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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. je n'ai vu que DIGITAL MAN... et... ben c'est pas franchement folichon, hein....
  2. Euh, c'est plutôt un point positif ça, non ? Disons que dans une production US avec plein de sous ça fait un peu tâche ! c'est une question de point de vue
  3. Ben tu peux attendre 70 années de plus....
  4. aka: CURSE IV: THE ULTIMATE SACRIFICE Au XVIème siècle, dans les catacombes d'une abbaye du nord de l'Italie, un démon chevelu se fait emmurer par une délégation vaticane. Un peu moins de 500 ans plus tard, une enseignante américaine vient passer un séjour dans cette abbaye afin d'y étudier certains sujets auprès des moines présents. Comme par hasard, c'est à cet instant que le démon des catacombes donne signe de vie... Produit par Charles Band sous la bannière Empire et réalisé par David Schmoeller auparavant responsable du bon FOU A TUER, cette intrigue digne d'un "Derrick chez les curetons" ne possède de bien que son affiche, et son introduction. Passé le premier quart d'heure, la curiosité disparaît, la routine prend place et l'ennui croît. On retiendra éventuellement une scène dans laquelle Jésus descend calmement de sa croix après s'être ôté ses clous comme on enlève notre ceinture de sécurité une fois notre voiture parquée, et aussi un discours cocasse de l'abbé mourrant, regrettant de ne pas avoir connu le plaisir de la chaire: "Je regrette de ne jamais avoir fait l'amour. J'espère pouvoir le faire avec Dieu." Bonne chance mon gars. Quant au titre CURSE IV, il s'agit d'un pur opportunisme de la part d'un distributeur vidéo peu scrupuleux, d'autant qu'il semblerait que le CURSE III date de 1991... A noter que déjà CURSE et CURSE II n'ont rien à voir entre eux...
  5. Je viens de me le farcir et.... Quel dommage. Ca commence sur les chapeaux de roue, ça cartonne un max, baston, poursuite en bagnole, gunfight, face à face dégoulinant de testostérone pendant les 30 premières minutes..... Puis débarque la relève (Biel et Reynolds), non pas que les personnages m'ont dérangé, mais le film subit soudain une vilaine baisse de régime. On fait le point sur le bien, le mal, gnagnagna, bref on s'en tappe, et du coup on perd un peu le spectateur. Le final ne retrouve jamais la patate du début, mais j'ai adoré le coup des clébards et le Dracula final est réellement impressionant, dommage qu'on ne puisse pas en profiter plus. Quant au personnage de Drake, il ne m'a pas spécialement dérangé.... Euh, c'est plutôt un point positif ça, non ?
  6. ben que Coppola a sans doute coulé le projet
  7. Kerozene

    U-Turn d'Oliver Stone (1997)

    Ah, aurait il renié son meilleur film ? je te sens taquin toi ce soir
  8. Kerozene

    U-Turn d'Oliver Stone (1997)

    Mouais... c'est pas trop mal - donc autant dire que c'est de la balle pour du Oliver Stone, mais j'ai définitivement du mal avec la roublardise du gaillard. Rien à faire. Et puis quand tu sais que Sean Penn dégueule sur le film et son réal, ça me conforte dans mon appréciation
  9. Vu il y a des années, j'en ai un souvenir plutôt pas mal. Me suis récemment choppé le DVD Elite, on va voir ce que ça donne.
  10. Mythique m'enfin, ça a plutôt tendance à se moquer (gentiment) des metalleux.. non ?
  11. Faux film provoc et vrai film ennuyeux. Dommage.
  12. Kerozene

