duncan idaho

Oh là là, vous bilez pas pour les pécores que se sont fait arnaquer par des méchants marchands, Zorro est encore là parce que son émission sur F2 sera exactement la même que sur TF1 et RTL, c'est Hondelatte lui-même qui l'a dit sur les ondes de sa radio (RTL, quoi). PS : oui, je suis un réactionnaire, j'écoute RTL le matin, ça me met de mauvaise humeur pour la journée. Mais à 9h30 je passe sur Virgin Radio ! Je ne suis qu'une

yoda comme on le voit rarement dans les épisodes... have fun !

suis allé le voir cet après midi, cinq personnes au total dans la salle, mais j'ai pas l'impression que !indy IV avait raflé la mise... enfin bref, je m'ai bien amusé pendant ces deux heures, j'ai pas trop réfléchi au message sous-jacent véhiculé par l'oeuvre (p'têt parce qu'y en avait pas, en fait), Robert Downey Jr en impose tellement qu'il est bon dans le rôle et je n'ai reconnu Gwyneth que lorsque j'ai lu son nom au générique de fin. Mais au fait, y avait QUOI, après le générique de fin ? C'est pas pour cafter, mais ils ont rallumé la salle tellement vite que je suis parti juste après la liste des acteurs... j'accepte les mp, si vous ne voulez pas spoiler !

le seul générique dont on se souvient, en fait... mais bon, cette série reste d'anthologie -enfin, la première saison qui s'arrête si je ne m'abuse avec le retrait (simulé) des envahisseurs derrière la Lune. Dommage pourtant, le héros a le charisme d'un manche à balai, et joue à peu près aussi bien. Heureusement, il y a Michael Ironside en "gentil" et Jane Balder en méchante !!!!!

là tu m'as fait peur.

bottine !

bon, j'y étais, veni, vedi, vici comme disait Jules, mais là j'ai faim. Donc : http://www.devildead.com/forum/viewtopic.php?f=1&t=20996&p=287093#p287093

"la planète des singes", aussi.

ah, m... j'arriverai jamais à faire apparaître une image sur ce site !!

(copié/collé depuis le site evene) Juin 1940 : Charles A. Lindbergh, l'aviateur héroïque adulé des Américains, est choisi par le parti républicain comme son candidat à l'élection présidentielle face à Franklin D. Roosevelt. La nouvelle fait l'effet d'une bombe. Car le brillant aventurier est aussi un admirateur de l'Allemagne nazie et un antisémite notoire. Tout comme les autres familles juives de Newark, les parents du petit Philip (le narrateur, âgé de sept ans) sont atterrés. Car, déjouant tous les pronostics, Lindbergh, exploitant à fond le pacifisme américain, imposant son slogan 'Lindbergh ou la guerre !', devient en novembre 1940 président des États-Unis. Dès son arrivée à la Maison Blanche, il s'empresse de signer un pacte de non-agression avec Hitler, puis avec le Japon. Les juifs ne tardent pas, alors, à être considérés comme des indésirables au même titre que les Noirs, puis pire encore... Mais, entre certains membres de la communauté juive qui soutiennent la paix à tout prix prônée par Lindbergh et ceux qui osent entrer en dissidence, voire créer des 'brigades internationales' antinazies qui partent combattre en Europe, le fossé va s'élargir jusqu'à la rupture... La critique 'Le Complot contre l’Amérique' est un livre sur la Deuxième Guerre mondiale. Ici, les champs de bataille et l’horreur des combats sont mis de cotés, la guerre se passe dans la tête d’un petit garçon, narrateur et auteur de ce livre : Philip Roth. C’est d’abord une guerre au sein d’une famille juive de Newark, la famille Roth, certains d’entre eux pro-Lindbergh, les autres contre. Lindbergh veut assurer la paix des Etats-Unis, pour cela, la collaboration doit avoir lieu. Il succède à Roosevelt qui, lui, est pour l’entrée en guerre de cette nation contre les nazis. Le choix est le suivant : la paix ou la guerre. La paix gagne, la collaboration aussi. P. Roth narre ses souvenirs d’enfance, d’une Amérique dans laquelle il a vécu étant enfant. Mais au fil des pages tournées, les persécutions adressées aux juifs américains nous ramènent à leurs conditions. Le parallèle avec Pétain est facile. Lindbergh, lui, est devenu héros. Pétain aussi, qui s’est distingué par son très grand courage lors de la Der des Der, et qui, au nom de la pacification française, a collaboré avec Hitler. Dès le début du roman l’oppression est présente, Lindbergh ne se déplace qu’en avion, et les Américains le suivent lors de ses meetings aériens, pas un jour ne se passe sans que l’on ne l’aperçoive dans le ciel, tel le messie envoyé pour exclure les Etats-Unis de la guerre, et ainsi préserver l’intégrité du peuple américain. Roth arrive tout particulièrement bien à décrire, et à nous toucher par cette montée du fascisme dans ce pays. Montée sournoise de la fascisation de cette société, salvatrice dans la réalité, mais qui effraie dans cette fiction, qui, pour sa part semble très, trop même, réelle et l’on se demande ce qu’il serait advenu s'il en avait été ainsi. (Benjamin Lenouail) ça ressemble à de la science-fiction, d'ailleurs c'est une sacrée bonne uchronie, mais ça se lit comme une autobiographie, et ça fout froid dans le dos. Un régal.

