Steve

Despite his 50 years Parviz still lives off his father and the two men don’t get on very well. Things come to a head when the father tells his son he has decided to remarry. Parviz has no other choice but surrender his place to his step-mother and leave home. Parviz finds it difficult to get used to this new solitary life far from his neighborhood and the people he knows. He thus concocts a novel way of fighting back against the injustice done to him. Le "Los Bastardos" iranien. Ca teste bien les nerfs du public. C'est a savoir a quel moment le spectateur perdra toute sympathie pour le perso principal, veritable sociopathe pousse a bout par tout son entourage. La progression est tres tres lente, mais la conclusion ineluctable. On decroche quelques rires de nervosite, mais ce portrait d'une vie ratee est assez violente. Un realisateur a suivre. HJ0BHQgz_kI

Nicolas mène l'existence tranquille et idyllique d'un petit garçon comme les autres. Ses parents l'aiment tendrement, lui et sa bande extraordinaire s'amusent beaucoup et se livrent à toutes sortes de bêtises jusqu'à ce fameux jour où il apprend que sa mère est enceinte. La détresse s'installe et Nicolas imagine déjà la situation à venir : un petit frère va prendre sa place, et ses parents ne vont plus s'occuper de lui.... Bein c'était gentil comme tout, et beaucoup plus entraînant que le médiocre Asterix 4. Je me suis pris à rire plus qu'à sourire, et en tant que divertissement familial ça a le mérite de vraiment fonctionner. Le casting est au poil, entre les gamins et les apparitions de Jugnot, Anémone, Riaboukine et Galabru, sans compter le couple Merad/Lemercier qui fonctionne. Nan franchement, une belle surprise. Je suis curieux de voir la suite.

A Christmas Eve party at a luxury residential building takes a horrific turn when a fire breaks out. Foooooooouuu, ils sont doués ces coréens. Le scénar est typique et ne casse pas des briques (hum), mais à l'écran ça en jette ! Y'a moins de temps mort que dans Tidal Wave, l'autre film catastrophe coréen de ces dernières années et ça démarre plus rapidement. En plus c'est une manière un peu détournée de faire un film catastrophe sur ce qui a pu se passer le 11/09 vu les analogies flagrantes. ljiBRTKc0Wc

On ne s'ennuie pas c'est déjà ça, mais c'est assez prévisible. Il y a bien quelques idées de scénario rigolotes, mais ça ne cache pas qu'on est en terrain un poil connu, surtout avec DiCap qui fait du DiCap comme il a toujours fait chez Scorcese, c'est-à-dire avec la veine du front prête à péter toutes les 15 minutes. Perso, je ne suis pas rentré du tout dans la tête de ce perso simplement à cause de ça. Maintenant, je dois dire qu'il y a de très beaux arguments dans le reste du casting (et je ne parle pas seulement de l'excellent Matthew McConaughey)... Naomi

Ninjitsu master Casey is back and out for revenge when his pregnant wife is murdered. Comme le premier film (du moins de ce que me souviens), c'est primitif mais pretexte à de bons combats lisibles et excitants, sans envolees ultra-violentes non plus, un film calibré pour un dimanche après-midi en quelque sorte. Pas de temps morts, de chouettes décors (le film semble avoir été tourné entièrement en Thailande, et c'est bluffant pour les scènes qui se passent au Japon et en Birmanie, alors que de plus grosses prods font bien pires niveau attention aux détails), et la panoplie complète du film de Ninja auquel on est en droit de s'attendre. p1yWiiN7cXE

C'est reparti pour un tour. Curieux de voir les tops de tout le monde histoire de rattraper les films que j'ai pu manquer cette année. TOP: 10. Gravity: 4DX (Alfonso Cuarón). (pour l'experience en 4DX uniquement) 9. Dans la maison (François Ozon) 8. The Place Beyond The Pines (Derek Cianfrance) 7. Django Unchained (Quentin Tarantino) / Maniac (Franck Khalfoun) Mes deux films de genre de l'année. 6. Pain & Gain (Michael Bay) / Spring Breakers (Harmony Korine) / The Queen of Versailles (Lauren Greenfield). L'année du rêve américain brisé. 5. Le passé (Asghar Farhadi) 4. Whores’ Glory (Michael Glawogger) 3. Before Midnight (Richard Linklater) 2. Thy Womb (Brillante Mendoza) 1. The Act of Killing ( Joshua Oppenheimer, Christine Cynn, Anonymous) FLOP (de mémoire, car j'ai du oublier plein de trucs bien pires): Oz Only God Forgives Jeune et Jolie Dyatlov Pass Incident Hobbit 2

Ouais mais j'avais pas le souvenir d'une epidemie chez les humains. En fait j'ai cherche et apparemment dans le generique, y'a un petit teaser de la suite. Plus aucun souvenir je dois dire.

