Eric

Perso j'ai toujours pensé que Cimino était un réal surévalué, et La porte du paradis est loin d'être un pur chef d'oeuvre. Il y a de superbes moments, mais trop de longueurs.

Mes gros coup de coeur : - I Am a Ghost (J.P. Mendoza) - Modus Anomali (Joko Anwar) (très) Agréables : - Gravity - Django Unchained - Monster Academy - Worm Déception : - Pacific Rim Plus jamais : - Planes - Zambezia

Attendu par de nombreux lecteurs, le 14ème numéro de Darkness Fanzine est annoncé autour du 15 décembre 2013 chez l'éditeur indépendant Sin'Art. Entièrement dédiée à la censure au cinéma, la revue propose un numéro par an depuis 2010 avec cette année la livraison de deux dossiers étonnants. Dans un premier dossier consacré aux États-Unis, après un exposé chronologique retraçant l'évolution de la réglementation cinématographique outre-Atlantique, Benjamin Campion (Libération.fr) explore les règles de régulation définissant le contenu des programmes diffusés sur le petit écran, Greg Philip (filmperdu.blogspot.fr) dissèque les stratégies d'évitement de la censure imaginées par Alfred Hitchcock et Chloé Delaporte (Sorbonne Nouvelle) relate l'incroyable histoire du film Raspoutine & the Empress ayant conduit Hollywood à informer le spectateur que les films de fiction ne sont le plus souvent que des œuvres de l'imagination. Le dossier est complété par un voyage inattendu jusqu'au Mexique dont le compte rendu, rédigé par Maria Fortin (université du littoral Côte d'Opale) conduit le lecteur à découvrir le cinéma subversif d'Arturo Ripstein. Le second dossier offre de soulever le couvercle des déviances et des perversions au cinéma. Une collection impressionnante de thèmes peu conventionnels dont certains sont analysés et livrés à la réflexion du lecteur. Sébastien Lecocq (cinémag fantastique), Yohann Chanoir (Historiens et Géographes) et Agnès Giard (Libération.fr) livrent le fruit de leurs observations du cinéma asiatique tandis qu'Alan Deprez (Lui.fr) s'emploie pour sa part à détailler l'univers hard de Peter Acworth. Alain Brassart (Lille III) et Isabelle Labrouillère (Toulouse II) interprètent l'utilisation du corps par les cinéastes des deux sexes. Christophe Bier (Dictionnaire des longs métrages français pornographiques et érotiques en 16 et 35 mm) y parle de sadomasochisme, Lionel Trelis (La censure cinématographique en France) de Nazixploitation, Éric Peretti (Sueurs Froides) de zoophilie et Albert Montagne (Histoire juridique des interdits cinématographiques en France) de nécrophilie et même... d'agalmatophilie !

C'est fait, mais sans l'option tatouage.

Et si tu arrives à négocier les droits, le film passera dans le section Truffe du Pifff ?

C'est malin, vous avez dévoyé ce petit jeune qui fait des recherches malsaines !

Alors pour les purs (Tubby !!!) voici la chanson censée promouvoir le film Clodo, dernier rôle de Bourvil, qui dormait depuis un an dans un tiroir. Il faudra attendre 1975 pour que le film sorte enfin en salles, agrémenté de scènes explicites, sous le titre Clodo et les vicieuses ! http://www.bide-et-musique.com/song/3492.html

Je vais y aller cet automne.

N'ayant pas aimé le premier, j'y suis allé avec méfiance et du coup j'ai trouvé le film plutôt bon derrière son aspect très prévisible.

Time Bandits de Terry Gilliam !

Formaté pour la télévision, donc régulièrement ponctué de fondus au noir pour l'insertion des plages de publicités, le métrage était sans doute parfait pour divertir le spectateur en 1984. Mais voilà, comme tous les films vantant une technologie de pointe alors naissante, ici les oridinateurs, INVITATION EN ENFER souffre du temps qui passe et tous les gadgets futuristes sont aujourd'hui terriblement datés, ce qui accentue encore plus le côté ringard de l'ensemble. A cela s'ajoute une intrigue guère passionnante et de plus totalement prévisible, une photographie terne couplée à une mise en scène désespérément plate. De plus l'étroitesse du budget et la nécessité de livrer un produit consommable par le plus grand nombre, donc totalement inoffensif, annihilent définitivement toutes éventualités d'obtenir une œuvre un tant soit peu originale. Travail purement alimentaire, ce téléfilm ne doit finalement le faible intérêt qu'il suscite au seul fait d'avoir été réalisé par Wes Craven, figure certes incontournable du genre horrifique mais dont la carrière oscille dangereusement entre le très bon et le franchement médiocre, à l'image de cette invitation dans l'Enfer de la nullité.

Suite à l'échec commercial, mais également artistique, de son adaptation de LA CREATURE DU MARAIS en 1981, Wes Craven se retrouve durant plus de deux ans loin des plateaux de tournage. Il a mis ce temps à profit pour rédiger un nouveau script, A NIGHTMARE ON ELM STREET, qu'il espère bien réaliser rapidement. Mais le temps de trouver un financement pour ce sujet original, et pour renflouer ses propres finances, il accepte de tourner la suite de LA COLLINE A DES YEUX. Alors que le film est encore en phase de post production, il est contacté par la chaîne de télévision ABC qui lui propose de mettre en scène un scénario, qu'il juge vite assez grotesque, intitulé INVITATION EN ENFER. Comme à ce moment là les négociations pour la réalisation de son script étaient toujours au point mort, et qu'il lui fallait des rentrées d'argent régulières, il accepta le boulot. Craven travaille alors sur son téléfilm le jour tout en poursuivant le mixage sonore de son précédent film la nuit. Ne dormant quasiment plus, il profite de cette épuisante phase créative pour réécrire totalement les futures aventures de Freddy Krueger.

Vu samedi avec ma fille de quatre ans et demi. Et bien c'était pas mal dans le genre. Pas original certes, mais très bien fait. Le design des personnages est sympa et l'animation super fluide. Bref, beaucoup mieux que Ice Age 4 et Madagascar 3 !

C'est un très bon petit film, avec la fille de Donald Pleasence. Bonne ambiance et scénario intéressant. Par contre, j'ai vu le film en vhs il y a longtemps et l'image n'étant pas des plus heureuses, ça renforce un peu l'aspect fauché de l'ensemble. Vivement une édition HD pour se refaire un avis.

Je confirme, Modus Anomali est une très bonne surprise.

Moi j'y crois

The Snapper de Stephen Frears.

C'est pas Brad Pit qui prête sa bite pour l'image subliminale de Fight Club ?

N'oublions pas Palombella Rossa (1989), chef d'oeuvre de Nanni Moretti qui se déroule durant un match de waterpolo.

Ouvrons un thread films de piscines !

Bravo à vous pour cette édition 2013 !

Jarman n'est pas chiant, c'est différent

Je te conseille Brute Force (Les démons de la liberté) qui est une pure merveille.

Fidèle au poste

Cool