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Dirt, série tv trash avec Courteney Cox


Stéphane

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Lucy Spiller (Courteney Cox) est la boss du journal trash "Dirt". Oubliez Voici, Dirt c'est du glauque, du hard, du violent. Lucy mène ses journalistes à la baguette, les engueulant perpétuellement pour qu'ils apportent la une de la semaine, de préférence la plus glauque.

Un acteur de films d'action qui aime sucer ? Un chanteur qui disparait et dont la tête est gardée par son imprésario ? Une pompom girl qui couche avec son père ? C'est pour Dirt.

 

Heureusement que Lucy est aidée par Don, le plus fort de paparazzi qui vendrait son ame pour une photo. Bon il est schizophrène et pense vivre avec le fantôme d'une actrice morte d'overdose. D'ailleurs celle çi lui donnera un enfant lors d'une scène totalement azimutée.

 

Dirt c'est la série coup de poing du moment. Vulgaire, violent drogue à gogo, sexe (surtout homosexuel), la série se paie le luxe de taper sur tout le monde, hollywood, les starlettes à la con comme Lohan où Hilton.

 

Dirt c'est de la bombe...

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J'ai vu que le pilote j'ai trouvé ça super naze, ok les acteurs sont des putes qui ont besoin des tabloïds autant que les tabloïds ont besoin d'eux bla bla et les gens qui bossent pour ces magazines sont des vilains qui payent leurs méfaits en étant tout vides à l'intérieur et tous seuls abandonnés forever. Ca commençait plutôt pas mal mais entre l'autre schizo, ses voix, son chat, le mec mal dans sa peau qui veut se tuer en bagnole parce qu'il a des larmes dans son coeur, j'ai totalement décroché...

 

Dans le genre et en bien plus mordant je préfère le Larry Sanders Show, et c'était y'a 10 ans.

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le schizo c'est le top dans la série... le mec est hallucinant... il ferait tout pour son metier.

 

Tout pareil. C'est le truc qui m'a fait accrocher aux premiers episodes. Apres 4 ou 5, ca devient plus interessant en general aussi.

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  • 6 months later...

Il m'a fallu 3 ou 4 épisodes pour accrocher (je suis la série sur Canal Jimmy)... le point d'attraction central reste Courteney Cox qui fait une vraie belle performance içi. Une chienne de rêve comme on les aime, on aime la détester, et plus étonnant on aime aussi l'aimer. Son personnage prends de l'ampleur au fur et à mesure... la série évite le manichéisme qu'évoque pourtant Prodigy.

Un personnage haut en névroses, allergique à l'hypocrisie, qui a trouvé dans son poste le support parfait à l'expression de ses meurtrissures les plus enfouies.

Elle est entourée d'une gallerie de personnages, sans illusions, tous admirablement brossés... du journaliste ivrogne (Paul Reubens, participation lourde de sens), l'assistante faussement cruche, sa relation privilégiée avec son frère gay, le directeur de publication vulgaire et couard, l'acteur blockbuster dont la vie est un mensonge et bien sur le paparazzi schyzo...

Au profit de la série, une réalisation dynamique, des dialogues nourris de répartie cinglante, une absence totale de jugement sur les personnages... on peut juste regretter qu'hormis Lindsay, Paris et Britney régulièrement citées, il n'est pas fait mention d'autres noms célèbres auquel se réfèrent pourtant bien des anecdotes au fil des épisodes.

C'est aussi un catalogue de tout ce qu'il ne faut pas faire pour passer en prime time.

Ca fait du bien.

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