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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Je ne l'avas pas trouvé terrible.... Tu me donnes envie de me faire une nouvelle opinion
  2. je le trouve de loin supérieur aux films de Kevin Connor, ce PEUPLE DES ABIMES part dans des directions tellement inattendues qu'il ne cesse de surprendre. Mieux, il émerveille tant ses décors, ses créatures et ses protagonistes sont à des années lumières de ce à quoi on pouvait s'attendre... Alors que chez Connor, tout ou presque semble être courru d'avance....
  3. C'était moisi de bout en bout, on nous colle un sorcier à face de hobit qui va dans une école Pouldar-like situé au milieu des Terres du Milieu pour vaincre une créature malfaisante et un méchant roi super-méchant. Intrigue téléphonée, cgi à deux balles, un Danny Glover au look de père-Noël black... allé hop, aux oubliettes....
  4. Kerozene

    XXX de Rob Cohen (2002)

    pourquoi seulement ici ? j'ai pas dit "seulement" elle presque partout, je te l'accorde (j'ai eu un petit faible pour sa prestation dans LA SIRENE ROUGE... )
  5. Tout ça en même temps ? Quel talent
  6. Kerozene

    XXX de Rob Cohen (2002)

    Lamentable tentative de "jeunisation" du mythe de James Bond pour ados en mal d'adrénaline. Ce film est à classer directement aux côtés du TRANSPORTEUR et autres grosses boursouflures décérébrées-même-pas-drôles... La preuve que l'attitude "m'as-tu vu" façon BLADE n'est pas forcément aisée à faire passer de manière crédible à l'écran. Et Asia Argento est ici insupportable...
  7. Oui, on avait déjà longuement parlé sur Devildead du cas "TAGANI", une véritable misère....
  8. ah non, j'ai trouvé très sympathique ce petit côté suisse... par la force des choses
  9. Oui, je pense que ça vaudrait le coup, d'autant plus que cela confirme le fait que le thème principal est bel et bien la dualité, et non pas les relations Nord-Sud: il y a deux postes, tenus chacuns par deux hommes, dans deux pays différents, on parle de deux sexualités différentes, de deux types de gateaux au chocolat, de deux types de cirage et au milieu de tout cela, il y a deux pays neutres: la Suisse et la Suède, représentés par un homme et une femme...
  10. Délicieux et définitivement surprenant !
  11. Oui, pour l'histoire de la photo, je me suis dit que c'était sa frangine. Mais cela voudrait dire qu'il a la même photo que Lee, puisque Lee sort avec la frangine de Nam. Donc, je me suis ensuite dit qu'il s'agissait d'une photo d'une fille découpée dans un magazine ou je ne sais quoi.... De toute façon, ce passage insiste sur le fait que Nam est seul, et sans doute vierge, mais n'a à mon sens aucun lien avec son orientation sexuelle.... Et puis il peut être vierge et gay, hein
  12. et merde.... je crois que je vais craquer
  13. Si ce film me faisait fantasmer depuis des années, c'est simplement parce que son affiche est sans doute l'une des plus formidables jamais produites! Et contre toutes attentes, le visionnement du film fut loin d'être la catastrophe attendue !! Imaginez un peu: le leader d'un pays arabe sur le point de décéder décide de faire transférer son cerveau dans un corps neuf. Mais le toubib américain responsable de l'opération nourrit d'autres plans, à savoir faire main basse sur le pays du dirigeant mourrant. Assisté d'un nain pervers prélevant du sang sur de pauvres jeunes filles enchaînées dans la cave du laboratoire, et de Gor - un géant simplet défiguré à l'acide de batterie de voiture par deux rednecks gavés de bière (flashback à l'appui), l'opération ne se passera évidemment pas comme prévu. Gor, en tentant de capturer un corps receveur pour le cerveau du patient, endommage celui-ci en la balançant du haut de quatre étages. Du coup le docteur fou transplantera le cerveau du président directement dans le corps de Gor, ce qui aura des conséquences catastrophique: le nouveau Gor est pris de folie meurtrière, s'échappe en compagnie d'une blondasse vivant mal sa quarantaine, et est poursuivit par le toubib brandissant une télécommande au look de mixer Seb produisant un insupportable Brrrriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii infligeant d'atroces migraines à notre créature.... Ca c'est du scénar costaud, avec en prime une opération à cerveau ouvert avec gros plans sur les incisions craniennes et une visite des caves du laboratoire qui ressemblent étrangement à celles d'un vieux chateau poussiéreux rempli de vieux squellettes et de toiles d'araignée. Comme quoi, Adamson n'a pas fait que de la merde (HORRORS OF THE BLOOD MONSTERS ou LA DIMENSION DE LA MORT sont de véritables supplices), et ce BRAIN OF BLOOD constitue avec son SATAN'S SADIST un excellent double bill d'exploitation tordue. Avis aux amateurs
  14. Kerozene

