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bloknotise

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Tout ce qui a été posté par bloknotise

  1. mais comme ça m'excite tout ce revival peplum...c'est pas des blagues
  2. Tjrs à Aix dans ma bibliothèque, sans clim (chuis sûr que ça tu as) sous une verrière l'avantage c'est que les jeunes étudiantes ont aussi chaud que moi c'est pas que je suis pervert mais cette année elles sont carrement en mailot de bains et paréo transparant, c'est de pire en pire (ou de mieux en mieux ça dépend qui) si c'est le rechauffement global ça n'a pas que du mauvais finalement. voila maintenant si tu veux insulter les aixois va s'y... désolé edit : chuis un gros mal poli, merci à tous
  3. voila 33 ans aujourd'hui il fait beau il fait chaud les filles sont belles et je suis au travail jusqu'a 6 h quand je sors la plage quite à raconté ma vie autant vous donnez le programme
  4. je sais que je loose mais impossible de remettre la main sur le thread original, désolé wMFJ7z7Qz0Y
  5. Interview de Matt Reeves en vidéo lors de la remise des Saturn le monsieur parle assez longuement de la façon dont il voit Cloverfield 2 gné! http://www.collider.com/entertainment/interviews/article.asp/aid/8324/tcid/1
  6. Nouveaux trailers sur Youtube mDieDODySY4 67-poSYpVP0 sktZWzBKuFc SwEeLJ5UqwY
  7. bloknotise

    Bug du forum

    mmm quelle drôle de recherche "punition"... edit : aah ok dsl en tapant un titre comme "midnight meat train" j'ai eu aucun pblme ce matin. je re-check edit 2 : je répond là pour pas faire sale meuh c'est pas grave pour mes posts...premièrement l'intérêt était pas au rendez-vous...deuxièmement j'ai plus de fierté depuis longtemps, ça aide à vivre
  8. Attention SPOILERS en anglais Interview Marshall (qui réalisera en partie le film) sur fangoria : http://www.fangoria.com/fearful_feature.php?id=6750 Premières images : PYl0L5myikY
  9. bloknotise

