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Ekynox

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Tout ce qui a été posté par Ekynox

  1. Content d'avoir vécu à peu près les mêmes sensations que le premier. C'est bien simple, pendant certaines scènes complètements furieuses, j'avais une petite larme à l'oeil. Il y a de beaux passages ambiants, mais certains cassent carrément le rythme...et certains sont trop explicatifs. Concernant la fin, j'ai eu exactement la même intuition que Melty. Pour le dernier plan
  2. J'avoue avoir sourcillé en voyant l'affiche "Allo maman c'est encore moi"
  3. Je me joins au concert de louanges concernant ce dernier Fallout (oui on peut dire cette fois que c'est un Fallout). C'est clair que c'est pas très joli (mais bon, cette série a toujours été laide), mais là on tient un univers cohérent dont nos choix ont de réels répercussions sur l'ensemble. Y a beaucoup de quêtes passionnantes qui ont de la consistance et plusieurs façons de résoudre une situation. Ça fight quand même pas mal, mais c'est atrocement moins lourd que dans le Fallout 3 où on pouvait tuer une armée de super-mutant à toutes les quinze minutes. On se tappe plus de saloperies de rame de métro ou bien 50 bâtiments vides où il ne s'y passe rien. C'est varié, c'est frais, on a l'impression que nos décisions ont de l'impact, y a de l'humour même si c'est pas aussi cinglé que Fallout 2, c'est bien écrit, bref, tout ce que Bethesda n'a pas réussi à faire se retrouve dans ce volet.
  4. Ekynox

    ZoneBis ze T-shirt

    Magnifique !!
  5. Nan mais y a des trucs très bien dans ce film ! Trio de personnages forts intéressants, certaines lignes font mouches, mais après, visuellement soit on déteste ou soit on apprécie. Certaines scènes sont riches de ce côté là, mais le gros problème c'est la répétition de cette esthétique comme si Xavier Dolan avait tout donné la première heure; par la suite ce n'est que de la redite. Sinon, le récit s'essoufle très rapidement et on fini juste par avoir envie de les cogner tous les trois.
  6. Peut-être que ça aurait été sympa d'éviter la voix-off et faire une fermeture tout simplement en images non simplement parce que le texte est un peu limite c'est vrai, mais aussi pour garder la même saveur que tout ce qu'on a vu précédemment. De mon côté cette déclaration ne m'a pas vraiment réactivé puisqu'elle vient quand même d'une femme dont les amies ce sont faits éclatés à coups de fusil, alors...Elle aussi est en réaction. Sinon, j'ai tiqué un peu plus sur le sort des hommes; oui il y en a un qui soigne une fille, mais en même temps il fini mal...tandis que l'héroïne est plus forte, elle s'en sort malgré l'épreuve alors que lui non. Y a aussi le patron qui ne souhaite pas de femmes enceintes dans son équipe, le gardien de sécurité complètement con...
  7. Ekynox

    L'arnacoeur - P.Chereau - 2010

    Très, très sympathique ! J'ai eu le sourire aux lèvres tout au long du métrage. Récit prévisible certes, mais une ironie dramatique bien menée et parsemée de quelques surprises.
  8. Du gros, gros n'importe quoi ! Souvent pénible, mais je me suis esclaffé à quelques reprises. Ça va quand même au delà des codes habituels et ça devient même l'hallu à certains moments (la scène où le héros découvre ses potes "morts"). En fait ce n'est pas que c'est vraiment drôle, c'est juste déstabilisant et ça m'a mis dans un drôle d'état. Comme si ça créait (ou détruisait) des connections au cerveau C'est quand même un truc qu'on ne voit pas à tous les jours (heureusement diront certains !) Je l'ai vu en V.O et peut-être que ça aurait été plus appréciable avec une VF question d'aller jusqu'au bout du trip.
  9. En fait, au contraire, je crois à mon avis que Villeneuve a su mettre de l'avant le motif premier du tueur qui est bel et bien sa haine envers le féminisme. La lettre qu'il écrit au début du métrage est la même que le vrai Marc Lépine a rédigée avant le massacre. http://www.philo5.com/Textes-references/LepineMarc_TexteIntegralDeSaLettre_891206.htm Par la suite, c'est certain que dans le film on ne découvre pas les antécédants de Lépine (il a été abusé par son père et celui-ci était algérien et mysogine. Possible aussi que Lépine souffrait de troubles de personnalité). Sinon, suite à cet évènement, c'est certain qu'il y a eu une réaction très forte puisque le droit de la femme est, on pourrait dire, "sacré" au Québec. Donc, il y a une saveur féministe dans le film (est-ce que Villeneuve avait vraiment le choix ? On devait l'attendre avec une brique et un fanal ), mais je dirais tout de même dans son côté "sain". Après c'est certain que les hommes dans ce film ne sont pas dépeints sous leur meilleur jours, mais ça ne m'a pas du tout irrité. Je n'ai pas senti ça comme une "revanche". Je ne sais pas si j'ai bien répondu à ta question !
  10. Vu finalement et vraiment, c'est la très grosse claque. Ça faisait très longtemps que je n'avais pas vu un film aussi soigné. C'est esthétique à fond, un superbe noir et blanc, mais rien n'est gratuit tout trouve son sens. Bien que l'on suit trois points de vue différents (soit une étudiante en ingénierie, un étudiant et Marc Lépine, le tueur) tout ce qui se dégage du métrage semble être le regard de Marc Lépine. C'est lent, dépressif au possible, on a de long plans sur des paysages hivernaux, ça devient hyper contemplatif et mélancolique. La BO est minimaliste, la véritable musique sont les coups de feu du tueur. Le film va plus loin que la simple fusillade dans une école; Villeneuve s'intéresse également aux répercussions qu'un tel évènement peut engendrer sur les victimes. Et tout ça c'est bouclé en 77 minutes. Bref, je me suis senti complètement happé par ces images, ce rythme, comme si on vivait cette histoire malheureusement vraie à travers le regard de Marc Lépine. mTCIMxgMqVY
  11. Ekynox