    Moonwalker - Plein de gars - 1988

    Vu en salle à sa sortie aussi... et je n'étais pas fan de Bambi... par contre, le pote qui m'accompagnait était fan inconditionnel, il se faisait dessus dès l'annonce de la sortie du film et je me souviendrai toujours de sa face de merlan à la sortie de la salle: air déconfit, sourire forcé, il me dit "c'est mon film préféré".... autant dire que même lui ne croyait pas ce qu'il disait
  15. Je viens enfin de voir ce film aux images stupéfiantes (comme d'habitude chaz Park), et je n'ai pas grand chose à ajouter par rapport à ce qui a été dit auparavant : - les gadgets cgi mentionnés par SWS sont profondément inutiles - concernant le final, je rejoins le point de vue de Niko13, les cultures asiatiques ont une approche et une interprétation toute différente de la notre concernant ce genre d'actes, et le cinéma japonais et coréen ne cesse de nous le démontrer. Alors oui, c'est absurde et un poil jusqu'au boutiste pour nous, mais il faut croire que cela est parfaitement justifié pour eux. - quant à l'allusion sur la potentielle homosexualité de Nam, il y a effectivement un doute qui plane: je vois mal un militaire dire à son sergent, et ce sur un ton tout ce qu'il y a de plus sérieux, "Tu es beau", sans que cela ne dissimule une certaine attraction physique. - concernant la remarque de SWS sur le long flashback central, cela ne m'a absolument pas dérangé, bien au contraire. J'ai justement apprécié le fait que cette partie du récit soit livrée d'une traite, sans interruption. Après tout, ce passage est justement le centre de l'intrigue, en ce sens ça me paraît justifié... JSA ne vaut pas SYMPATHY FOR MR VENGEANCE ou OLD BOY, mais c'est tout de même du très bon boulot.
  16. Vu la version cinéma hier soir.... et bon sang que c'est bordellique ! Le film a du potentiel, le problème est qu'il a été monté par un bûcheron scandinave, que les décors de la Planète Helion sont d'une laideurs surpuissantes, que les scènes d'action sont à la limite de la comprehension... Du coup l'ensemble devient bancal et incohérent malgré une trame de base qui promet beaucoup. Personnellement, j'ai préféré le passage sur Crématoria aux autres, sans doute à cause du décors, moins nocifs pour la rétine de mes yeux... Dommage donc, mais je lui donnerai volontiers une chance avec la DC.
  17. Il a fait MindHunter et ça ferme le clapet de tous le monde pas vu... mais je ne demande que ça
  18. Yes, ça c'est de la bonne série B bien décomplexée et généreuse, pleine de rebondissements plus fous les uns que les autres et de créatures mutantes qui font du bien au regard! Dommage que la suite n'ai jamais vu le jour, cela laisse un amer goût d'inachevé par ce qui est sans doute la meilleure réal. du père Band.
  19. Alors autant je suis friand de ce que Harlin tourne en règle général, autant cet EXORCIST là est navrant de bout en bout, pire que DRIVEN (le film du déclin ?). C'est affreusement mal foutu, confus et incohérent en plus d'être passablement stupide et moche. Mais il est où le réal de CLIFFHANGER et THE LONG KISS GOODNIGHT ? Hein ?
  20. Comme Tomfincher: typiquement le genre de film préconsommé qui ne laisse qu'une vague trace de pop-corn avarié dans l'esprit. Le seul détail dont je me souviens, c'est que le film se passe à Paris et que Jet Li boit une bouteille d'Henniez Les suisses comprendrons
  21. Kerozene

    Bite me - Brett Piper

    J'étais justement en train de me dire que son SCREAMING DEAD était tellement lamentable qu'il y avait peu de chance que je donne une chance à une autre de ses réalisations récentes (parce que je dois bien avouer avoir un faible pour son NYMPHOID BARBARIAN IN DINOSAUR HELL). Je vais donc prendre note de ton conseil et lui accorder une éventuelle chance à l'avenir
  22. Kerozene

    King Kong - Peter Jackson (2005)

    Un petit défaut pas si petit que ça concernant le film... En sortant de la salle, j'étais un peu déçu de ne pas m'être pris la claque émotionnelle que j'avais connue lors des différents visionnements du film de Cooper et Shoedsack... Et je me suis bien demandé pourquoi, car tous les éléments semblent présents pour faire monter la petite larme (ma femme de son côté avait ouvert les vannes en grand, mais bon, c'est pas la même sensibilité non plus, hein ). Et bien la réponse est toute con: en ce qui me concerne le trop plein d'images de synthèse annihile toute l'intensité émotionelle du récit. Ca peut paraître con dit comme ça, mais ça ne m'était pas apparu comme une évidence au premier abord.... Bon, je vais me matter STARSHIP TROOPERS
  23. Si si, lors de la projo de HOUSE OF THE DEAD, deux abrutis n'arrêtaient pas de gueuler "Nichons !!" lors de chaque tit-shot du film (autrement dit les seuls bon moments du film )
  24. Les débiles qui mettent l'ambiance lors des séances du BIFFF ne m'ont jamais dérangé. D'après ce que j'ai vu, les gars savent se taire quant il le faut (L'ILE p. exemple a été suivit dans un silence religieux, l'oeuvre ne se prêtant certainement pas à la gaudriole). Sinon, il faut profiter du Nova, plus petite salle pour une programmation plus "pointue" et fréquentée par un public de connaisseurs. Sinon, c'est un festival que j'adore... ce qui rendd'autant plus douloureux le fait de ne plus pouvoir y aller
  25. Kerozene

    King Kong - Peter Jackson (2005)

    Tsss, Joe, dire qu'elle a pas de seins, ok, mais pas de talent, tu l'as pas vue dans Mulholland Drive ou quoi ? Rappelons que Joe a défendu Virginie "planche à pain" Ledoyen contre trout ceux qui osait dire que la miss n'avait pas de seins. Donc autant dire que là, c'est l'hôpital qui se fout de la charité. Rien de nouveau sous le soleil, Joe, c'est un peu la politique du "faites ce que je dis, pas ce que je fais", autrement dit qui n'est pas d'accord avec lui-même quand ça l'arrange (autrement dit une fois sur deux)... hein ? Sinon, je l'ai trouvé très bien ce KING KONG, c'est vachement beau, et Naomi Watts est toujours aussi craquante, presqu'autant que dans L'ASCENSEUR 2!
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