    Bug du forum

    ras Jefe
  10. bloknotise

    Bug du forum

    En même temps quand c'est un con comme moi qui l'écrit ça vaut ce que ça vaut hein mais c'était carrement sincère au fait qu'est-ce qu'on fait dans ces cas là (bug) on reposte pas les vraies infos ? si ? help
  11. Apparement des dates officielles pour la suite de la quatrième saison circulent (ATTENTION SPOILER INSIDE) http://forums.scifi.com/index.php?s=097d2695ba66bdcc89f765b221c16e69&showtopic=2309946
  12. Chacun sa merde comme on dit chez nous c'est Martyrs... lettre ouverte de Clive Barker pour sauver le film de Kitamura http://www.fangoria.com/news_article.php?id=6791
  13. Oh yes super film… A noter : Le dernier film de Tom Holland pour le cinéma après avoir été le scénariste de Class 84, The beast within et réalisateur des très bons Fright Night et Child’s play…but Why ? Joe Mantegna dans le rôle d’un mafieux italien de New York, le pire de sa vie (et y’en a), excessivement caricatural mais excessivement méchant et dégelasse dans le film, ça excuse tout. Kari Wuhrer mais comme elle est belle, bien après Ford Fairlaine mais avant Sliders la série, en tout cas bienbien avant Arac Attak et Hellraiser Deader. En gitane nymphomane et perverse maismaismais… Et Robert Burke l’interprète de cultissime Dust Devil de Richard Stanley et du nullissime Robocop 3, qui joue bien la maigreur mais quand même incomparable avec Christian Bale dans le Machiniste pour un rôle similaire. Dans tous les bons vidéos clubs de chez nous dès 97, entre Halloween 6, Batman Forever et ID 4…ah quelle époque...Bis
  14. C'est clair on était 3 dans la salle, ma femme, mon cousin et moi...c'est pas des blagues
  15. La méthode VAN DAMME ou pourquoi JCVD se révèle être un des meilleurs acteurs francophones ayant jamais existés ? La méthode Van Damme est simple et efficace, on prend un sportif, un gars habitué à refaire toute la journée les mêmes gestes pour pouvoir faire des mouvements le « mieux possible ». Des règles de vie simples, quasi mathématiques, dans le but de faire fonctionner son corps le « mieux possible ». Ce sportif devient « acteur » mais pas vraiment car pour « jouer » le sportif exploite ce pourquoi il est entraîné, il fait des mouvements. Et ça le sportif il en est conscient (aware), il sait qu’il est un mauvais « acteur » (principalement parce que les gens le lui disent), il sait qu’il a le charisme médiatique de n’importe quel autre de ses confrères sportifs (principalement parce que les gens se moquent de lui) donc pendant presque vingt ans le sportif il prend des cours « d’acting ». A partir de là le sportif applique à son « jeu » les règles de son entraînement sportif. Carré, avec des « coach », de la volonté et beaucoup de patience le sportif met en place sa « méthode ». Simple et connue de tous, elle consiste surtout à apprendre son texte sur le bout des doigts et le travailler des heures durant, comme les mouvements. Mais hélas le sportif est un expatrié dans le pays dans lequel il fait des films, hélas le sportif il est compromit dans un genre, hélas le sportif ne « joue » pas dans sa langue natale, hélas le sportif dit de plus en plus de conneries, hélas le sportif il est sportif. Un jour arrive un réalisateur talentueux (oui on les reconnaît facilement de nos jours c’est ceux qui ont de bonnes idées) Mabrouk El Mechri. Un gars avec la bonne idée de faire de Van Damme un film. Premier énorme coup de bol pour ce jeune réalisateur, le sportif à un ego tellement énorme qu’il accepte le projet, mieux il est emballé, il le produit. Deuxième énAorme coup de bol pour ce gars talentueux, au moment de faire le film il se rend compte qu’il est face à la machine à jouer la comédie la plus perfectionnée qui ai jamais existée dans tout le monde francophone. Effectivement la méthode « d’acting » du sportif le transforme dans sa langue natale en un robot disant son texte à la parfaite convenance du réalisateur. Réalisateur qui va donc profiter de cette peinture mise à sa disposition pour en faire, en même temps, la matière et le propos de son tableau de film. Crédible, intense, émouvant, drôle, le jeu (« maîtrisé » de main de maître par El Mechri) du sportif entraîne le spectateur dans une incroyable palette d’émotions tout au long de JCVD. Sans oublier les qualité du film, bien photographié, excellemment monté, bien interprété (pas que JC même les autres aussi, le génialement odieux Zinedine Soualem), un film qui malgré se qu’on peut lire et entendre est un putain de film de prise d’otages comme on en a plus fait dans le coin depuis belle lurette. A l’arrivée le spectateur prend une grosse claque, sortant d’un film intense et beau, avec pour interprète principal un Van Damme dont le travail, le jeu et l’interprétation enterre littéralement tout ce que les acteurs français à la mode comme Dujardin, Garcia ou Duponteil (eux aussi des transfuges d’un autre genre) ont pu faire ces derniers temps. Une incroyable réussite cinématographique, un invraisemblable pari remporté. Vivement le prochain réalisateur qui saura bien « utiliser » cet extraordinaire outil à faire « des putains de bons films » qu’est JCVD. Désolé pour le paté, j'en sors, chuis à fond...
  16. Yes deux ans j'ai pas pu poster (je sais c'est pas plus mal) mais je vous ai lu... j'ai ri, j'ai pleuré, il est trop cool le monde d'Allan Theo (cool dans le sens mieux que celui de Candy...) ok
  17. EnAorme nouvelle pour les adorateurs de films de vampires en costumes dits « gothiques ». Apparemment le pape de ce genre au jour d’aujourd’hui Tim Burton serait (avec John August son pote scenariste depuis Big Fish) en train de plancher sur une adaptation ciné de la série culte de Dan Curtis « House of the Dark Shadow ». Série excessivement populaire aux USA dans les années soixante-dix, qui est un peu à la télévision ce que les films de la Hammer sont au cinéma. Mélange de soap à la « feux de l’amour » et films de vampires sixties. Deux longs métrages ont déjà été tirés de la série, un film original et un montage des épisodes TV. Johnny Depp produit et devrait incarner le rôle principal, celui du vampire Barnabas (mais qu’est-ce que c’est ce prénom?) Collins. Un projet qu’il est chatoyant Zonebis c’est le bien, vous m’avez manqué.
  18. bloknotise