A growing nation of genetically evolved apes led by Caesar is threatened by a band of human survivors of the devastating virus unleashed a decade earlier. They reach a fragile peace, but it proves short-lived, as both sides are brought to the brink of a war that will determine who will emerge as Earth's dominant species. Je ne me souviens plus, y'avait une histoire de virus dans le film precedent ? En tout cas, le teaser pese ! Nl7WkYfi0hc

A couple with a newborn baby face unexpected difficulties after they are forced to live next to a fraternity house. cogYgZz4Vi0 EmH4IE3Iysg

A dying Secret Service Agent trying to reconnect with his estranged daughter is offered an experimental drug that could save his life in exchange for one last assignment. Ca fait plaisir de revoir Costner en forme, et il faut que Besson pense a faire un crossover avec Taken pour la prochaine fois. ZGo9rJEUd24

Ca y est j'ai reussi a m'endormir pendant une seance en 4DX. Bravo Peter ! Ca m'a gonfle du debut a la "fin", alors que j'avais plutot ete receptif au premier Hobbit. Jamais lu le bouquin, mais j'avais vu le dessin anime des annees 1970 et il me semble que cette partie de l'histoire dure a tout casser 10 minutes dans le D.A. , donc bonjour le brodage. Je retiendrai la sequence des araignees en tout et pour tout, alors que je m'attendais a un truc largement mieux pour la sequence des barils et celle du repere du dragon.

C'est tres academique, ca force carrement le trait sur le cote dramatique de l'histoire. Le docu Inside Deep Throat suffisait amplement a mettre en contexte toute l'histoire, alors que le film se donne des airs de plaidoyer contre la violence domestique et la pornographie, a l'instar de Lovelace elle-meme. Ca fait l'impasse sur pas mal de details du coup, mais bon ca se regarde. Seyfried est vraiment bien mais par contre on pense a Lindsay Lohan tout le long du film. Elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau, et on imagine sans peine que le film aurait vraiment fonctionne avec ce casting alternatif.

Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark. Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts. Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde, mais le Capitole exerce toujours un contrôle absolu sur les districts tandis que le Président Snow prépare la 75e édition des Hunger Games, les Jeux de l’Expiation – une compétition qui pourrait changer Panem à jamais… Je cree un nouveau topic, parce que le film le vaut bien. On est a 100 coudees au dessus du premier opus a tous les niveaux. Y'a plus de moyens, un casting qui envoie le bois en ajoutant Philip Seymour Hoffman, Jena Malone, Jeffrey Wright, ... c'est correctement filme et monte cette fois, et l'histoire commence enfin a prendre son envol (le film dure 2h30 et il y a une bonne heure d'exposition, pas desagreable, mais on se rend compte que le premier film etait presque dispensable) et c'est beaucoup plus noir avec des scenes d'une intensite auquel je ne m'attendais pas je dois dire. C'est tres l'Empire contre-attaque dans l'esprit, jusqu'au final tres... Matrix Reloaded Vu en 4DX, ca met du temps a demarrer comme le film, mais des que les jeux commencent, la vache c'est de la haute voltige Tres impatient de voir la suite du coup EAzGXqJSDJ8

Six astronautes embarquent pour le plus long et périlleux voyage de l'histoire de l'humanité. Un périple de 600 millions de kilomètres pour explorer Europa, le satellite glacé de Jupiter où des scientifiques ont décelé la présence d'eau et donc potentiellement de la vie extra-terrestre. Mais six mois après le décollage, tout contact avec la Terre est perdu et les spationautes sont livrés à eux mêmes dans le vide sidéral… J'ai plutot accroche a ce film found footage. C'est de toute evidence un tres petit budget qui ne cherche pas a en mettre la vue avec des plans CG foires, et ca c'est plutot bien vu. C'est court et plutot bien mene, avec un focus particulier sur le cote scientifique de l'expedition plutot que le cote fantastique. Ca requiert quand meme de ne pas trop confronter les actions des persos avec le comportement de vrais astronautes, a la maniere de Prometheus, mais on evite l'emphase sur l'aspect drame psychologique de l'equipage vu dans a peu pres tous les films d'exploration spaciale. cbw9hlBnG74

Tilikum est un orque agressif. En captivité dans un parc aquatique, il a tué trois personnes. Avec l'appuie d'images choquantes, Blackfish fait intervenir des spécialistes qui luttent pour le maintien de ces animaux à l'état sauvage. Je n'ai pas trouve le docu particulierement incroyable. C'est tres plan-plan, des tetes qui parlent et des images d'archives qu'on peut trouver ailleurs. C'est tres a charge egalement, donc on a tres vite fait le tour de la problematique du film. La prise du position est louable ceci-dit, mais bon le trailer suffirait presque. G93beiYiE74

J'avais trouve le 3eme pas trop mal, mais celui-la m'a bien fait souffrir.

