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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Kerozene

    Gerardmer 2006

    Elle est MORTEL celle la !!! J'aime beaucoup Je dirai même plus, elle est mortelLE. Ils vont voir ce que ça fait un suisse qui fout le feu à des bagnoles dans le trou du cul des Vosges !
  2. Rien à vois avec la bidoche, THE GIFT était très bien, de même que A SIMPLE PLAN. Mais avec SPIDER-MAN, il a foutu le pieds dans la fange, et comme dans ce cas là la fange rapporte, il ne semble pas près de la quitter.
  3. Merci Fantomas... J'aurai du préciser "des films avec sous-titres anglais au moins", car c'est un poil frustrant de regarder ces films en VO uniquement. Ceci dit, je ne connais pas de thaïlandais(e), mais une philippine oui, et qui parle couramment le tagalog (contrairement à ma chère et tendre moitié qui est d'origine philipine et qui ne parle pas le tagalog....). Elle pourrait aisément traduire un titre de film
  4. Kerozene

    Gerardmer 2006

    Et moi au bout d'un mois je n'ai toujours pas la mienne Ils n'aiment pas les bretons-suisses ?
  5. Adieu Sam... On t'aimait bien... il y a 10 ans...
  6. Est-ce que ces sites proposent des films fantastiques des années 60 à 80 ? Les productions fantastiques récentes - pour ce que j'en connais - sont souvent très orientées teenagers branchés MTV avec un esprit limite AMERICAN PIE (voire le Thaï BODY JUMPERS ou le philipin GAGAMBOY). Et je ne trouve pas vraiment que c'est ce qui se soit fait de mieux.
  7. Pas franchement folichon non plus pour ma part. Ca se laisse voir, mais comme le dit SWS, aussitôt vu, aussitôt pfiout. C'est calibré Hollywood Night avec un peu plus de sou. On a connu Walter Hill sous de meilleurs jours.
  8. aka: HORROR IN THE ATTIC (Le film date de 2000, et pas 2001 comme le stipule l'imdb...) Trevor se réveil dans un hôpital après quatre années de coma suite à un traumatisme d'origine mystérieuse qui survint après qu'il ai assassiné sa fiancée lors d'un rituel païen. Sous les bons soins du Dr. Ek (Jeffrey Combs), scientifique au goût vestimentaire onéreux porté sur la défonce, Trevor va expérimenter une nouvelle forme de thérapie: il sera immergé dans la "House of Love", une maison habitée par une bande de dingues et dont le grenier renferme un bien étrange secret... THE ATTIC EXPEDITIONS fait partie de ces films qu'il est difficile de résumer clairement tant il part dans tous les sens. Avec ce véritable trip filmique aux séquences quasi-psychédéliques et à la narration volontairement confuse et brouillonne, Jeremy Kasten signe un premier film que l'on pourrait qualifier de LOST HIGHWAY joyeusement déjanté et agréablement bordellique. De LOST HIGHWAY, on retrouve sa construction narrative schizophrénique, surprenante et teintée d'humour noir, en revanche, on n'y retrouve pas cette fascinante capacité à rendre logique ce qui ne peut l'être (selon ma propre perception du film de Lynch), ce qui entraîne un fort sentiment de confusion et donne une sensation de gros foutoir. Mais ce foutoir ne dérange pas spécialement, même si on sent une certaine volonté de la part du réalisateur de vouloir trop en faire, car le film possède de nombreuses qualités. A commencer par une galerie de personnages déglingués qui traversent le film: outre le Dr. Ek, on y croise également le Dr. Coffee (Ted Raimi), fan des travaux d'Ek, et les patients de la "House of Love", dont un homme possédé par sa marionnette crocodile, une nymphomane accusant ses amants de viol et un jeune psychopathe homosexuel incarné par Seth Green. Notons également un caméo d'Alice Cooper en patient fugueur du Dr. Ek. Le film possède de nombreuses séquences mémorables, comme la scène d'ouverture montrant le rituel païen auquel notre héros s'adonne en compagnie de sa future femme entièrement nue, la découverte du grenier, le trip psychédélique de Trevor tentant de fuir la "House of Love", ... Ajoutons à cela une photo soignée, des plans séquences tournoyants, des dialogues qui font mouche, une bande son pleine de musique trash (voir à ce sujet la scène de sexe entre Trevor et la nymphomane, simple mais très efficacement rythmée), un humour au vitriol et quelques effets gores, et on se retrouve avec une série B déjantée, certes bancale mais néanmoins pleine de qualités, à tel point qu'on se demande bien pourquoi on en a quasiment jamais entendu parler auparavant. Je l'ai vu depuis le DVD hollandais (0 bonus et st dutch uniquement), le format est plein cadre (comme le Zone 2 UK) alors que le zone 1 est 1.85 / 16/9. Très franchement, à la vue des images du film, je pense que le 4/3 est le format d'origine et que le Zone 1 est matté.
  9. Kerozene

