DPG Posté(e) le 21 avril 2014 Share Posté(e) le 21 avril 2014 Mélie est la jeune épouse de Tony, un pilote de l'aviation civile ordinairement absent du foyer. Leur maison est à l'écart de la ville, en bord de mer. Un soir, elle est agressée chez elle et violée par un inconnu. Elle parvient à le tuer, puis elle se débarrasse du corps. Mais le lendemain surgit un personnage mystérieux : un nommé Harry Dobbs, américain, qui s'introduit lui aussi dans la maison et s'intéresse de très près à l'affaire dont il semble tout savoir ou presque. Un polar qui m'intriguait depuis longtemps. René Clément aux manettes, Japrisot au scénar', Bronson et Jobert en têtes d'affiche, sur le papier ça fait envie. Au final, j'ai trouvé que l'essai n'était qu'à moitié transformé. Le début est vraiment réussi, l'ambiance, la mise en scène, la musique, la tension, tout fonctionne à merveille. Malheureusement, passée la première demi-heure, le film se branche sur courant alternatif. Le bon alterne avec le moins bon, les scènes de tension vraiment réussies s'enchainent avec des tunnels un peu plus quelconques, le scénar' traine un peu la patte. Il reste des bonnes choses à se mettre sous la dent, notamment le jeu de chat et de la souris Bronson / Jobert, mais le film s’essouffle quand même un peu... Semi réussite seulement donc, mais un film qui mérite un coup d'oeil qd même, par son ambiance atypique et ses personnages ambigus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
chatterie royale Posté(e) le 22 avril 2014 Share Posté(e) le 22 avril 2014 pareil mais en pire ça commence bien, clément développe une ambiance mystérieuse ..qui s'essouffle rapidement dans l'interminable face à face jobert/bronson et autres dialogues soporifiques pour accoucher d'une intrigue confuse et peu crédible.j'en ai surtout retenu que le personnage de "love-love" en prenait plein la gueule pour pas un rond : soumise, cocue, cognée, torturée au whisky,... elle en redemande ! une certaine vision de la femme en bref, ça m'avait cassé les noix bien avant la scène finale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
burialoftherats Posté(e) le 22 avril 2014 Share Posté(e) le 22 avril 2014 j'en ai surtout retenu que le personnage de "love-love" en prenait plein la gueule pour pas un rond : soumise, cocue, cognée, torturée au whisky,... elle en redemande ! une certaine vision de la femme le producteur de confessions intimes te demande si ca se passe dans le Nord? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lord Ruthven Posté(e) le 22 avril 2014 Share Posté(e) le 22 avril 2014 J'avais pas trouvé ça si mal, avec un Bronson assez surprenant, ou en tout cas loin de son registre habituel. Dans le même genre ou presque, je recommande Quelqu'un derrière la porte, toujours avec Bronson. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés