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riton

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Messages posté(e)s par riton

  1. Les flics ne dorment pas la nuit : magnifique polar réaliste avec stacy Keach, dans la veine 70's qui trataent des etats d'ame des flics. Sobre, direct, désenchanté. Du tout bon, jack.

     

    Tiens, je l'ai cherché en DVD il y a peu, et j'ai pas trouvé. J'en ai le souvenir d'un excellent film noir.

  2. Quelques captures réalisées en survolant les disques :

     

     

    Jeunes filles en extase :

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Désaxées :

    Recadrage après générique

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Confessions érotiques d'un lit trop accueillant :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les Chiennes

     

     

     

     

     

     

     

  3. C'est le deuxième opus des quatre de la série de rape movies réalisés par Hasebe pour la Nikkatsu.

    De la pure bombe, ultra violent et complêtement barré, un bon exemple de l'excellence à laquelle les produits du genre pouvaient prétendre bien que tournés en une poignée de jours.

     

    Rape (un peu moins violent) et Rape : 13th hour (un peu plus violent) ne déméritent pas à coté, c'est dire...

     

    Dans le même sous-genre du Roman Porno, les films de Yukihiro Sawada bénéficient d'une bonne réputation, de même que le Zoom up : Rape Site de Koyu Ohara. Je ne les ai hélas pas vus.

  4.  

     

    Une version idéalisée du combat entre d'une part Dillinger et des ses acolytes bandits célèbres et de l'autre les G-men. Attaques de banques, mitraillades, cadavres, on ne s'ennuie pas trop à ce divertissement macho à condition de ne pas le prendre trop au sérieux.

     

    Encore une fois, le gros point fort réside dans le cast, Warren Oates en tête, suivi de Harry Dean Stanton, Geoffrey Lewis et Ben Johnson.

     

    De la bonne came pour Wonkley.

  5.  

     

    Provo (James Coburn) est à la tête d'une clique de prisonniers fraîchement évadés (au début du film) des travaux forcés. Il est bien déterminé à se venger de Sam Burgade (Charlton Heston), ex-représentant de la loi qui l'a envoyé en taule et auquel il prête la responsabilité de je dirai pas quoi c'est la suprise.

     

    Ca se regarde, mais ce n'est pas franchement mémorable. Il s'agit d'un western vaguement violent, aux thématiques déjà bien épuisées par d'autres réalisateurs avec beaucoup plus de succès qu'ici, le meilleur du film restant la présence de Coburn sans qui tout ceci tomberait dans le soporifique.

    Pas terrible.

  6.  

    titre français : Confessions d'un moniteur d'auto-école

     

     

    Où il est question d'une auto école menée par une paire de branques, dont un moniteur qui a beaucoup de succès auprès des dames. Ca tombe bien, toute la clientèle appartient au beau sexe.

     

     

    Difficile de ne pas faire la comparaison avec la sexy-comédie en vogue en Italie à la même époque, à la formule comparable : scénario préxtexte aux blagues vaseuses, jeus de mots et allusions en-dessous de la ceinture, et scènes grivoises quoiqu'assez soft.

    Certaines différences marquent tout de même les spécificités locales.

    Le héros est prétendument beau - les dames apprécieront - , en tous cas d'un genre différent d'un Banfi ou d'un Vitali.

    L'humour a tendance a être assez peu scatolgique, avec un faible taux de prouts, s'axant plutôt sur des sous-entendus para coïtaux.

    Il en résulte un style moins outancier, probablement plus british - l'utilisation de l'accéléré à la Benny Hill ne trompe pas ! - quoique restant dans le champ de la farce populaire grasse et épicée.

     

    Norman Cohen a réalisé d'autres film sur le mode "Confessions of..." autour d'un noyau d'acteurs commun, mais je ne sais pas quelle fut l'ampleur de la sexy comédie à l'anglaise ?

     

    Moi j'aime bien

     

     

     

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