et on attend. Comme les acteurs qui ne semblent pas se presser. Le film ne dépassera jamais le niveau d'un téléfilm de faible portée Gerry levy, le réalisateur, est surtout connu pour arrondir les angles à la Tigon. C'est lui qui tournera les scènes supplémentaires pour The Haunted House of Horror de Michael Armstrong ainsi que pour Curse of the Crimson Altar. De voir un travail complet de sa part ici confirme le peu de talent et la platitude de sa réalisation. Le film sortira en 1969 en double bill anglais avec un autre film de SF fauché écrit aussi par Michael St Clair, Mission Mars (avec Darren McGavin et Nick Adams)...et traficoté par le script doctor de la Tigon, Peter Marcus. Strictement sans aucun intérêt.
  3. Ohlalalalalalla! Mais que c'est mauvais! C'est encore pire que dans mon souvenir Déjà, premier plan très fort : la plaque minéralogique de la renault qui avance vers la caméra est traficotée n'importe comment avec un espèce de scotch noir histoire qu'on ne reconnaisse pas l'origine du pays de tournage ou quoi? bref, c'est en effet très chiant. Mollesse, que de crimes a-t-on commis en ton nom! On attedn que ça se passe, c'est tout. Le bateau passe. une connasse tombe à l'eau. elle meurt. on va chez le juge.y veut rien faire. alors le bateau repart. un connard tombe à l'eau. il meurt. retour chez le juge. y veut rien faire. alors on repart en bateau.etc.etc.etc.etc. C'est aussi d'une connerie sans nom quant aux incohérences scénaristiques. Entre autres, la bande de jeunes écolos savent que les eaux sont polluées à grand coup de trucs radiactifs mais ils plongent quant même dans l'eau pour dégager le bateau coincé dans des branchages . Le croco se dresse sur ses chtites papattes pour effrayer le méchant journaliste mais est incapable de faire tout pareil pour bouffer les deux ecolos restants à la fin...juste capable de foutre un coup de groin dans le cabin cruiser. de quoi avoir une dent contre Ludman à défaut d'avoir les crocs (codiles!). j'en verserais presque des larmes (de croc...bon ok ) La direction d 'acteurs...mamma mia c'est une véritable horreur. presque tout le casting ne sait pas jouer (notamment la pouffe qui s'énerve pour un rien et qui confond colère et surjeu permanent) mais ils sont ndotés de dialogues (anglais ou français!) absolument catastrophiques, creux, idiots...les pires entendus depuis longtemps . le croco percute le fond du bateau à la fin et la seule chose qu'on entend c'est "attention il y a de l'eau qui rentre" le doublage anglais est pathétique lui aussi (mais rien à coté du français qui lui est drole, par contre ) et ne colle pas à plus de 50% à ce qui est à l'image En plus, la copie du neo est parfois floue, d'une paleur insondable... il n'y a qu'à voir la séquence pré-générique du 2 qui reprend les dernières images du 1 et qui sont d'un piqué tout autre:couleurs vives, contrastes clairs... Le croco...bah... comme dit Gianetto de Rossi sur les bonus du 2, il a fait ce qu'il a pu avec le budget qu'il y avait. un croco rigide qui ouvre la gueule. qui ferme la gueule. et qui pose une papatte dans les marécages à deux reprises (dont le même plan repris à l'envers dans le début du 2, tiens ) Une chose m'a étonné pour du bis transalpin (dont c'est quand même le fond du tonneau, hein, dans le genre chiant et même pas drôle), c'est l'absence totale de sexe. Dans une période post-sida, ceci explique cela? l'atmosphère est totalement de-sexualisée. Si on omet l'un des protagonistes qui passe la plupart de son temps torse nu les pecs à l'air pour le plus grand plaisir de 5% de la population masculine mondiale parce qu'il est rudement bien foutu Hormis cela, il n'y a rien à sauver, sauf peut être 87 minutes de ma vie que je veux récupérer! Pour le 2 que je visionnerai probablment bientôt, il a été tourné en même temps que le 1, en récupérant Anthony Crenna (le fils de Richard) comme héros et le Girolami dans le role du tueur de croco. Récupérant au passage une diziane de minutes de flash backs du premier, d'après ce que j'ai pu voir... même la première scène est quasi identique au premier opus mais la copie est cependant beaucoup plus belle.
