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bloknotise

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Tout ce qui a été posté par bloknotise

  1. bloknotise

    Crash - D Cronenberg - 1996

    chiant est le bon mot completement d'accord, une grosse deception aussi après la grosse deception de M Butterfly le film qui dit clairement que le monsieur a carrement changer d'optique cinematographique après The naked lunch... plus qu'emmerdant ça m'avait rendu triste, ah pitin c'était mieux avant
  2. Pitin j’adore ce film, et il y a plein de raison de l’apprécier d’abord y a Jeffrey Combs qui joue le rôle du Docteur Est et puis pour continuer il y a David « flyin’head » Gale fantastique de méchanceté et de charisme dans le rôle du grand méchant, sans parler de Mark Hamill qui était là pour le cacheton. Ensuite la scène de la confrontation avec les loubards particulièrement réussie où le Guyver met en pièces ses adversaires. Séquence qui a dû plaire a Brian Yuzna producteur ultra exécutif pour Mutronics puisqu’on la retrouve quasiment telle quelle dans Faust. (D’ailleurs ça me fait penser que le film tel qu’il est aujourd’hui doit être une version largement tronquée de ses effets gores pour pouvoir être tout publics, le film comme Screaming Mad George et Steve Wang le voulaient devait être nettement plus sanglant tant certains cuts ou hors champs dans le métrage sont maladroits). Pour finir le final extraordinaire confrontant le Guyver à un gigantesque monstre (pitin comme dans Faust aussi) en animation image par image très reussi aussi pour l’époque et le budget. Ode au latex très soignée, les Fx makeurs pour le coup n’étaient franchement pas des manches et puis surtout ils étaient réalisateurs, qui fleur bon la zederie eighties, qui a un rythme largement soutenue pour ce type de prod, qui permet de revoir la bonne partie du casting de Reanimator, a fond second degrès (incomparable avec la tragédie froide et triste du Manga). Bref Mutronics est indispensable au milieu d’une soirée thématique « adaptations pourrites mais rigolote de Bd minables » avec Fist of the north star, le Vampirella et les 4 fantastiques de Corman. Sa suite « Guyver » 94 débarrassée de Yuzna et des ambitions au box-office est relativement différente tout en restant aussi très réussie (tjrs pareil en fonction de l’époque, du budget, de l’ambition bien sûr).
  3. pitit up pour dire que Sci-fi vient de finir la diffusion des 10 premiers épisodes de la seconde saison de la série...et comme c'est la folie du cliffhanger, j'en fait des cauchemars la nuit bref j'attend cette suite comme la délivrance ultime de ma vie... ha au fait : TRANSMUTATION!!! (putain des années que j'attend de faire ça désolé)
  4. mais moi chuis tjrs d'accord avec les mecs qui aiment et qui défendent Norrington, Vidocq et RE1
  5. Oui mais les noms c’était surtout pour faire référence à la nouvelle vague française, parce que tu le veuilles ou non The Addiction c’est vraiment le Parfait mélange entre La Maman et la Putain et Bad lieutnant. Ce film il fait nouvelle vague française à fond et surtout le récit mettant en scène une femme vivant une tragédie, je crois que c’est Truffaut qui disait en reprenant Max Ophuls « le cinéma c’est filmer de belles femmes en train de faire de belles choses ». Putain ce film pour moi c’est la parfaite caractérisation de cette citation. Mais dans le fond on est bien d’accord c’est plutôt chiant.
  6. T1 t'as dit pareil de Blood En même temps je comprend cette façon de voir, ne l’ayant pas vu depuis sa sortie j’ai peur que le film me fasse cet effet aujourd’hui Mais si on aime la nouvelle vague, le cinéma de Marker, Eustache, Truffault voir même Godard première époque. Si en plus on aime Paul Morrissey et Andy Warhol, le cinéma expérimental, d’art et d’essai, qu’on lit les Cahiers et Telerama, qu’on ne regarde que Arte…c’est quand même un bon début pour ce mettre aux films de vampire.
