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Blutjunge Verführerinnen, Michael Thomas (1972)


CHIEN_FOU

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Au tournant des années soixante-dix, le cinéma teuton s'encanaille avec des productions telles que les Schulmädchen-Report, les productions Friedman (Siegfried und das Sagenhaften Liebensleben der Niebelungen, Der Lüsterne Türk) et, direct from Zürich, les productions Erwin C Dietrich : la trilogie des Blutjunge Verführerinnen (Blutjunge Verführerinnen, Blutjunge Verführerinnen 2 : Sex und noch nicht 16, Die Blonde mit dem süssen Po).

Tout comme les Schulmädchen-Report, Blutjunge Verführerinnen célèbre la libération sexuelle et le pouvoir des jeunes femmes sur les hommes et les femmes plus âgés.

Série de mini sketches sensés illustrer une nouvelle production cinématographique (peu importe le pitch, ce n'est pas vraiment le problème), le premier volet de Blutjunge Verführerinnen est l'occasion de découvrir la plastique de jeunes actrices teutones dont certaines feront une carrière remarquée outre-Rhin, telle Ingrid Steeger.

Film emblématique d'une certaine époque, le film enchaîne les scènes érotiques et de sexe simulé qui, s'il n'est pas encore pornographique (bien qu'il le soit selon les canons de l'époque), il illustre plaisamment la période dorée d'avant le X.

Disponible chez Ascot Elite dans une belle copie 16:9 dans la langue de Goethe, sans sous-titrage ni supplément.

 

Ach schöne Blutjunge Verführerinnen !!!

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