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SHORTBUS [2006] de John Cameron Mitchell


Jerry Lewis

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John Cameron Mitchell, le réalisateur du fabuleux "Hedwig and the angry inch" nous revient en octobre, avec cette bombe, présentée à Cannes....

 

 

Short Bus suit plusieurs personnages new-yorkais dont les aventures tragi-comiques naviguent entre sexualité et sentiments. Tous fréquentent un club underground moderne, Short Bus, où s'expriment toutes les sexualités. Sofia est sexologue et n'a jamais connu l'orgasme. Avec son mari Rob, elle simule le plaisir depuis des années. Sofia croise Severin, une maîtresse dominatrice qui tente de l'aider. Parmi les patients de Sofia, James et Jamie sont un couple gay qui tente d'ouvrir ses relations sexuelles à un troisième partenaire. James propose une relation avec Ceth, mais Jamie reste sur ses gardes. James semble avoir un projet secret. Il est suivi par un mystérieux observateur, Caleb…

 

---> http://www.excessif.com/news.php?15364

 

 

Ca s'annonce ENOOOOOOOOOOOOOOOORME !!!!

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  • 2 weeks later...
Ce film est génial. Je n'avais jamais vu des scènes de cul aussi drôles et aussi décomplexées.

 

Chuis d'accord. Une vrai grosse surprise. J'ai trouvé ça trés beau et même émouvant sur la fin, c'est trés bien réalisé et interprété. Ce qui est hallucinant par contre, c'est que le film n'a pas fait son petit scandale. Il y a eu une espèce de consensuce autour du film, alors que les scènes de sexe homo/hétéro sont franchement hard, et que le grand théatre lumière Cannois s'ennerve assez facilement d'ordinaire . Seules deux cailleras sont parties au tout début pendant la scène d'auto-fellation (je crois que c'est l'éjac qu'ils n'ont pas apprécié ).

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  • 1 month later...
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  • 1 month later...
  • 3 weeks later...

Alors moi j'ai pas du tout aimé. Je sais pas pourquoi je suis pas rentré dedans du tout. J'ai trouvé les scènes de sexe surfaites. J'y ai pas vu de sens. L'intrigue même basé sur la psychologie des persos m' a laissé total indifférente. Donc je ne crie pas comme vous à la réussite même si le film n'est pas nul du tout.

 

Mais bon...

 

D'ailleurs vous trouvez pas qu'il ressemble à James ce cher Romain ?

 

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Vu ce soir en presence du tout beau tout gentil John Cameron Mitchell.

 

La projection du film marquait la fin du 7eme festival gay et lesbien de Prague, et en guise de conclusion avant le lancement de la bobine, les organisateurs ont eu l'idee saugrenue de foutre un couple hetero et un couple homo faisant leur affaires sur un canape installe sur la scene, pendant qu'une des nanas du festival grimee en lolita faisait son speech. Idee sympathique et contextuelle au regard du film qui allait suivre, mais qui dura environ 1/2h, le temps de remercier les sponsors, distribuer les prix du jurys et presenter le film avec John Cameron. Un John Cameron tout excite en tout cas de decouvrir ce spectacle, lui qui dit n'avoir paradoxalement pas fait l'amour depuis un bon bout de temps.

 

Le film en lui-meme est vraiment interessant. Ayant adore "Hedwig" deja, j'attendais avec ferveur ce nouvel opus, avec toutefois la crainte naturelle du "2eme film". Que nenni, Mitchell est venu a bout d'un beau projet assez risque et original, dont la production etait largement basee sur l'impro et la cooperation entre toute l'equipe. Ca se ressent a l'ecran, il regne a la fois l'esprit convivial et festif d'une troupe de comediens, une intrigue ouverte mais aussi le soucis de mettre en boite quelque chose de finalement coherent et emouvant. En dehors d'une fin un peu pirouette, j'ai trouve beaucoup de belles performances, que ce soit devant ou derriere la camera. Certains trouveront certainement ca New York Prout Prout, mais c'est la-meme l'origine du projet donc apres tout, y'a beaucoup d'humour et l'ensemble est totalement decomplexe, ce qui fait qu'on ne voit pas du tout le temps passer.

 

John Cameron Mitchell est vraiment adorable sinon : un peu pueril mais tellement rigolo et charmant ; grande joie pour moi de le rencontrer, il est tres cultive et ouvert d'esprit ; et il sent bon le bonbon

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Très sympa ce shortbus, ça se regarde sans déplaisir et c'est à la fois touchant et émouvant.

 

Tous le cast fonctionnent à merveille et ils sont bien tous mignon.

Mention spéciale au mec qui se fait les deux nanas à la fin.

 

La scène de Triolisme avec les deux Jamies et Ceth et vraiment très drôle

 

Bref un film qui fait passer le temps agréablement et qui très "bandant" par moment.

 

En tout cas ça se voit aux photos que le réalisateur sent le bonbon !

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  • 1 month later...

Enfin arrivé en Suisse, le type même du faux film bombe qui n'a pas peur de se contredire. Le maître de cérémonie fait allusion à une nouvelle génération année soixante l'espoir en moins. Sur quoi finit le film? Je vous le donne Emile: un magnifique orgasme porteur du dit espoir. D'autant plus énervant qu'il clot une scène le liesse qui sort enfin de film son empreinte new-yorkaise bien lourde. Cerise sur le gâteau de fête du new-yorko-centrisme: la vague d'amour se répand, tout rose et belle, dans sur un monde noir qui n'attend qu'elle. Même si l'impact culturel de la grande pomme n'est plus à démontrer et spécialement dans ce domaine dit underground, ça fait méchamment tousser. S'il s'agit de leçon de jouissance, nous nous étouffons d'une telle prétention.

Quant aux nombreux coups de zizis en tout genre, qu'apportent-ils réellement? De longs regards vides, parfois émouvants, mais assortis de réactions tellement téléphonées qu'on en est gêné pour eux.

Et tout ça est tellement positif: qui ose-t-on faire réagir avec deux pelés et trois tondus dont on se sait rien et qui termineront pepère dans leur club privé? A peine le passé de la doctoresse est-il évoqué que l'heure du bain se termine. Le film du dépressif est tout aussi pauvre en informations: ne voit-on toujours pas les mêmes images? Bref, tout cela reste bien superficiel, comme ses corps homosexuels qui touchent tous à la perfection et ne rappellent soit dit en passant que trop l'icône underground Joe d'Allessandro. Oui, il y a bien un gros dans la boîte, Monsieur Bonbon aurait-il honte de le filmer qu'il nous montre que ses jambes. Comme dirait Superwondoscope, ils n'ont que ce qu'ils méritent. (voir un débat sur Cruising).

Bon ben voilà, ce sera tout pour le soir de Noël. Joyeuses fêtes.

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  • 10 months later...

1 an plus tard ou presque, je le vois :

je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus convenu donc très bonne surprise et avec une journée de recul, je trouve ca très beau très touchant mais un peu vide, je reprochai surtout que ca raconte pas grand chose surtout et que je reste un peu frustré par des points -volontairement surement- non eclaircis.

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