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Second Life


Steve

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Hyper connu Movie Rev

Ils ont une monnaie dont le taux de change est basé sur le $ et tu peux créer plein de trucs à balancer dedans pour commercer et au final encaisser du vrai argent

Mais c'est aussi (parait-il) une simulation de vie poussée à son extrême où tu peux faire ce que tu n'as jamais réussi dans ta "vraie"vie.

J'ai jamais tenté bien que le truc attire de plus en plus de monde.

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Ca ressemble au "2eme monde" lancé bien trop en avance par les gens de Canal Plus, à une époque ou personne n'avait le haut-débis (et limite même pas Internet).

 

J'ose pas me lancer dans ce truc parce que déja que les Sims me font scotcher des jours entiers quand je me met dessus... La ca me parait être la drogue dure suprème... Flippant.

 

Certaines marques comme "Nike" créé des produits spécialement destiné à ce jeu que tu peux acheter dans des boutiques virtuelles c'est du délire. Non seulement ils nous pompent notre argent dans la vraie vie mais maintenant il le font dans le monde virtuel.. Et ca cartonne !

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En fait ce qui m'intrigue dans le concept, c'est de pouvoir se retrouver avec des gens que l'ont connait, et qu'on puisse faire des choses ensemble (mais pas que des cochonneries), ça me donne l'impression de se rapprocher distinctement des gens que je ne peux pas voir tous les jours. C'est ce qui m'interessait dans MySpace, mais là ça prend un niveau différent. Après je conçois que ça ait de très nombreux inconvénients et qu'il faut être prudent, mais je vais voir ce que ça peut donner.

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  • 4 months later...
L’association Famille de France veut bouter hors des écrans d’ici et d’ailleurs le monde virtuel Second Life. Motif invoqué ? Les dérives de cet univers virtuel, destiné à offrir à son usager une seconde vie numérique. Il possède une économie, et donc une monnaie, ici le Linden Dollars, une monnaie virtuelle qu’on peut échanger contre de la monnaie réelle. Comme tout modèle social, Second Life a ses évènements, ses manifestations, ses orientations et donc son côté plus noir ou ses abus manifestes, qui font sursauter Famille de France.

 

« La majeure partie de l’univers virtuel est créée par les joueurs eux-mêmes qui peuvent acquérir et créer du contenu (des casinos, des armes, du tabac…). Les achats entre joueurs se font grâce à une monnaie virtuelle qui est échangeable contre de l’argent réel. C’est pourquoi Second Life est présenté par les médias comme un moyen de jouer en gagnant de l’argent ou encore de visiter un univers magique et vivre une seconde vie virtuelle » dépeint d’abord l’association avant de passer au vif du sujet.

 

« De véritables photos et vidéos pornographiques en libre accès placardent certaines régions. Les utilisateurs ont la possibilité de mimer des rapports sexuels, allant même jusqu’à des scènes de viol, de bondage, de zoophilie et de scatophilie. Des passerelles entre l’univers virtuel et des sites Internet de pornographie permettent à l’utilisateur d’être redirigé rapidement ». S’y ajoutent des pubs « libres » pour le tabac, l’alcool, la drogue, l’utilisation de machines à sous, des loteries, effectuées sans aucun contrôle.

 

« Ces dérives, si elles ne concernaient que des « adultes consentants » poseraient des problèmes limités à une simple question d’éthique, mais, étant donné que des mineurs peuvent avoir accès au site sans limites, la question devient plus importante » tempère l’association qui réclame pour le coup des mesures de restrictions d’accès pour évincer les mineurs.

 

Famille de France n’en n'est pas à sa première incursion dans le domaine numérique. Fin 2006 par exemple, elle initiait son label de jeu vidéo « Famille de France », réservé aux jeux vidéo dénués de sexe (actes sexuels, personnages dénudés, dénigrement, etc.), de violence (actes violents entre joueurs réels ou non et les animaux, sang, etc), de drogues (présence ou vente de stupéfiants) ou d’atteintes « aux bonnes mœurs », dont la « présence et / ou utilisation de tabac »

 

L'association n'en restera pas là puisqu'elle vient d'attaquer l'éditeur et l'hébergeur californiens de Second Life. A titre subsidiaire et à l'instar de l'affaire Aaargh, elle a demandé à la justice de contraindre les FAI à filtrer le site en France. L'audience aura lieu le 18 juin prochain.

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J'avais essayé y'a genre un an ou deux j'avais trouvé ça super moche et super chiant, pas du tout mon trip. Bon en même temps je n'y ai pas passé 15 jours à construire je ne sais quoi, mais c'est vraiment pas mon style de jeux. C'est plus l'économie parallèle qui me fait flipper perso (tu peux vendre et acheter plein de trucs avec des vrais sousous), déjà que je claque trop de thunes sur le Net avec les conneries genre Amazon & cie "commande en un clic ça fait pas mal", si je m'en vais griller ma CB pour choper un nouveau chapeau à coller sur ma tête virtuelle on a pas fini

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