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Star of David - Norifumo Suzuki 1979


tromatoxic

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Un jeune homme riche et beau, né du viol commis par un maniaque, décide d'exorciser sa haine de la société.

 

D'abord par sa fascination pour le nazisme (d'où le titre du film?), bien curieuse pour un japonais, même si Allemagne et Japon furent un temps alliées pendant la seconde guerre mondiale...

 

 

Et surtout par son goût prononcé pour les jeunes filles qu'il capture et conserve prisonnières notamment dans sa cave. Il se livre sur elles à des scènes de bondage, enfermement en cage, viol, nécrophilie,etc...

 

Le réalisateur y dénote une sorte de fascination pour tout ce qui est sale (filles qui ne lavent pas et qui sentent, plusieurs scènes branchées uro...) qu'il alterne avec des scènes qui respirent la pureté et qui sont quasiment cucul la praline...

 

Un mélange détonnant, avec en prime une photo assez travaillée (avec une ambiance graphique parfois proche des films de Bava)

 

 

 

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Hum, intéréssant !

 

Y a justement un film de ce style que je dois bientôt matter et auquel je consacrerais surement un thread.

 

Enfin bon, j'hésite encore à le voir, en zappant, je suis tombé sur une scènes ou une fille se faisait violer avec un énorme gode et une autre ou elle chiait par terre. (j'ai faillit gerber ! )

 

Ah ben oui, je suis une petite nature moi !

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Connu aussi sous le titre Beautiful Girl Hunter, l'autre titre complet étant Star of David : Beauty Hunting.

Un très bon Nikkatsu dans la veine "rape movie" qui sévissait à la fin des 70's. Certaines scènes sont hallucinantes (un meurtre bien sanglant, la fille sur le toit...). Notons que le film a été interdit en Allemagne à cause des références au nazisme.

 

Une indispensable review de zeni sur le sujet : http://pinku.cho-yaba.com/pinku.php?idf=17

 

Edit : c'est Norifumi Suzuki

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  • 4 years later...

 

C'est complètement hallucinant en effet

Ce que je pourrais lui reprocher à la rigueur c'est le format : des 1h10 habituelles, on touche presque 1h40. Et ça m'a semblé un peu trop long vu le sujet.

Pour le reste, ça reste quand même le parfait manuel du Sade illustré, avec beaucoup de bondage, de flagellation et de viols, mais aussi de la zoophilie ou de la nécrophilie (avec en effet à la clef, une mise à mort gorissime). Suzuki oblige, le SM du soleil levant se marie à merveille avec une imagerie plus européenne, avec un arrière goût blasphématoire pas négligeable (le vitrail du Christ qui orne la salle de tortures du héros). Aucun étonnement à ce que le film soit interdit en Allemage, il y a quand même le personnage principal qui se masturbe sur des bouquins de la Shoah

Un peu long, mais suffisamment beau et ravagé pour attirer l'attention

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