  4. je pense qu'il s'agit surtout d'un promo reel plutot que d'un film annonce officiel. mais qu'est-ce que ça a l'air con Michelle Rodriguez a l'air de s'emmerder sévère et Ben Kingsley ne s'est toujours pas retiré les trois balais qu'il a dans le cul Ebé!
  5. Le groupe de hardmetalkituekiltefoooooooooooo: wIg WaM ! LE représentant de la Norvège à l'Eurovison ! [img]http://www.wigwamband.com/layout/cover/HardToBeKiev.jpg[/img] sontypasjoulis? [img]http://www.wigwamband.com/gallery/promopics/off001.jpg[/img] [img]http://www.wigwamband.com/gallery/kiev/kievvarious005.jpg[/img] à ce stade-là, je pensais qu'il s'agissait d'une^parodie...mais non!! ils sont sérieux! Europe avec 20 ans de retard
  6. rhooooo si s'appelle pas cracher dans la soupe, ça ben sincèrement, ce sont mes amis québécois qui m'en ont parlé et honnêtement, c'est pas fin-fin mais pas si mal que ça. meme quelques gags droles et une bonne ambiance communicative/ moi, qq fois, il m'en faut pas plus
  7. Ce sera sans Louis Saïa, mais le quatrième opus va se faire. le tournage a démarré le 8 juin dernier. Dans les dix meilleurs résultats du box office candien de tous les temps, les trois opus de Boys se classent respectivement 3, 5 et 6eme. Aucune raison donc de s'arreter en si bon chemin. n article d'il y a un mois qui en parlent plus longuement: http://www.cyberpresse.ca/arts/article/article_complet.php?path=/arts/article/01/1,144,161,062005,1053872.php extrait avec un commentaire du seul acteur qui ne revient pas: "L'ensemble de la distribution sera de retour, nous a-t-on néanmoins indiqué, à l'exception de Patrick Huard. «Dans ma tête, trois, c'est Le Parrain. Et quatre, c'est Police Académie. Je ne me sens pas à l'aise» avait expliqué Huard à Paul Arcand, à la fin du mois de mars."
  8. Pas vu par contre celui-là. Ekynox, tu as eu le courage? Synopsis: Trois années ont passé depuis leur séjour mémorable à Chamonix et les Boys se préparent pour une nouvelle saison de hockey. De retour de France et anxieux d'oublier l'expérience malheureuse qu'il a vécue, Stan va vite découvrir que sa célèbre équipe n'est plus celle qu'il avait laissée. En effet, les Boys sont atteints du même virus qui a rongé le sport professionnel: l'argent. Et toujours avec la même bande.
  9. On prend les mêmes et on recommence! Le réalisateur, fort de l'énorme succès au Québec du film, enchaine une suite et expédie la joyeuse bande de hockeyeurs en France pour affronter une équipe savoyarde. Le film, pour l'occasion, fut sorti en France sous le titre "les Boys", ignorant le premier volet. Le film fut un échec sanglant et conduisit la nouvelle société de distribution créée pour l'occasion Aviva Films à la faillite totale. le film reprend le casting original et on y retrouve des grosses pointures du cinéma Français : Daniel Russo et Anne Marie Pisani . Et on se mosque gentilment de nous (on l'a quand même bien mérité ). mais le cinéaste en garde aussi quelques salves pour ses (z)héros. Mais toujours avec une certaine tendresse. le film reprend les recettes de l'original, sans apporter beaucoup de nouveautés. La bande ambiance demeure, les scènes de hockey sont sympas... il faut pas chercher midi à quatorze heures. c'est du cinoche populaire sympa...et quand même progressiste. l'un des joueurs fait son coming out. Ce qui, dans le domaine sportif, est une chose rarement bien acceptée ou tolérée pour être notée.