  7. Quand la télévision fait des chefs-d'oeuvres, pareil que tous ceux qui suivent ps : Tony va t-il mourrir cette saison ? Chase aurait été clair là dessus
  8. Pour l’anecdote la technique d’animation des monstres avait été inventée par l’équipe d’effets visuels de Randall Cook, et celle-ci a eu son petit succès. A l’époque c’était même l’argument principal des amateurs du film (pour l’année de sortie le respect des proportions et l’animation dans l’image étaient vraiment spectaculaires, une impression de mouvement largement plus crédible que dans Gremlins par exemple, on pourrai définir ça aujourd’hui comme du « Harryhausen 2.1 »), l’équipe perfectionnera cette technique dans I, madman du même réalisateur 2 ans plus tard. Stephen Dorff sera nommé 2 fois en 88 : pour les Young Artist Award et les Saturn Award pour sa performance de jeune acteur, il ne gagnera rien, à l’instar du producteur Andras Hamori futur producteur d’Existenz qui lui aura droit a un Golden Reel Award.
  9. aprés avant i love what yu did...yes even Soldier
  10. la photo, les brushing des persos ou Roddy Mc Dowell ? ce visage carracterise les années 80 à lui tout seul non ? (putain que j'aime Fright night 2) et puis faire eithies c'est pas une insulte non plus...enfin oui ça dépend
  11. moi je vous dit : attendez de voir le 3 site officiel : http://www.creepshow3.com/ un des nombreux teaser : http://www.creepshow3.com/alicemedia.mov encore une franchise qui fini bien
  12. Pas vu non plu mais entre le réa et le casting ça donne carrément envie… En tout cas plus envie que ça : et que ça aussi : même si c'est très bien
  13. ben que la meme année sortait "From dusk till dawn" par exemple. oui et c'est bien là le seul problème du film, completement occulté par tout le talent de la bombe de Roberto la même année, mais ça veut quand même pas dire que l'autre est une merde... ...ou alors si, mais pas si on se place au niveau de l'ensemble de la prod de film de vampire aux States pendant les années 90... désolé
  14. tu as raison K, la fin met en scène un massacre des putes-vampires dans le bordel où effectivement la plupart des plans gore ont des CGI. Cela dit pour défendre un peu plus le film par rapport à Demon Knight, perso les films d'horreurs à huits clos ça commencait dèja à l'époque a me faire chier (ça a commencé avec NOTLD en 68 et ça ne s'est plus arreté les Alien, predator, Cube, un nuit en enfer, Descent etc. mes couilles, j'en peut plus, fuck les huits clos bordel ! , c'est pas que ça les films de genre) et sans doute pour ça que je ne lui trouve aucun prôblème de rythme (putain d'intro avec le reveil de Lilith quand même) incomparable avec l'eternelle rengaine des quatres mecs enfermés dans une baraque cernée par les forces du mal. Voila Bordello of Blood se veut quand même plus léger que son predecesseur et à pour lui d'avoir un scénario original, même si sa mise en forme ne casse pas des briques, que dire de plus ?
  15. Je rebondi sur le thread sur Demon Knight pour dire d’abord que c’est un film que Kéro n’aime pas des masses et ensuite que c’est un des rares films de vampires « pré-Blade » assez réussi. Produit par le trio Zemekis-Hill-Adler quelques années avant la création de leur boite Dark Castle. Les évidentes similitudes du film avec Une nuit en enfer ne sont pas si fortuites, le scénario de Quentin aurait bien tourné avant de trouver finances. Bref un film bien fun avec en vedette une star du Saturday night live (emission très populaire outre-atlantique, ayant servie de model à « les nuls l’émission ») Dennis Miller jouant un détective aux trousses d’un jeune homme (Corey « i don’t like the drugs but the drugs like me » Feldman) en fugue dont la sœur (Erika « je sort du gâteau en ficelle dans Piège en haute mer » Eleniak) est très inquiète. Et elle fait bien de s’inquiéter car son petit frère est tombé entre les mains d’une reine-Vampire (Angie « à l’époque j’avais encore une taille et des hanches» Everhart) tenancière d’un bordel à putes-vampires à poil caché dans un funérarium. Oui le monsieur responsable du scénario est un drogué et j’aimerai qu’il soit mon voisin mais la vie est une chienne. C’est sur un rythme entraînant que Monsieur Adler fait allé son métrage, entre femmes vampires en lanières et détective barbu rigolo. A noté la présence de Chris « Welcome to Fright night ! »Sarandon grandiose en gourou religieux ultra médiatisé. Un film que je l’aime.
