Aller au contenu

L'enfer des femmes, Sergio Garrone, 1976


Guillaume Tell

Messages recommandés

Je m'étonne de rien trouver sur cette curiosité nauséabonde de la nazispltoitation et en même temps témoin d'un laisser-aller total si fertile.

 

D'ou ma question, car je réponds parfois, mais ne lance pas souvent de nouveaux sujets:

- Film laissé volontairement de côté vu le côté hypersensible des images?

- Peut-on afficher la jaquette de Choc Productions sur ce forum qui montre une femme agenouillée et ligotée sous une immense croix gammée?

-Titre par trop explicite Essesse Camp5 pour les libérés tout contris des post 2000?

 

Solution deux: je ne suis un manche hors catégorie pour la recherche et e n''ai pas mis mes petits doigts sur les bonnes touches.

 

Ressorti, pas tout récemment chez BLFilms, toute belle édition presque trop propre pour ce qu'est le film.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

SS Camp5, L'enfer des femmes débute sur des images d'archives. Le générique complet est en surimpression sur des images de camp d'extermination. Il faut garder le boitier DVD en main et y jeter un coup d'oeil pour se persuader que Nuit et Brouillard de Resnais n'est pas dans le lecteur. Le reste du film est disons plus classique pour qui a déjà mis un pied dans le monde du WIP ou de la nazisploitation. Si ce n'est ce retour d'images d'archives, pour quelques secondes, lors d'une justification boîteuse des expériences de brûlures sur les jambes de prisionnaires, de femmes nues comme il se doit.

Voilà, le laisser-aller total de l'Italie seventies où un officier SS ne peut plus se passer une femme noire originaire de Jamaïque. C'était en tout cas pas les idées qui manquaient.

 

http://www.blfilms.fr

 

 

Une jaquette moins tape à l'oeil de quelques messieurs bien tranquilles.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le plus choquant, c'est peut etre la présence d'images d'archives pour appuyer les faits sur lesquels repose un film d'exploitation débilitant. Mais ça apparamment c'est dessus...

Sinon, le seul passage qui m'a marqué, la vision de corps gigotants derrière les flammes de ce qu'on imagine être un four crématoire, glauque.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...