  10. Enorme succès au Québec pour cette comédie sur une bande de potes hockeyeurs qui viennent en aide à l'un d'entre eux lors d'un match décisif. Ca ressemble un peu à une variation de la Castagne avec paul newman. En tous cas à cent coudées au dessus d'horreurs genre Mystery Alaska. Les gags sont parfois "hénnnnnnaurmes" mais l'ensemble demeure quand même plaisant avec toujours une petite fibre sociale qui pointe le bout de son nez. Les hockeyeurs sont de tous horizons confondus (de l'avocat en passant par le commercial, le chomeur...). Pour situer au niveau des spectateurs français qui ne connaissent rien au cinéma québécois (ou seulement ce qui sort chez nous), il y a Rémy Girard dans l'un des roles principaux (Rémy girard : le mourant dans Les Invasions Barbares. On le retrouve aussi dans Les Portes Tournantes ou encore La pagaille de pascal Thomas) Le film engendrera 3 séquelles dont la dernière devrait sortir à Noel 2005 dans la belle province. Chose amusante : la suite (les Boys 2) est sortie en France sous le titre... les Boys, faisant fi du premier opus.
  11. le site du film http://www.crywolfmovie.com/home.html il existe plusieurs bandes annonces qui donnent des aspects radicalement différents de ce que peut être le film. De toutes façons, le film : est PG 13 sort en septembre se passe sur un campus est avec un serial killer Rogue n'a donc pas de grandes attentes pour sa sortie si ce n'est de rentrer dans ses frais (selon diverses sources, le budget oscille entre 1 et 2 millions de $ !) On y retrouve, comme d'habitude dans ce type de produits, des acteurs de seconds plans qui cachetonnent (Jon Bon Jovi et Gary Cole) - comme Englund dans Urban Legends, Hart "i love you for always" Bochner dans Urban Legends 2, Michael Biehn dans Cherry falls... Vu le film annonce sur le site du film, il s'agit d'un croisement entre une fournée de pré et post Scream, de Gossip pour la fausse rumeur lancée et de Copycat. En ajoutant les dernières trouvailles technologiques de ces dernières années (email, chat, téléphone portable prenant des photos, etc) La bande annonce du site reprend aussi à son compte celle de Urban Legends sur les règles à ne pas franchir pour rester en vie Never tell secrets Never tell lies Never... cry Wolf Nous voilà prévenus!
  12. allez, là, viens, viens, VIENS, j't'attend avec mon gros calibre à douze barillets, ALLEZ!
  13. Toujours dans la Pete Walker Box Z2 UK se trouve un brulot anti-catho du nom de House of Mortal Sin! Une jeune femme (Susan Penhaligon -Le 6eme Continent) rencontre inopinément un ancien copain devenu prêtre en quete de aproisse et de logement. Habitant avec sa soeur, elle l'héberge. Son petit ami l'ayant quitté, elle recherche son ami pretre pour s'épancher mais tombe , dans le confessionnal, sur le père Meldrum (Anthony Sharp). Il va prendre pour action divine de purifier la jeune fille et de s'attaquer à tout ce qui entravera à une éventuelle liaison, du chantage au meurtre. Pete Walker et son scénariste David McGillivray dégainent ensemble contre le goupillon et ça tire très fort! C'est comme si le principê du classique Hitchockien I confess/La Loi du Silence était pris à l'envers pour pervertir l'ensemble. Ici, le prêtre enregistre les confessions de jeunes filles en perdition et menace de tout révéler à leurs familles! Le père Meldrum est magistralement interprété par Anthony Sharp. Dur, brutal et en proie à une tempete sacerdotale sous son crâne, il donne dans tous les registres. De la violence à la folie en passant par les tourments intérieurs, le déchirement, le dévouement à sa mère parkinsonnienne... il est bluffant. C'est en grande partie la force du scénario, se reposer sur un personnage pervers polymorphe mais ppour qui le spectateur ressent un étrange malaise et presque de la pitié. Autre coup de maître, encore et toujours la volcanique et sadique Sheila Keith ( déjà folle furieuse dans Frightmare, hystérique dans The Comeback et maniant le fouet dans House of Whipcord). Dans le rôle de la bonne qui tient le presbytère, elle a quasiment des allures de gardienne SS! Stricte, droite, habillée