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Du jour au lendemain - Philippe Le Guay (2006)


Cyril

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La vie est bien ingrate pour François Berthier : un chien hurle toute la nuit et l'empêche de dormir, la machine a café lui explose au visage, il pleut, le chef de bureau à la banque l'humilie et le menace de renvoi.

Et puis, du jour au lendemain, tout ce qui était violent ou pénible pour François se transforme comme par miracle.

Que se passe-t-il ? Pourquoi le monde devient-il si brusquement doux et enchanteur ? C'est l'énigme que va essayer de résoudre François.

Mais il ne suffit pas que les choses se passent bien, encore faut-il les accepter...

 

Un film bien sympathique que celui la, il n'a rien a voir mais pourtant je lui trouve pas mal de similitude avec le Amélie Poulain de Jeunet.

Musique prime sautiere "a la Tiersen", succession de petit malheur, petit bonheur, casting ad hoc et présence de Rufus dans les deux ainsi qu'un clone de Audrey Tautou (même tronche, meme coiffure)

 

L'histoire est finalement assez simple et pencherais limite vers le fantastique (décidément après Jean-Philippe) d'ailleurs il y a une scène de comédie musicale au milieu assez impromptue.

 

Poelvoorde porte le film sur ces épaules et le fait bien, on ressort content de la projection, pas un grand film mais un bon film a n'en point douter.

 

A voir !

 

 

 

La fausse Tautou !

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Un peu bizarre ce film, il m'a laissé avec une drôle d'impression de malaise.

 

Je ne sais pas trop comment l'expliquer, c'est dans la nature même du personnage de Poelvorde je crois.

 

Je ne dirais pas que je n'ai pas aimé, il y a de très bonnes choses dedans, mais voilà, quoi, y'a comme un truc qui cloche ...

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  • 11 months later...

Pas folichon.

Cette histoire d'un mec triste qui trouve le bonheur mais n'en est pas satisfait aurait éventuellement pu être intéressante. C'est un peu irritant comme concept, d'autant plus que le Poelvoorde se met à râler au sujet de son bonheur grandissant sans raison, et ce au bout de deux jours seulement alors qu'il vient de se taper 40 ans de vie morne et moisie. Qui va avaler ça ?

Bon, admettons qu'il y ait des gens suffisemment con pour réagir comme ça. Le film prend alors une direction opposée à celle précédemment amorcée, et quitte la comédie sympa pour verser dans le cynisme. Pourquoi pas après tout. Ce n'est pas forcément agréable mais c'est un part-pris intéressant qui ne caresse pas le spectateur dans le sens du poil. Mais à ce moment, est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi, mais POURQUOI, le film se termine sur cette note de positivisme renversante de stupidité qui décrédibilise la première ET la deuxième partie du film?

A mes yeux ce film est donc une merde car il ne s'assume pas. C'est complètement raté, c'est écrit par un type qui ne savait absolument pas là où il voulait en venir et qui, une fois qu'il semble avoir trouvé sa voie, revient en arrière pour reprendre une direction en contradiction avec la première.

Pour le côté AMELIE POULAIN décrit par Théo, je confirme que cette impression n'est du qu'à la musique du film, et uniquement à la musique du film tant celle-ci est une ressucée de celle du film de Jeunet.

Sinon, dommage pour Poelvoorde qui pour une fois, pendant les 3/4 du film, fait preuve d'un différent de celui du Belge hystérique.

Aux chiottes.

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