toi j'taime pô, toué. Persepolis continue de me faire chialer à chaque visionnage.

bon, comme je m'évertue à le dire sur devildead, comme maintenant j'habite aux portes de Tours j'irai voir de quoi qu'ça cause euc' truc, mais samedi parce que les deux jours avant je bosse. Donc, je jette mon dévolu sur "Chtulhu", samedi à 17h40 dans un amphi de la fac des Tanneurs, histoire de mettre sa race à Cloverfield. Mon petit Melt, si par hasard tu es prèt à t'expatrier loin de tes Hauts-de-Seine, je t'accueille à bras ouverts (mais juste les bras). Et pi même, si y'en a d'autres, ça me fera du bien de connaître de visu des malades de ce site de malades.

un jeu dont mon excellent ami Mercador m'a indiqué l'existence : PORTAL après quelques déboires pour l'installer, j'ai commencé ce soir, et ça a l'air prenant malgré l'apparente simplicité de l'idée de base : utiliser des téléporteurs pour sortir de chaque salle. Un peu comme un rat de laboratoire, il faut refléchir à une solution logique et utiliser son "arme" (un créateur de vortex) à bon escient. Mais c'est une MEGA PRISE DE TETE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

je l'ai regardé lundi soir à la télé, et ça ne passe toujours pas. J'ai eu l'impression de voir une longue pub pour la dernière attraction à sensations d'un parc de loisirs. Et les incrustations sont miteuses.

c'était pas une fausse bande-annonce dans l'émission radio des Nuls, ça ?

tiens, regarde si on voit encore les antennes de télé en arrière plan quand Indy cause tranquillement avec Salah sur le toit de la maison !

http://fr.youtube.com/watch?v=BW8joZZhfGo une chanson qui me donne des frissons tout partout du bas vers le haut, de là à là, et dont je ne me lasse pas. Jamais.

ben moi j'le trouve pas terrible... p'têt parce que ça manque à la fois de méchants nazis et qu'il y a trop de personnages secondaires, ou que ça manque de réalisme (euh... oui, je sais, on ne peut pas taxer de réaliste une histoire ou un aventurier retrouve l'Arche d'Alliance et le Graal tout en ayant le sourire en coin), ou que ça fait trop jeu vidéo, ou que le scénario coince, enfin bref... c'est le seul du coffret (que je n'ai pas) qui resterait dans le coffret.

je l'ai regardé avec grand plaisir hier soir sur le poste, et je suis content de voir que Steven n'a pas cédé à la facilité de corriger la bande "façon George"... et ça donne des antennes de télé en arrière-plan au Caire. Mais bon, j'encule les mouches, ce film reste monumental.

Oooooooh non

dans une bio sur Tim Burton que j'ai eue pour Noël, le réal raconte que le film tient principalement sur les épaules des deux actrices principales : Geena Davis et Winona Ryder, la première par "sa folle envie de jouer, avec la mort comme avec ses partenaires", la seconde par son jeu qui devient de plus en plus inquiétant à mesure qu'elle se prend à apprécier son rôle d'ado gothique. Par contre, la faiblesse du film est apportée par Alec Baldwin, dont on ne sait pas très bien s'il est mal dirigé, ou pas coopératif. Et puis, il y a Michael Keaton.

vi. mais le second trailer en dit trop !!! Je veux tout découvrir en salle !!!!!!!!

toi j'taime pas. Bon evidemment à revoir le film comme ça c'est tout pourri, mais bon... mettre en images le monde de Frank Herbert était de toute façon quasiment impossible, à moins de faire un film de 7 heures et avoir le budget de Titanic. En plus de ça la casting casse pas des briques, mais bon... je conseille plutôt de mater les derniers coffrets sortis (le Z1 métallique avec sa version "longue" téléfilm, et le coffret Z2 avec des bonus de fous) pour ne pas finir sur une mauvaise impression.

Rhaaaaaaaa, les premières notes de l"Imperial March" avec mouvement de caméra sur l'infââââââââme Vador, rien que pour cette séquence je suis heureux que les frères Lumière aient existé !