de noir comme un I, on la déouvre prendre un malin plaisir à torturer la vieille mère du prêtre! Mais une raison bien particulière la pousse à agir de la sorte. La pauvre Jenny (Susan Penhaligon) ne peut que subir les assauts d'un prêtre perclus de désirs sexuels mais qui ne sait les comprimer que dans le meurtre. Fragile mais lucide, elle est la seule à peuprès saine d'esprit et est justement considérée comme ayant des hallucinations. La confiance aveugle que génère la religion devient en fait le théâtre des pires exactions, c'est en filigane le message que semble livrer Walker. Car le prêtre, de par sa prestance et son statut social, profite de cette confiance pour mieux brouiller les pistes et se livrer à ses actes favoris. Walker, dans ses attaques virulentes contre la société bien pensante britannique, livre une attaque en règle de la religion catholique et de ses excès. Le jeune prêtre héros (Norman Eshley) est un prêtre moderne, pour rompre le célibat des prêtres : il tombe d'ailleurs amoureux de Stéphanie Beacham (la soeur de Susan Penhaligon). Son supérieur est d'ailleurs en plein accord, sauf que la chef de la paroisse demeure le père Meldrum. Qui lui reste farouchement opposé à l'évolution de l'église avec son temps. Le résultat est simple , une église sclérosée dans son discours et son comportement ne peut générer que du négatif. Adoptant ceci au cinéma d'horreur, nous avons droit au détournement du message de tolérance délivré habituellment par les écritures par la personne même qui est supposée les délivrer. Rayon boucherie, nous avons droit à deux assassinats moins sanguinolents que dans les autres opus Walkeriens, mais avec une caméra toujours aussi insistante sur les blessures infligées aux visages. Les maquillages, très réalistes, permettent de s'assurer du résultat des attaques. On remarquera que Pete Walker livre un film étrangement adulte, moins graphique que ses précédents mais formellement plus réussi. Si Frightmare contenait une folie éruptive matiné d'humour noir, ici le ton est plus grave. Eu égard au scénario remarquable de McGillivray qui équilibre les relations entre les persoannges tout en maintenant un suspense de quasi chaque instant. Un discours social horrifique, une vraie marque de fabrique. Qui n'échappe pas malheureusement à la psychologie de bazar dont se targue le médecin venu soigner l pauvre jenny Désirs réprimés, amour non partagé, influence de la cellule familiale...tout est en place afin que le réalisateur laisse libre cours à ses fanatsmes de violence sociale. Et les excès d'une religion peu en phase avec son époque est clairement nommée responsable du déferlement de meurtres sous nos yeux. La copie présentée est hélas médiocre. Bardée de griffures noires (le seul génrique sur le logo de la Columbia donnent le La), de rayures qui se comptent par centaines pour notre plus grand malheur. C'est vraiment dommage car le reste (les couleurs intérieures, les scènes exterieures semblent bien photographiées et la paleur générale du rendu ne sont pas à la hauteur du produit. 1.85: 1 avec 16/9 Le son, as usual, est présenté en mono deux canaux, DD 5.1 (pas extra du tou et vraiment pas nécessaire) et une piste DTS dynamique, avec une emphase sur les scènes d'ambiances (orages, scènes de rues, église...) qui sont très bien rendues. le dialogue restant sur la voix centrales ainsiq ue quelques effets stéréo reconstitués bienvenus. Une vo anglaise avec des st anglais, un commentaire de Pete Walker, des notes de productions, la bande annonce originale et surtout, deux documentaires en bonus. L'un d'environ 40 minutes avec Pete Walker sur l'ensemble de ses films, ses problèmes avec la censure...e t l'intervention de journalistes, du scénariste David McGillivray...passionnant. l'autre est sur Sheila Keith, un véritable hommage à cette charmante vieille dame qui se révéla l'incarnation walkerienne de la folie homicide. En tous cas, le film est une vraie découverte, un rare film sur les travers et les hypocrisies de la religion catholique, avec un point de vue forcément en trompe l'oeil. Mais diablement efficace!