    Gerardmer 2006

    relis les postes de la page 2 ou 3....
  10. Qq rivious de films intéressants... A condition de ne pas être trop regardant sur la prose (des fois j'ai honte ) : Inde: http://www.clubdesmonstres.com/inde.htm Indonésie: http://www.clubdesmonstres.com/indonesie.htm Philippines: http://www.clubdesmonstres.com/philippines.htm Thaïlande: http://www.clubdesmonstres.com/thailande.htm
  11. Le topic m'a donné envie d'aller lire les trivias sur imdb.... Et vous saviez ça vous ? :
  12. Kerozene

    Gerardmer 2006

    Chez Zonebis c'est sans doute comme chez Devildead: personne ne piccole. Enfin, c'est Gérardmer quoi. Venez au LUFF !!!!!
  13. je viens de me farcir ce DeCoteau, sur un DVD locatif acheté au rabais dans la poubelle du vidéo club... alors sachez que la mention 4/3 au dos de la jaquette est totalement mensongère et que le film est en scope anamorphosé. Pour être honnête, je n'en attendais pas grand chose.... C'est la première prod Rapid Heart que je matte et je m'attendais à un truc relativement molasson style le DeCoteau de chez Full Moon à la fin des 90's, début 2000. Surprise, c'est vraiment pas mal du tout, chaque centime investit apparaît à l'écran, super scope, musique pleine de violons tonitruants, quelques effets gores répétitifs pour des meurtres moyennement convaincants - mais cela ne dérange finalement pas tellement tant l'ensemble est bien rythmé. Notons tout de même un abus du stroboscope Hinhin ! Si le final rappelle ce que le spoiler précédent, la trame de base quant à elle rappelle le DANGEROUSLY CLOSE d'Albert Pyun. Très fun donc, cette histoire de lycéens charcutés par une élite fascisante, avec un montage limite MTV des plus efficace, moins de minets en boxer blanc que dans dautres films du maître, et une Brinke Stevens qui pour une fois ne laisse pas tomber le haut.... En même temps, elle n'est plus très fraîche !
  14. Il semblerait que le scripe de BOOGEYMAN ressemble pas mal lui aussi.... juste comme ça...
  15. Oui, j'ai vu tes interventions comparant ce film à JASON LE MORT VIVANT... Très juste comme remarque d'ailleurs. Et je me suis aussi dit que t'étais franchement balaise pour te souvenir de : 1 - la trame de tous les VENDREDI 13 2 - savoir précisément laquelle appartient à quel opus de la série non, franchement, chapeau
  16. hum hum... Qui a vu ce film et qui en est arrivé au bout en se disant: "Tiens, c'était pas mal du tout cette histoire de "petite souris" meurtrière volant dans les airs à l'affut de gamins édentés et de tous ceux qui ont posé leurs yeux dessus" ? Beaucoup de clichés (le chat noir qui surgit de nul part, la lampe de poche qui s'éteint quand il ne faut pas...) au service d'un scénar extrêmement bancal et terriblement mal amené. Impossible de croire une seconde à ce récit dans lequel le héros hurle la moitié du film "Restez dans la lumière!" et que tout le monde prend pour le responsable de pleins de vilains meurtres. Reste quelques beaux plans et les fx de Stan Winston....
  17. ben chacun son point du vue. VIRGIN SUICIDES = chiant LOST IN TRANSLATION = touchant et drôle pas besoin d'en dire plus en ce qui me concerne.
  18. Autant je trouve LOST IN TRANSLATION drôle, touchant et intelligent, autant je trouve VIRGIN SUICIDES chiantissime et totalement superficiel. Peut-être faudrait-il que jele revois, mais je me souviens être sortit de la salle de cinéma en me disant que si j'avais regardé la toile blanche et compté les pores qui s'y trouvaient, je me serai moins fait chier....