    Mylène à Bercy

    Viendez au LUFF je vous dit, pour 10 euros vous avez presque 6 heures de live avec des gars qui bouffent du verre, qui s'enfoncent des micors dans certains orifices et des japonais qui glorifient le punk old school.
  13. Tu veux dire "un film que personne n'a vu"
  14. C'est autre chose que THE DAY AFTER TOMORROW
  15. aka: SNAKE Comme d'habitude lorsque Godfrey Ho réalise pour le producteur Joseph Lai (ici pour le compte d'IFD), on a droit à un composite de deux films. Ou plutôt, d'un film, amputé de certaines scènes, et auquel ont été ajoutés d'autres scènes tournées pour l'occasion (ou une autre, allez savoir), ces scènes mettant en avant, comme d'habitude, ce bon vieux Richard Harrison. Le résultat est comme toujours terriblement confus, mais pour une fois, pas de ninja en vue. Voila qui est presque original de la part du tandem Ho-Lai! SCORPION THUNDERBOLT raconte l'histoire d'un occidental (Harrison) qui se voit soudainement harcelé de toutes parts par des types en marcel bleu qui en veulent à sa bague, une bague qui se trouve être le seul artefact ayant le pouvoir de faire disparaître la déesse scorpion. Celle-ci passe son temps à gesticuler dans la pénombre en frappant la peau d'un tam-tam à l'aide de ses mains terminées par d'interminables ongles. Les rythmes du tam-tam influent sur un joueur de flûte qui de son côté se met à siffler quelques notes dans les rues de Kowloon, notes qui ont un effet radical puisqu'elles ont le pouvoir de faire muter une personne en monstre-serpent humanoïde sanguinaire! Un flic et sa petite amie journaliste enquêtent sur les meurtres occasionnés par ledit monstre question tandis que dans son coin, Richard Harrison subit les assauts à répétition du gang des marcels bleus dont la plus croustillante représentante reste une blonde au regard vide qui le séduit en lui dévoilant le porno dans lequel elle a joué - séance de strip-tease sur une musique de Vangelis à l'appui! D'un côté nous avons donc les scènes tournées par Godfrey Ho (Richard Harrison, les marcels bleus et la déesse Scorpion), de l'autre, un film fantastique local, sorte d'obscure histoire d'amour horrifique teintée d'érotisme maladroit et d'un humour presque malsain comme en témoigne une scène avec un violeur farceur. Si SCORPION THUNDERBOLT possède donc une qualité, c'est bien celle de permettre de découvrir 70 minutes de ce film de monstre local dont on peut supposer ne pas louper beaucoup de scènes chocs. En revanche, on passe totalement à côté de son déroulement chronologique initial, et peut-être même de sa réelle histoire. Frustrant donc de ne pas en connaître le titre, mais on se rattrape avec les vingt minutes composées de Richard Harrison bottant des fesses avec énergie et maladresse, et de la déesse dansant gaillardement dans sa chambre à l’éclairage minimaliste. Pour finir, il me semble que le plan final se termine sur un passage de la musique que John Williams composa pour LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE. Sacrés Ho-Lai, toujours aussi à cheval sur les lois du copyright!
  16. Vu hier soir sur la VHS BM Prod aux couleurs toutes dégueulasses sous le titre de KICKBOXER FURIES.... Et c'est très "Woooow!!!". Pour le coup, Barry Prima est relégué à un rôle mineur, et on profite du reste: de tous ces gus fringués comme s'ils sortaient d'un post-nuke italien et qui se tappent sur la gueule comme des fous, de ce sorcier zen qui semble provenir d'une autre ère, d'une scène de torture complètement surréaliste, d'un final avec des zombies totalement inattendus et de la présence d'un personnage qui poursuit de voitures à pied et dont on ne comprend pas franchement les motivations (un coup j'aide les gentils, un coup je le tape sur le coin de la gueule). C'est peut-être un peu bancal au niveau du rythme, mais certaines scènes sont purement anthologiques ! Si je croise le DVD, il est clair que je lui fais sa fête ! Ceci dit, je doute sincprement que le film date de 1988 comme il est indiqué un peu partout sur le web, si Ciné Budget l'a sortit en 1989 et que le film a connu auparavant chez Socai, il est clair que sa date de naissance est antérieure à 1988... Peut-être que Fantomas en sait quelque chose ?
  17. pfiou.... pas toujours facile de suivre une discussion sur deux forums à la fois
  18. J'avais trouvé ça très, mais alors très mauvais ! Les chiens grimés en rats, passe, mais qu'est ce que c'est pénible à visionner... Du coup je n'ai même pas osé regardé GIANT GILA MONSTER de la même équipe, un film qui prend la poussière depuis bientôt 10 ans sur mon étagère
  19. Kerozene

    Cool world - Ralph Bakshi (1994)

    Moi j'aime bien, ça ne vaut pas le Ralph Bakshi de la première heure, mais ça reste très loin de l'univers limite "disneyien" de ROGER RABBIT (film que j'aime bien, je tiens à le préciser). Ici Bakshi plonge dans un Toonland relativement violent mais surtout bête et méchant (les toons comme on les aime ), mais il a mis de l'eau dans son vin depuis FRITZ THE CAT ou COONSKIN - Kim Basinger oblige.... Ce qui n'empêche pas le film de posséder un charme certain et de véhiculer un esprit qui va à l'encontre des productions enfantines mêlant personnages réels et toons. Techniquement, ce n'est pas ROGER RABBIT là non plus, on touche plus à un style d'animation old school cher à Bakshi et c'est tant mieux. Donc, mattez le, ça le mérite.
  20. Kerozene

    Gerardmer 2006

    Dead and Breakfast, non ? Sans doute. Et c'est pas top génial.
  21. je n'ai rien dit à propos de son avis sur le film, ça je m'en fous - même je ne suis pas d'accord. C'est le "Quel intérêt" qui m'a fait faire une attaque
  22. T'as oublié le début : ... de le découvrir, patate.
  23. T'es dur, SHARK ATTACK III c'est quand même vachement mieux que PTERODACHIER et sa Turquie aux forêts remplies de mercenaires (vous y avez cru à ça vous ?) traqués par un Coolio qui ne cesse de répéter : "Le vieux Bulldog a une fille! Halala j'y crois pas!". Sacré Bulldog, le meilleur personnage de ce machin.
  24. Kerozene

    Gerardmer 2006

    T'as intérêt à réserver toutes les tables du Grizzly dès maintenant
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