  14. Il en existe une bonne palanquée...depuis le très réussi Dead of Night en 1946 en passant par la rafale produite en GB dans les années 60/70 par la Hammer et la Amicus (une grosse tendresse pour Asylum de Roy ward Baker)... ils ne sont pas tous de bon aloi (du mou comme Tales that Witness madness, par exemple) et ont un besoin d'un fil conducteur solide pour pouvoir divertir, interésser, sortir du lot et faire frémir! Quelles sont les bonnes recettes d'un bon film à sketches? Sont-ils des films à part entière (i.e : si par exemple un segment venait à manquer, le fim en serait-il bouleversé?)?
  15. Nightmares/En Plein cauchemar , un téléfilm de Joseph Sargent (1983) sorti au cinéma chez nous.
  16. bah pour une fois vous avez un festival de cinéma et pas de danse (ou entrechat au lieu d'un pas de danse, au choix )
  17. question Western, je ne suis pas un spécialiste, vu que c'est déjà un genre qui ne m'attire pas spécialement. Mais il me semble que c'est quelque chose qui n'est pas si rare que ça (vu la série des Winnetou, par exemple et pas mal de westerns contestataires des années 70). Par contre pour le Presley, tu peux y aller. Il ne chante pas dedans . En fait, c'est un beau film (en Scope ) de Don Siegel, assez crépusculaire et une tentative de film non musical pour le King. Qui est d'ailleurs plutôt convaincant et sobre.
  18. Vivivi. mais des films comme Broken Arrow ou Apache traitaient de la même chose en 1950 et 54. Idem pour the Flaming Star avec Elvis presley en 1960. Mais heureusement il n'y avait pas de chanson pour le hurler
  19. j'ai toujours préféré voir des uncut
  20. pas de règle générale sur les DVD UK (par exemple, tous les Anchor Bay de la Tigon Box & de la pete Walker box sont avec des st -sauf p.ê Witchfinder General) Sinon, pour la version longue, ce sont surtout des scènes de dialogues qui manquent. Ainsi toute la séquence prégénérique où les gamins arrivent en haut de l'escalier dans le noir est coupée sur la VHS française (ils marhcent dans un parc, dans mon souvenir). Egalement quelques plans coupés ça et là. Si bien que le Z2 UK fait 1H46 tandis que la VHS française doit culminer à 1H32 ou 33 il me semble.
  21. ce vieux cochon d'Albertini a aussi commis ça. Avec Sharon lesley, Shulasmith Lasri, , Angelo Infanti, Don Powell (un habitué du père Bitto)...et la divine Dagmar Lassander Sorti en France sous le titre Black Emanuelle II (chez Scherzo en VHs?) en 1.85:1 et mono italien...je n'ai pas d'autre spec à ma connaissance.
  22. en DVD en italie ressort ce monument de l'inénarrable salvatore Samperi (L'amour en 1ere Classe avec Sylvia Kristel ). Ou un frère et une soeur se rapprochent l'un de l'autre! Draven, tu devrais être dans les parages...quelque chose me dit que tu as adoré ce film cochounet des 80's pleins de filtres moches et de sensations brulantes en toc ! mais bon dieu que c'est con, ce film mais joliment photografié. Bref c'est avec Monica Guerritore, en 1.85:1 , en 2.0 italien sorti chez CVC et je le savais pas (sorti en VHS Chez Scherzo, il me semble, en 1985 ou 6, chais plus)
  23. naaaan, pas dans un bateau mais dans la réédition d'une cul-cul-terie de l'abominable Gariazzo des neiges et en 5.1 italien!
  24. il avait fait le 2 , Bitto refait le 3eme épisode des Supermen! Femi est de la partie (D'amato rapplique viiiiiiite) avec Brad Harris et toujours George Martin du 2. 1970 1.85 et 16/9 5.1 italien et mono italien film annonce dispo à 13,71 € voire moins ça et là...
  25. Superwonderscope

    Rang !

    ben en fait Albert Pyun et david deCoteau, ça me va (merci aupassage pour les Daddy-Casse ) DeCoteau c'est plus logique car il tourne plus vite que son ombre et il y a une surabondance de bis et de gays sur ce forum donc je vote pour DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau!DeCoteau! DeCoteau!DeCoteau!DeCoteau! DeCoteau! DeCoteau!
×
×
  • Créer...