  16. 40 ans avant Georges Romero avec Bruiser, Terence Fisher réalisait dèja un film où un homme trompé par sa femme, son meilleur ami et ses pairs se venge de manière horrible sous l’apparence d’un autre. Tourné immédiatement après “Brides of Dracula” “the two face of Dr Jekill” réuni donc la même équipe et le génial duo Jack Arsher à la Photo et Bernard Robinson à la direction artistique. Oui oui les même que Horror of Dracula, The mummy, Le chien des Baskerville et j’en passe, ceux la même qui brillent par leur perfection visuelle. Jean Pierre Dionnet dans sa présentation du film il y a quelques années dans Cinéma de quartier disait que il était le premier d’une longue série qui abordaient la nouvelle de Stevenson de façon « déviante » à commencé 2 ans après avec je cite : Jerry Lewis et son Mr Love, Skin Deep in Love de Joe Sarno ou une femme sous hypnose devient une obsédée sexuel, Dr Black & Mr Hyde ou un bon black le jour devient un blanc tueur de prostitués la nuit, Dr. Heckyl and Mr. Hype de Charles B. Griffith où là Mr Hype est androgyne, etc. (pour s’arrêter au début des années 80). Avec Paul Massi qui fit sa carrière à la TV par la suite et la belle Dawn Addams dans la rôle de la femme adultère qu’on retrouvera 12 ans plus tard dans The vampire lovers, à noter au scénario Wolf Mankowitz écrivain et scénariste entre autre de la 25eme heure de Verneuil. Bref à sa sortie le film eu un gros problème avec la censure à cause de la scène du viol conjugal ce qui en a fait un Hammer assez rare tout comme The man who could cheat death ou la Gorgone. Trouvable quand même en vidéo au Canada. Un grand Fisher injustement oublié.
  17. L’histoire de 2 étudiants qui a la recherche de sensations fortes termineront dans une boite a steap-tease tenu par des Vampires sur qui règne une reine ancestrale. Un film qui fleure bon les années 80, qui ont été bien avares en prods de films de Vampires. Grace jones crève l’écran dans ses danses érotiques couverte de maquillages, des actrices aux hanches larges et en talons aiguilles avec des vestes à épaulettes se dandinent un peu partout pendant tout le métrage et le rôle masculin principal nous fait une très bonne imitation de Michael J Fox. Un peu long au début le récit à du mal a démarré mais le rythme devient vite agréable, le but étant quand même la comédie horrifique et le réalisateur essaie de trouver le juste milieu sans doute inspiré par Fright Night réalisé l’année précédente. Richard Wenk ne fera plus grand-chose après a part un « Kevin Williamson like » nommé Wishcraft sorti en 2002 soit 16 ans après son second film Vamp. A noter dans le film la présence de la sœur de Michelle Pfeiffer « Deedee » et le très connu cachetonneur de la série B Billy Drago. Toutes ressemblances avec un film réalisé par un mexicain fumeur de joint et scénarisé par un gars adulé qui fait qu’a dire des conneries et crier à qui veut l’entendre son originalité est évidement pas du tout fortuite. Un Z1 bien fourni en Bonus et pas cher attend les amateurs.
  18. Le récit est celui d’une jeune chanteuse d’opéra, de nos jours, dans une ville ressemblant fortement à New York, qui fait un malaise lors d’un casting pour une adaptation de Faust. Le metteur en scène (R. Englund) la recueille chez lui. Là, la jeune fille se réveille et lorsqu’elle entend la mélodie que Robert joue au synthé elle se souvient d’une vie antérieur où elle était jeune choriste à l’opéra de Paris et la le récit devient presque celui du fantôme de l’opéra. Le film est assez gore (éventration, broyage de figure, égorgement) bien foutu, les scènes d’époques pour le budget du film sont etonamment réalistes, bémol pour le rythme (faiblesse inhérente au réalisateur pour moi, son Halloween m’est pénible) Englund extraordinaire, jubilatoire de vice et de méchanceté, bien meilleur que dans Freddy à mes yeux.
