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The Butcher Boy - Neil Jordan (1997)


Cyril

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Syno:

Flanqué d'un père alcoolique et d'une mère dépressive, le jeune Francie Brady se réfugie dans un monde secret, naïf, poétique et violent, peuplé d'Indiens et de cow-boys. Il passe le plus clair de son temps avec Joe, complice de ses jeux et de ses mauvais tours, dont les victimes favorites sont Mrs Nugent, hautaine voisine et son maladif rejeton. Sa solitude va s'aggraver à la mort de ses parents qui disparaitront l'un après l'autre jusqu'à donner à ses rêves et ses visions un caractère de plus en plus noir.

 

Jamais vu ce film qui pourtant m'a toujours tenté via son affiche vraiment intrigante. (

 

Je crée ce thread aujourd'hui pour signaler que ce film plutôt confidentiel en dvd sort en Z1 le 13 Février 2007, à suivre donc !

 

Sinon marrant de voir le site web fait à l'époque de la sortie, les balbutiements du net et les connections 56k donnait ça

 

http://butcherboy.warnerbros.com/

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Exxxxxcellent film, peut-être le meilleur de Neil Jordan.

Ca me donne d'ailleurs envie de le revoir tiens, c'est extrêmement intelligent, cruel, dur et sérieux - le genre de truc que Wonkley ne comprendrait pas, mais c'est vivement conseillé à tous: double baffe garantie et estomachage inévitable.

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  • 1 year later...

Je l'ai vu en vf, ce qui m'a passablement irrité les oreilles et n'allait absolument pas au film...au demeurant très réussi. Jordan semble traiter les pires ignominies d'un sale gnome irlandais avec une espèce de décontraction insolente : audacieux et mordant. A revoir bordel

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  • 2 months later...
  • 2 years later...

Bonne et curieuse impression de ce film que j'ai découvert l'année dernière, cette histoire de sale gosse irlandais qu'on croirait que c'est un film pour enfants. Un certain enthousiasme à suivre ce personnage aux actes macabres et dégoûtants (le parallèle avec Charles Manson... ). Et alors qu'il y a un paquets de faits sordides dans ce film, on garde le sourire devant ce faux feel-good movie alors qu'on se rend compte de la gravité contrairement au personnage. De son point de vue, le prêtre pervers ne paraît pas dangereux, et puis...

 

garder le cadavre de son père à la maison, c'est bien fendard

 

 

Très bon!

 

Une sorte de guerre des boutons réalisé par Haneke.

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