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Mon voisin le tueur - Jonathan Lynn (1999)


Dan

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Synopsis allociné :

Nicholas "Oz" Oseransky est un paisible dentiste de Montréal, dont la vie a tourné au cauchemar. Endetté, coincé entre une épouse acariatre, Sophie, et une belle-mère guere plus avenante, il est prêt a tout pour recouvrer la liberté. Oz manque de s'evanouir en decouvrant que son nouveau voisin n'est autre que Jimmy Tudeski, dit Jimmy la Tulipe, l'ancien éxécuteur du gang Gogolack, libéré pour avoir balancé son chef a la police. Sophie oblige son mari a aller dénoncer Tudeski a Janni Gogolack. Celui-ci tient en otage la femme du tueur, dont Oz tombe amoureux.

 

 

Alors là, clairement bien aimé, très chouette comédie qui passe bien, même un samedi soir après avoir dégusté Django au cinéma. Je ne parle par contre pas non plus de claquage de beignet vu que le synopsis m'avait au départ fait penser aux frères Cohen sans que ça en ait la saveur ni le talent. Pourtant, on passe un très chouette moment grâce à :

- un casting bien foutu : Perry convaincant et très drôle, Bruce Willis bien sûr, Duncan qui en impose bien et Arquette bien infernale avec son accent québécois (et pourtant, moi, l'accent québécois chez une femme, ça m'excite vraiment )

- Les jambes interminables de Natasha Henstridge ( ) et les très jolis seins d'Amanda Peet ( )

- Des gags qui fonctionnent bien, un humour et une bonne humeur communicatifs

- Suffisamment d'intrigue, de personnages et un bon sens de la narration pour ne pas s'emmerder une minute.

 

Par contre, peur de m'attaquer au 2.

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Je m'en souviens pas des masses, mais j'avais trouvé que c'était une petite merde un peu prétentieuse qui se la jouait faussement noire, avec pour unique but de mettre en avant Matthew Perry, qui était plus ou moins bankable à l'époque. ce qui n'est plus le cas aujourd'hui !

Le casting est plutôt cool sinon, mais bon de ce que je me souviens ils livraient le minimum syndical...

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Un malheureux concours de circonstance permettant réunir à l'écran un Matthew Perry en pleine gloire post-Friends et un Bruce Willis qui entre deux Shyamalan tirait ses dernières cartouches avant la pente descendante.

 

Depuis le premier a disparu dans une faille spatio-temporelle (et retrospectivement de toute la troupe, c'est Jennifer Aninston qui s'en est sortie le mieux) et le second est en come-back perpetuel.

 

Le film ? Bof quand même. Perry nous fait son numéro d'ahuri à la Chandler (ha tiens ?), Willis cabotine tranquillement, mais ça vole pas loin.

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Un malheureux concours de circonstance permettant réunir à l'écran un Matthew Perry en pleine gloire post-Friends et un Bruce Willis qui entre deux Shyamalan tirait ses dernières cartouches avant la pente descendante.

 

Depuis le premier a disparu dans une faille spatio-temporelle (et retrospectivement de toute la troupe, c'est Jennifer Aninston qui s'en est sortie le mieux) et le second est en come-back perpetuel.

 

Le film ? Bof quand même. Perry nous fait son numéro d'ahuri à la Chandler (ha tiens ?), Willis cabotine tranquillement, mais ça vole pas loin.

 

Il fait une série plutôt sympatoche, Go On, sur un commentateur sportif dépressif... C'est pas mal, ça se regarde en bouffant.

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