  19. Réalisé par le frère de Nicolas Cage, Christopher Coppola (entre autre scénariste de Chute libre) avec Silvia Kristel en pleine tentative de reconversion. Un film de vampire cheap qui faisait dèja vieux l’année de sa sortie, pas même agréablement marqué dans la réa par la vague new-wave-neon-fluo (a part peut-être le brushing du héro) comme vamp ou Fright night ont pus l’être. Pas assez Bis et racoleur pour être associé aux prods de Rollin ou Franco Dracula’s Window reste une curiosité à ce jour assez rare, un DVD universal était annoncé en France je crois, il est sorti et ne vaut presque rien partout en Europe (en tout cas sur en Espagne).
  20. moi genial quand je l'ai découvert en video entre 85 et 88, repassé sur CineFx au début de la chaine, un peu decu (plus par le souvenir idilique que j'avais des mannequins parfaits du films dont les canons sont completment depassés aujourd'hui). Mais carré bien ecrit, bien interpreté effectivement.
  21. si tu as canalsat ça repasse le soir sur la chaine "Ma Planete" celle qui est juste au-dessus de Cartoon network dans la grille, ça vaut le detour au moins par curiosité.
  22. effectivement l'affiche n'est pas très caracteristique de l'animation du DA, ça ressemblait plutôt à ca : yes le jeu sur Amstrad :
  23. Moi aussi j’ai suivi la série sur TPS et j’ai trouvé le récit un peu faible malgré la toile de fond très politisée de l’univers développé et comme d’habitude chez Weddon la trame relationnelle entre les personnages. Le mélange visuelle entre Western et Space opera est assez raté, il en ressort quelque chose de cheap et maladroit dans la photo de la série, ça ressemble à ce vieux dessin animé qui fit suite aux Maitres de L’univers : Bravestarr, vous vous en souvenez ? Je suis quand même curieux de voir ce que donne le long métrage
  24. Petit rappelle de la carrière de farouche B maker de Miner quand même Vendredi 13 chap 2 avec la création de toute la mythologie autour de Jason et son terrifiant masque en toile style sac de pomme de terre dont l’orifice déchiré laisse entrevoir l’unique œil du tueur trisomique traumatisé par la mort de sa mère. House 1 savant mélange de Kramer contre Kramer, the Haunting et evil dead 2, un régale pour l’époque. Warlock 1, Terminator chez les sorciers, extraordinaire série B road-movie, efficace et carré. Début des années 90 rupture avec Sean S. Cunningham et partage en couillette de la carrière (remake de mon père ce hero avec Depardieu, H20 gros hors-sujet issu de la mode Scream) même si le bonhomme officie toujours aussi bien pour la TV : diagnostic murder, the practice, Smalleville, Jake 2.0 et j’en passe. Malgré tout il fera quand même Lake placid monster movie de l’été bien sympa, et régalera ses fans de la première heure dans un reportage sur « the last house on the left », à noter qu’il est le seul réalisateur des films Vendredi 13 qui n’intervient pas dans les reportages réalisés sur la série pour le récent coffret DVD (il ne s’est sans doute pas réconcilié avec Cunningham). Ce gars m’a fait peur et rire enfant comme peu de réalisateur l’on fait, ses films font vraiment parti de mon panthéon des meilleurs série B de leur époque, vraiment je l’admire et suis plus qu’heureux qu’il se retrouve à la tête d’un projet de ce type.
  25. mais y a pas que sur Devildead, moi j'ai vu Yannick Dahan le dire dans Operation Frisson...Le chroniqueur de Mad qui avait fait la preview de La Ligue des Gentlemen extraordinaires avait lui aussi sorti ce type d'argument pour attaquer le film. à croire que c'est une caractéristique d'une certaine forme d'analyse cinematographique.
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