    Auschwitz d'Uwe Boll (201?)

    Un article d'un blogueur qui date tout de même du 4 avril http://ninjadixon.blogspot.com/2010/04/uwe-boll-making-auschwitz-movie.html Alors il mijote qqchose l'ami Uwe
  12. Ekynox

    Machete - Robert Rodriguez (2010)

    Là par contre, je ne pourrais dire puisque je n'ai pas vu "Once upon..." J'ai trouvé Planet Terror plus audacieux et fun que Machete, mais attention ! Je ne voudrais surtout pas donner l'impression que Machete est un film pépère ! Le film est très bien et sait être excessif dans de nombreux moments. Il y aura sans doute du claquage de beignet pour certains ici !
  13. Ekynox

    Machete - Robert Rodriguez (2010)

    Globalement, j'ai passé un très bon moment. Ça envoie assez rapidement; dès le deuxième plan Machete est à l'écran. Par contre, passé une première séquence extrêmement jouissive, le rythme ralenti assez drastiquement. Le fait que le Machete subisse a peu près tous les évènements au lieu d'agir de son propre chef, n'y est sûrement pas étranger. J'ai quand même senti un décalage entre le trailer qui est plus "dans ta face" et le résultat final. Ok, quand ça charcute, ça charcute, mais entre ces moments, c'est assez bavard et ça ne fait pas toujours avancer l'intrigue (qui en passant n'est pas bête du tout). C'est très sage aussi niveau cul. Sinon, ça regorge de répliques savoureuses, toutes les scènes avec Lohan sont trop , De Niro semble vraiment prendre plaisir à faire partie de cette déconnade, Tom Savini ne sert pas à grand-chose, Michelle Rodriguez est vraiment trop et c'est un plaisir de voir Seagal assis dans un autre fauteuil ! Pas un claquage de beignet hélas (hormis pour la première séquence), mais plutôt un
  14. Ekynox

    Machete - Robert Rodriguez (2010)

