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L'héritier de la violence - Ronny Yu - 1986


Florent

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Brandon (Brandon Lee) est jeté en prison à la suite de la mort du superintendant de police. C'est Michaël, qu'il considérait comme son meilleur ami qui l'a piegé pour lui prendre son amie May. Durant sa captivité, Brandon devra supporter tortures et humiliations ( ouaih enfin c'est pas bien méchant non plus) en ruminant sa vengeance...

 

L'aura qui entoure ce film est assez conséquent et l'interview carrière de Yu dans Mad m'avait donné envie de découvrir ce film considérait par certains comme un petit bijou...

 

Pendant une heure je suis resté éveillé devant le film avec un soupçon d'ennui devant la mise en place de l'histoire, des protagonistes et du drame de Brandon. Ronny Yu réalise une honnête série B d'action, bien ficélé mais sans réel génie... j'attendais avec impatience un miracle quelque chose pour me sortir d'une torpeur et d'un ennui de plus en plus grand...

 

 

....ET LE MIRACLE EST ARRIVE ! La dernière demi-heure est excellente, entre des cascades sympa(l'homme abbatue qui glisse sur la rampe , des fusils et des armes en veux-tu en voilà et des prises de vue

Les 30 dernières minutes sauve à elles seule l'intégral du film. D'une production fort agréable, L'héritier de La violence est devenue par un final barbare (SPOILER la mort de May SPOILER) violent et sanglant, le bijou tant attendu.

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Mouais, bon, c'est sympa grâce à cett efameuse demi-heure-mais pas de quoi s'égosiller pour autant, d'autant plus que Ronny Yu a su se montrer plus inspiré... Moins inspiré aussi, on est d'accord... LEGACY OF RAGE n'est pas nul, c'est simplement un film sympa. Et c'est déjà pas mal.

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  • 13 years later...

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Découvert sur le DVD Metro

 

Petite série B HK 80's plutôt sympa. C'est effectivement assez balisé, et on n'y va pas toujours avec le dos de la cuillère, mais la mayonnaise prend bien. Brandon Lee assure, les méchants sont bien too much, ça brasse plein de genre d'exploitation, entre action, polar, film de prison, sans vraiment choisir son camp, mais tout ça nous emmène gentiment vers un final assez dantesque qui explose tout sur son passage. Pas un incontournable du genre, et Ronny Yu est encore un peu brouillon, mais petite série B correcte, qui sent bon les video clubs des 90's, et qui remplit très bien son contrat pour les amateurs de frappe !

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