    Warlock - Steve Miner - 1989

    Je m’élève pour défendre cette excellente série B qu’est le premier Warlock. Avec son scénario fou, mélange de Terminator, du Masque du démon et de road movie signé par un jeune David Twohy qui venait de faire ses premiers pas dans le genre avec Critters 2. Avec le réalisateur génial Steve Miner qui était là pour se racheter, malgré ses chef-d’œuvres (Friday the 13th part 2, part 3 et surtout House) personne ne lui pardonnait Soul Man. Ses acteurs de films d’auteurs Julian Sands en tête qui entamait une carrière de cachetonneur sans nom après avoir tournée avec de grands auteurs comme Ken Russel, James Ivory ou encore Krzysztof Zanussi. Richard E. Grant sans aucun doute un des plus prolifique acteur anglais de ces 20 dernières années qui est passé devant les caméras d’Antoine De Caunes, Coppola, Robert Altman et bien bien d’autres. A noter que pourvu d’un physique chétif l’acteur est généralement cantonné à des seconds rôles peu virils, Warlock est une exception dans sa carrière puisqu’il en est le héros musclé. Actrice et chanteuse à la mode à la fin des années quatre-vingt surtout connue aujourd’hui pour être la dernière compagne en date d’Alec Baldwin, Lori Singer la jolie héroïne de Footloose faisait là son unique incursion dans le genre fantastique. Warlock est un film carré, assez froid, violent et sobre, même à l’image. Une image volontairement pauvre en couleur, à la compo ultra académique diamétralement opposé à sa suite beaucoup plus pulp, le tout au service d’un montage très bien rythmé menant sans ennui le spectateur jusqu’a son final apocalyptique, effectivement pas très original l’ombre de Terminator planant sur le récit. Le film de Cameron est bien plus qu’une référence dans ce cas, les ambitions sont quasiment les mêmes autant artistiquement qu’économiquement parlant. On veut faire un petit film glauque et nihiliste qui défouraille bien en espérant gagner le pompon du coté de la distribution. Ce qui fût le cas, car même si ce n’était pas l’intention de base (la fin du film de Miner clos définitivement l’histoire) contre toute logique narrative on en fera une franchise. Julian Sands reprendra le rôle une dernière fois avant de laisser sa place à Bruce Payne. On pouvait découvrir Warlock dès l’été 1990, celui de mes 15 ans, dans tous les bons vidéo-club français entre Batman, Jeu d’enfant, Freddy la série TV, Rotor, They live, Hellraiser 2 et bien d’autres. Un film bien fait, pourtant marqué par son époque et son budget ridicule, des intentions louables, un souvenir impérissable. Un film que j’espère que vous lui redonnerez sa chance. Zonebis je vous aime, désolé pour le pâté Vive l’été
  19. interview qui fait peur des deux compères sur entertainment weekly si l'interview fait peur c'est dèja ça de gagné pour le film : http://www.ew.com/ew/report/0,6115,1206985_1_0_,00.html
  20. La diffusion de la saison 2 sur Sci-fi vient de finir, je suis sous le choc, c’est trop fort. Rien n’a jamais était fait dans la SF de cette façon là, l’adéquation entre le fond et la forme, entre la technique de réalisation et le sujet est d’une efficacité monstrueuse. J’aime bien la phrase de Ron Moore pour décrire sa série « ça pourrait se présenter comme une antithèse méticuleuse de Starship Troopers ». Pas sur que ça donne envie mais c’est exactement ça, fable anti-humaniste terriblement lucide et fataliste, filmée de façon à ce que ce que ce soit le moins spectaculaire possible. Et c’est génial. Pour faire un léger hors sujet j’ai vu sur Jimmy il n’y a pas longtemps un reportage qui comparait la production cinématographique hollywoodienne et les récentes séries TV comme les Sopranos, Six feet under et bien d’autres. Les producteurs TV interviewés expliquaient qu’aujourd’hui la télévision américaine donne aux séries un format « temps » et une légèreté des cahiers des charges thématiques et des cotas qui leur permettent de développer des récits finalement beaucoup pertinents et denses que la plupart des Blockbusters hollywoodiens. Dans la mesure ou pour un film il faut satisfaire la plupart des investisseurs, chacun lié à une séquence qui leur est chère. Dans la mesure ou pour un film il faut un cotas d’humour, de sexe, de violence, de noir, d’obèse, d’asiatique etc. c’est vrai que les scénaristes ont plus que les mains liées. Par contre la TV libère ses auteurs de la plupart des contraintes quand elle signe des J.J Abrams, David Chase et Sam Mendez par exemple. Du coup Hollywood ne fait plus que des huit clos et des remakes, des fois même en même temps (Poseidon). Je déconne mais sincèrement je suis impressionné par le bon au point de vue qualitatif des séries américaines ces 5 dernières années, on est passé de Docteur Quinn et le Cameleon à Carnival et Lost…(merci qui ? merci X-files). J’en suis au stade où j’attend plus impatiemment la dernière saison des Sopranos que le prochain Cronenberg, ça me fait bizarre quand même, est-ce grave docteur ?
  21. T1 j'ai cru qu'il s'agissait du remake de ça :
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