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The Transformers : the movie - Nelson Shin - 1986


kevo42

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Robots in disguise !

 

More than meets the eyes !

 

 

Je n'ai pas trouvé de topic sur ce film, donc je copie colle ici mon avis que je viens de poster sur le forum de nanarland.

 

Affiches :

 

 

 

 

Bande-annonce :

 

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"The ultimate rock'n'roll experience"

 

 

 

Le test par le angry video game nerd, qui résumé très bien ce qu'est le film, et qui fait mieux que je ne pourrai jamais faire (quel talent !)

 

http://www.cinemassacre.com/2007/06/09/transformers-1986/

 

Mon avis :

 

Que rajouter après ce que dit le nerd ? Pas forcément grand chose, mais pour ceux qui ne parlent pas anglais, je vais quand même donner mon avis.

 

Bon, bah, c'est monstrueux. Rien ne peut préparer au choc sinesthésique que représente ce film. Tous les sens sont mis en éveil par ce film merveilleux :

 

La vue bien sûr, avec ce déluge de design robot fluo dégénéré des années 80 :

 

 

Des robots moustachus !

 

 

Megatron se transforme en Galvatron dans un déluge de lasers, de paillettes, et d'images de synthèse en fil de fer

 

 

Un poulpe robot pour faire plaisir à Nicklezob !

 

 

Eric Idle en robot moustachu façon fu manchu qui parle n'importe comment : grandiose !

 

 

L'ouïe :

 

Des voix célèbres qui font des caméos : Orson Welles qui double le mega-méchant dévoreur de galaxie façon Galactus, la voix renforcée par moult effets : what the fuck ! Mais aussi Leonard Nimoy qui double Galvatron, et donc Eric Idle.

Pour ceux qui critiquent les robots boulets de transformers 2 de Michael Bay, sachez qu'ici les transformers passent leur temps à jacasser et à raconter des conneries : les destructicons passent leur temps à se chamailler, il y a un transformer qui parle super vite, un transformer microscope (c'est d'un pratique) qui parle en charabia scientifique, et en plus, il y a un petit gosse en exosquelette.

 

Sans parler des dinobots, qui assurent le show d'une force !

 

Mais l'énorme choc de ce film, c'est la bande son, constituée d'un flot constant et ininterrompu de ce qui se fait de plus cheesy et spandex en matière de prog-rock et de heavy-fm ! Des solos de synthès doublés par des grattes, à rendre jaloux Dream theater, vous en voulez, vous en aurez. Des chansons composées par les plus grands seconds couteaux du heavy glam faisant des chorégraphies de véritables clips, il y en a des tas ! Et il y a même une baston sur dare to be stupid de Weird Al Yankovic (un morceau mortel, on dirait du Devo !), qui se termine en danse de dinobots !

 

Évoquons quelques noms ici :

 

Vince DiCola, compositeur de la bande-son : je t'aime d'amour !

 

Le clip de the touch de Stan Bush :

 

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Instruments of destruction de N.R.G.

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Dare de Vince Dicola et Stan Bush en live !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

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Bon, j'arrête, mais vous avez compris.

 

Le maître parle de son chef d'oeuvre :

 

sjnmQoY8oo8&feature=related

 

 

 

 

Le goût :

 

 

Mais transformers, ce n'est pas que le son et l'image, mais c'est aussi le goût du métal et du sang robotique. Car autant le dire, Transformers, est une méga boucherie cosmique. Je n'ai pas vu le dessin animé de Rambo, mais pour ce que j'en ai compris, Transformers est au même niveau, sauf qu'au lieu d'un soldat du viet-nam, certes invincible, on a des robots géants.

 

Dès le début, on a une planète robot qui en mange une autre, rappelant le final d'Akira, en moins épique, ok, mais c'est que le début. Il y a des bastons tout le temps, ça ne s'arrête jamais, mais vraiment jamais. Tout le monde crève, même parmi les héros c'est ultra brutal, les héros vont de planète en planète où ils sont confrontés à des civilisations bizarres (notamment une où tout le monde est condamné à mort) juste le temps de mettre la race à tout le monde et de se casser. C'est monstrueux.

 

Le vrai héros du film, c'est Hot Rod, et au début, on est forcément déçu de ça, mais à la fin, quand il dégage le pouvoir de la matrix (yeah !), il devient plus grand, et peut se transformer en camion avec des flammes : wahooooooooooooo !.

 

Le toucher :

 

Avec ce film on touche le génie du doigt, tant tout est intense ! Je conseille ce film à tout le monde, enfin, peut-être pas à tout le monde, mais si vous avez toujours regretté le manque de robots dans les films de Michael Bay, et si comme Mickey Rourke dans the wrestler, vous regrettez les années 80, ce film est pour vous.

 

L'odorat :

 

Car ce film ne sent pas du tout le navet, mais le pur film.

 

 

 

 

Ma conclusion :

 

Ce film est la raison pour laquelle le mot AWESOME a été crée !

 

MICHAEL, JE VEUX DES DINOBOTS DANS TRANSFORMERS 3

 

 

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