    C'est ce soir !!!! (enfin normalement)
  15. Et ben au final je ne sais pas trop si j'ai aimé. C'est adapté du roman de Burroughs qui lui-même relate un passage mouvementé de son adolescence. Il semblerait que le film soit assez fidèle au ton satirique qui se dégage du bouquin. J'ai trouvé ça assez exigeant par moment; l'humour n'y est jamais léger et les drames cumulent et finissent en tragédies. Chaque personnage vit son cri primal. Au départ, on rigole un peu de toute cette bande de freaks (beaucoup aimé le personnage du Dr Finch, psychanalyste aux méthodes douteuses) et peu à peu lorsqu'on les voit s'enfoncer et perdre leur santé mentale, ça devient glauque et plutôt inconfortable. Pour quelques éléments, j'ai pensé à Requiem for a dream, mais en version plus "light" tout de même. En plus d'être dense, c'est assez longuet, mais ça m'a fait vivre des trucs qui sont loin d'être parent à l'ennui. Avis mitigé donc, mais du bon cinéma. OTL3R8xqmGY
  16. The woman in black est un téléfilm anglais adaptaté d'un roman de Susan Hill. C'est le récit d'un homme travaillant pour une firme d'avocat qui doit se rendre dans un petit village afin d'une s'occuper d'une vieille maison dont la propriétaire est récemment décédée. Il sera progressivement amené à vivre des manifestations plutôt étrange en ces lieux... Considéré souvent comme un joyau méconnu, The woman in black est un ghost story tout ce qu'il y a de plus sincère et pleine de bonne volonté. On retrouve pas mal les codes du film gothique et ils sont utilisés avec soin. Si certaines scènes peuvent provoquer une légère angoisse (cette fameuse femme toute vêtue de noir qui apparaît et disparaît), d'autres auraient gagné en subtilité... Mais encore une fois l'effort est louable, on sent le désir de bien faire et on passe vraiment un bon moment dans cette petite campagne anglaise où le temps semble arrêté. À noter un remake prévu pour 2011 avec Daniel Radcliffe qui songe sans doute à redonner une direction à sa carrière et ce sera James Watkins (Eden Lake) qui sera aux commandes. Pas trouvé de trailer, mais une scénette sympa (pas vraiment de spoilers ici) qui donne le ton général du film. k1hun4jaY5g
  17. Un titre ridicule pour un film qui s'en sort assez honorablement. C'est bien filmé, la plupart des acteurs se débrouillent bien, mais à aucun moment on a l'impression de voir un truc produit au Québec. Et c'est bien ce que je repproche au cinéma québécois en général, cette manie de reprendre les tics de nos voisins du Sud. Le film s'est apparemment passé de subventions gouvernementales (ce qui est plutôt rare), mais en revanche on a droit à des placements produits parsemés agressivement ici et là tout au long du métrage. Mais bon, "À vos marques, party" est un des rare et peut-être le seul teen movie jamais produit au Québec (enfin non, puisqu'il y a une suite). C'est loin d'être mauvais, c'est même sympa, mais ça manque solidement de personnalité et de trucs déviants. On se serait également bien passé du soundtrack punk-ballade-guimauve-anglophone qui appuie les scènes moindrement émotionnelles. uaRP7CRcAsg
  18. C'est vrai que ça semble très très bien ce Doll Underground J'ai toujours eu une sensibilité pour le porno assez dark, mais à condition que le tout soit esthétique et glauque dans le bon sens (c'est-à-dire, que ça reste du "jeu" pas un truc où on a l'impression comme Stephane l'a dit, que l'actrice ne devrait pas être là). Sinon, je crois que ce type d'industrie attire une grande diversité de filles et d'enjeux. Oui, il y a sûrement celles dont la sexualité ne veut plus rien dire parce que trop abusée, mais aussi celles qui ont un côté histrionique et dont le besoin d'attention et de "célébrité" peut être comblé via ce métier. D'autres qui ont l'air d'être de véritables femmes d'affaires puisqu'elles semblent savoir exactement ce qu'elle font et que tout semble ultra calculé comme Sasha Gray, Melissa Lauren, Clara Morgane ou Katsumi. Je lisais le bouquin de Mélodie Nelson, une ex-escorte québécoise qui raconte son expérience du métier. Elle dit qu'elle n'a jamais été violée ou abusée, qu'elle a un passé familial "normal", qu'elle faisait ses études universitaires. Comme elle aime le sexe et qu'elle avait envie de faire beaucoup d'argent, elle est devenue escorte pendant quelques années. Pour elle, elle se sentait vraiment épanouie dans ce travail... Alors je ne sais pas si la porno amène inévitablement des dommages à long terme sur les actrices, mais c'est clair qu'exercer un tel métier peut entraîner des conséquences qui perturbent pas mal de sphères de vie (familiale, amoureuse, santé physique juste pour nommer ceux-là) et ça ne doit pas être facile à gérer à tous les jours.
  19. Bien que j'apprécie la thématique maison hanté dans le cinéma fantastique, les films qui m'ont véritablement donné un malaise sont plutôt rares. The Changeling par contre, a vraiment très bien fonctionné avec moi Bon alors c'est tout simple, on suit le parcours d'un veuf qui décide de s'installer dans une vieille maison qui, surprise, renferme quelques étrangetés. Tout est une question d'atmosphère; le cinéaste ne cherche pas à multiplier les effets chocs, le film est peu bavard, les mouvements de caméras sont doux, on pourrait se laisser emporter par l'ennui, mais...Il y a toujours un petit quelque chose qui devient "creepy" et ce surtout dans les effets les plus simples. Le film de maison hanté où il n'y a pas de gamins à protéger, une hystérique à sauver; rien qu'un protagoniste observant l'étrangeté des lieux et exprimant silencieusement sa peur... Également le film qui sait mettre en valeur les fauteuils roulants. Trailer: 3jZDq8sK6a8
  20. Oué bon, j'aurais aimé l'apprécié celui-là, mais je ne me suis vraiment pas rentré dans le trip. Et pourtant tout était là. Je ne sais pas...J'avais comme l'impression que Stallone avait tous les outils nécessaires pour faire un film qui allait vraiment défoncer, mais que finalement, c'est un peu l'éléphant qui accouche d'une souris. C'est sympa un combat entre Li et Lundgren, mais encore faudrait t-il qu'on y voit quelque chose. C'est sympa cette confrontation finale non-stop avec toutes ces têtes qu'on aime bien, mais ce qu'on y voit est tellement cut, tellement furtif avec plein de trucs qui se déroule en même temps que finalement ça devient une sorte de bouillie où on voit plus grand-chose. C'est peut-être qu'à force de vouloir en mettre plein la gueule, je décroche. Il me semble que Rambo 4 était plus "propre" que ça (je ne l'ai vu qu'une fois et au cinoche alors je déraille peut-être). C'est certain qu'il y a deux-trois scènes qui poutre, quelques one-liner bien placées et qui font plaisir, mais au-delà de ça, ça m'a laissé plutôt indifférent et ça me rend tout triste finalement
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