  19. Synopsis: Au moment de pénétrer l'atmosphère terrestre, un astronaute mute en créature monstrueuse. Perdant le contrôle de sa navette, il s'écrase dans les marais de Floride... Une équipe de scientifiques et de reporters engagée par le responsable de l'expédition spatiale (Joe Estevez) part à la recherche du vaisseau avec l'aide d'un guide des marais loin de l'image "à la Crocodile Dundee" qu'on aurait pu espérer.... Amis du gros Z, bonsoir! Comment fait-on un resuçage d'ALIEN quand on a pas un rond, qu'on habite en Floride et qu'on ne connaît que des acteurs amateurs. Et bien on lance un coup de fil à Fred Olen Ray et Jim Wynorski, on leur demande 200 balles, on emprunte des caméras usées à David DeCoteau (à en croire le générique), on confectionne un monstre "original" mélangeant Alien et une mante religieuse en ne montrant jamais comment le salopiod fait pour se déplacer, on use et abuse du morphing cheap, on demande à ses actrices de montrer leur seins de manière totalement gratuite (miam, Blake Pickett (SEX FILES) en a deux qui sont remarquables ! ), et on tente comme on peut de maintenir le spectateur éveillé avec des dialogues à la mord-moi-le-noeud. On rigole tout de même par moment, comme lors de l'attaque d'un tatoo mutant carnassier (il faut savoir que le vaisseau apporta des spores extra-terrestres qui font muter la vie des marais), mais aussi grâce au personnage du guide barroudeur des marais qui semble sortir d'un clip ringue des années 1980 incarné par un acteur qui donne l'impression de croire plus que tout en son personnage hyper-culturé. Le final est extrêmement pathétique: on tente d'amadouer le monstre en l'appelant par le prénom de l'astronaute.... - Steve ! - Ragrargaghargararrgrgrghghrgr - Steve thomas ! - Rargrgahagagghagargahagargghgrgrghrggr - I'm sorry Steve ! - Rgrggrheghrgharghhrg Bref, du délire !. Fred Olen Ray, crédité comme réalisateur de dexième équipe, s'est sans doute limité au tournage des scènes avec Joe Extevez, de simples plans fixes de Joe devant trois micros, pour des interventions apparaissant sur un poste de télévision. Nottons aussi la présence furtive de William Grefe (réalisateur de, entre autre, DEATH CURSE OF TARTU) au générique.... et qui n'est présent dans le film que sur une photo posée sur une table en arrière-plan d'une scène (non non, je ne déconne pas)... Et pour finir, voici la jaquette du DVD qui rappelle à tous un grand classique du cinéma de science-fiction que vous aurez reconnu: LASSIE DANS L'ESPACE Et la VHS NTSC qui présente une station spatiale totalement étrangère au film : Amis du gros Z, tshaw !
  20. Nan, c'est ma femme qui voulait voir ce truc... ceci dit, il est vrai que je matte toutes les daubes de SF ou de bestioles caranassières qui passent sur M6, RTL9 ou TMC C'est plus fort que moi, je ne peux pas resister Trop fort, en plus le mec est super crédible, soudainement persuadé d'avoir merdé son calcul savant, hop on fait vite péter quelques violons synthétiques... suspense... Quant à la fin de Peter Fonda, je suis resté bouche bée devant cette scène. On aurait dit du ZAZ!
  21. Bluffé ! Ce film est une excellente surprise, c'est malin, bien torché, efficace, ça va droit au but, y a des casques, et puis y a de la baston qui souffre beaucoup moins sur la durée que les effets fun de MATRIX aujourd'hui gavants....