Lorsque Joshua Oppenheimer se rend en Indonésie pour réaliser un documentaire sur le massacre de plus d’un million d’opposants politiques en 1965, il n’imagine pas que, 45 ans après les faits, les survivants terrorisés hésiteraient à s’exprimer. Les bourreaux, eux, protégés par un pouvoir corrompu, s’épanchent librement et proposent même de rejouer les scènes d’exactions qu’ils ont commises. Joshua Oppenheimer s’empare de cette proposition dans un exercice de cinéma vérité inédit où les bourreaux revivent fièrement leurs crimes devant la caméra, en célébrant avec entrain leur rôle dans cette tuerie de masse. "Comme si Hitler et ses complices avaient survécu, puis se seraient réunis pour reconstituer leurs scènes favorites de l’Holocauste devant une caméra", affirme le journaliste Brian D. Johnson. Une plongée vertigineuse dans les abysses de l’inhumanité, une réflexion saisissante sur l’acte de tuer. Et là c'est littéral. Voilà un documentaire vraiment unique et hallucinant en son genre, qui va encore plus loin que de présenter les faits le plus objectivement possible, puisqu'il sert officiellement de plateforme à des génocidaires pour s'exprimer le plus naturellement possible sur leur responsabilité dans l'execution de millions de gens. J'ai vu la version longue de 2h40, il existe une version un peu plus courte de 2h. Je ne sais pas si l'effet est différent, mais en l'état on est proche d'une forme pure du documentaire, tel une oeuvre d'art contemporaine ultra-provocatrice, dérangeante, à la limite du film snuff. Il y a une idéé majeure par séquence, et le montage cru les fait s'entrechoquer pour évoquer le pire malaise chez le spectateur. Difficile de s'en remettre, c'est en quelque sorte un film de genre ultime... NickLeZob ça devrait être pour toi EThZ80wrOTQ tQhIRBxbchU

Je viens de lire les commentaires et euh vous vous attendiez à quoi ? Ouais ca pète pas plus haut que son cul, et c'est bien meilleur que La fin des temps, que les deux Expendables, et je dirais même que c'est le meilleur film de Jee-Woo Kim après son segment dans Doomsday Book. Y'a un scénario pretexte mais des cadrages pas dégueux, une atmosphère western coolos, et même si ça reste très américain dans l'âme, ça n'est pas le film impersonnel auquel je m'attendais.

Un garçon de 16 ans s'immisce dans la maison d'un élève de sa classe, et en fait le récit dans ses rédactions à son professeur de français. Ce dernier, face à cet élève doué et différent, reprend goût à l'enseignement, mais cette intrusion va déclencher une série d'événements incontrôlables. On retrouve le Ozon des débuts je trouve, rappelant Sitcom et Regarde la mer, voire le suspense d'un Swimming Pool et c'est l'un des ses meilleurs film, porté par un casting parfait, de Luchini (qu'on croirait encore tout droit sorti de PROFS ) à une Emmanuelle Seigner toute en retenue en passant par le jeune Ernst Umhauer, très bon. Ozon parvient à tenir intelligemment le spectateur en haleine, l'impliquant tout naturellement dans l'intrigue. Là où, à ses début, Ozon jouait facilement la carte provoc, ici c'est plus subtil, le malaise vient aussi qu'on se sent tiraillé entre les points de vue du maître et de l'élève. J'étais resté complètement hermétique à Jeune et Jolie, et juste sympathiquement amusé par Potiche, mais ça fait la deuxième fois qu'Ozon me surprend après un creux de vague (la première fois c'était l'intriguant Ricky) eegoZpxQCzc

Moi je trouve qu'elle représente totalement la chieuse française par excellence depuis le premier film Mais j'adore. Un très bon moment que ce Before Midnight. J'étais scotché aux lèvres de tous ces personnages et aux belles images de la côte Grecque. Linklater a trouvé une formule magique qu'il pourra décliner éternellement. Je ne cracherais pas sur un nouvel opus dans 10 ans.

Oula j'ai pas du tout accroche. Vu sur Netflix apres un paquet de recommandations lues a droite a gauche. J'ai deteste la forme, j'ai deteste le fond. Je suis bien alle jusqu'au bout qui est choquant, mais qui ne m'a pas revolte ou emu car c'est vraiment trop jusqu'au boutiste dans sa demarche ultra-subjective. Ca m'a provoque une gene incroyable, c'est un fait divers de justice et ne devrait pas se retrouver exhibe sous cette forme par l'entourage des victimes.

fo2j5ziXtws

J'adore la tagline incomprehensible

9BErk0eVRF0

Déjà oublié en ce qui me concerne. Vraiment pas trop mon truc cet univers Disney/Marvel. J'ai aucun problème avec le côté couillon, la direction artistique pompée sur Riddick comme dit kevo, et 50% du script pompé sur le jeu Portal, c'est juste que j'ai l'impression de ne rien avoir rien à faire là, comme quand je m'étais pointé en costard dans une fête punk dans un bunker nucléaire y'a 7 ans. Je le savais d'avance, mais je venais pour la musique. Sauf que c'est un peu gâché si tu n'as pas la panoplie et que tu ne comptes pas rester jusqu'aux aurores. Dans le cas de Thor, ben je vois déjà les 5-6 films qu'on va devoir se taper avant de pouvoir apercevoir les premices d'un truc un peu plus épique narrativement comme le suggère toutes les scènes post-génériques depuis Avengers. Mais bon mon gamin a adoré, et j'aurais été comme un fou à son âge. Dans les années 90, on avait pas trop de saga comme ça au cinéma à attendre. Fallait obligatoirement se tourner vers les VHS usées des films 70s/80s.