  22. Je ne cèderai pas à cette provoque facile. Personne ne va te prendre au sérieux avec des propos pareils de toute façon...
  23. c'était hier soir, sur M6.... Alors voila Peter Fonda, prix Nobel d'astronomie ou je ne sais quoi, qui plaque tout pour glander sur une île des Maldives sans rien dire à personne. Du coup, tout le monde s'inquiète: les autorités le cherchent, la presse s'en mêle, puis c'est son collègue Luke Perry qui le remplace au pied levé pour une conférence internationale pleine d'astrophysiciens. Certains de ceux-ci ont d'ailleurs reçu un message de Pete avant sa disparition, ce dernier leur annonçant que le Soleil est sur le point de nous péter dans la gueule. Et voila que l'armée et les services nationaux s'en mêlent également: sentant la fin du monde arriver, le projet Phoenix est lancé. Ce projet, dirigé par un Lance Henriksen comme toujours taciturne, consiste à rapatrier l'élite de l'humanité, à savoir les scientifiques, les artistes, les professeurs et les militaires, afin de les cantonner dans des villes-bunkers avec l’espoir de pouvoir préserver l'espèce humaine. Luke Perry – éternel rebelle, bien que faisant partie des heureux élus, trouve cela dégueulasse, et s'échappe afin de retrouver femme et enfant alors que la planète est en train de subir les premiers assauts destructeurs du Soleil. Car le salopard est en pleine "supernovaïsation" et propulse des gerbes de plasma sur la Terre. Comble de tout: le serial killer amateur de blondes qui fut coffré grâce à la femme de Luke se voit libérer suite au comportement d'oiseaux migrateurs déglingués et va donc chercher à se venger. Peter Fonda, lui, s'est trouvé une blonde et finit par se prendre un prout de plasma en pleine face sur sa petite île isolée de tout.... Deuxième production Hallmark (de près 3 heures) que je regarde (après EARTHSEA), et deuxième impression d'arnaque à coup de palette graphique bon marché. Ce téléfilm catastrophe tente tristement de reproduire les impacts destructeurs d'ARMAGEDDON, livre des décors réalisés dans une 3D approximative détonnant franchement avec les prises de vue réelles, et utilise une palette de couleurs vomitives pour illustrer un ciel en folie. Côté interprétation, Peter Fonda fait certainement plaisir avec son rôle de prix Nobel cool avec chemise-Hawai et planche de surf sur le toit de son pick-up pourri, Luke Perry est pour une fois supportable, Lance Henriksen est comme souvent très à son aise puis il y a Tia Carrere qui cabotine dans son rôle d'agent spécial rapatriant les scientifiques réfractaires. Au final, l'intrigue extrêmement prévisible, mais un peu dynamique, du serial killer à la gueule ravagée s'avère plus intéressante que le drame principale dont les conséquences s'avèrent souvent et involontairement comiques (voire la population en proie à une folie destructrice). Bref, c'est pas bon, et je viens de passer 20 minutes à torcher ces quelques lignes pour vous en faire part. Si ça c'est pas de la bonne conscience....
  24. Franchement, même pas besoin de lui poser la question: ça suinte l'huile de Lamberto plus que de Mario. La photo est moche, les acteurs sont moches, le môme est insupportable... Reste deux ou trois instants chocs plutôt bien orchestrés, mais sinon ça ressemble comme deux gouttes d'eau à un film de Lamberto Bava
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