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47 Ronins (Carl Erik Rinsch - 2013)


Nice Panda

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Je croyais qu'il y avait déjà un sujet mais peut-être n'existait-il que dans ma tête. Bref...

 

Premier film de Carl Erik Rinsch, gendre de Ridley Scott et dont il fut, un temps, question qu'il réalise le préquel de Alien.

A défaut, son premier essai est donc le présent : dores et déjà passé au rayon des grandes catastrophes hollywoodiennes pour avoir explosé son budget et son planning de tournage - à tel point qu'on douta même que le film soit un jour terminé.

 

Ce qui semble pourtant être le cas au vu du trailer aujourd'hui dévoilé : lequel promet un spectacle généreux et montre que le cinéaste a hérité de son beau-père du goût des belles images.

Moi, je dis :

 

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  • 5 months later...

4DX très dispensable mais le film est sympa. Un manga live haut en couleur à la mise en scène posée (pas de shaky-chiasse ni de musique techno-metal). Par contre niveau développement des personnages, c'est pas trop ça (les 47 Ronins pourraient être 12, ça ne changerait rien, il y en a 1 ou 2 qui sortent du lot et encore). Du coup, quand bien même c'est très joli et agréable à suivre, j'en suis sorti avec le sentiment d'un film inachevé (je comprends mieux maintenant vu les problèmes de tournage évoqués par Nice Panda).

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  • 2 months later...

Si le résultat tient effectivement du "manga live haut en couleur" évoqué plus haut par NickLezob, on peut s'interroger sur l'existence même d'un tel film qui, un peu comme John Carter il y a quelques années, ne semble jamais vraiment savoir quelle direction vraiment emprunter, quitte à régulièrement sortir de la route.

 

A la base, une histoire tout ce qu'il y a de classique de vengeance et d'honneur perdu mais régulièrement torpillée d'instants WTF en faisant intervenir magie, sorcière et dragons (sans que ce soit vraiment expliqué. )...

Un Keanu Reeves mis en avant mais, au final, pas forcément lead character...

Un casting composé quasi-exclusivement d'acteurs japonais mais qui parlent tous un anglais hésitant...

Un ton qui oscille entre le trop sérieux et le n'importe quoi - comme si les concepteurs avaient jusqu'au bout hésité entre Ran et Pirates des Caraïbes...

Sans compter qu'on sent bien par endroits comme le montage a du être trafiqué...

 

Ce qui n'empêche pas d'y prendre un certain plaisir, d'autant que l'emballage plastique de l'ensemble est somptueux et que je suis curieux d'à nouveau voir Rinsch à l'oeuvre.

Si le bide cosmique du présent titre lui permet de, malgré tout, récidiver...

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  • 2 weeks later...

Ça a clairement le cul entre deux chaises et je suis surtout très pas content que la campagne marketing promettant des streumons et des personnages déglingués (le mec tatoué, l'ogre, la sorcière,...) se soit bien foutu de notre gueule. Si la sorcière a un rôle important, les autres se limitent pour la plupart à de la figuration. Et parce que je suis un gros naïf, j'avais espéré un peu plus de brutalité et d'hémoglobine dans les combats. Ceux-ci sont au final totalement édulcoré et pas une goutte de sang ne viendra tacher les costumes. Sinon c'est effectivement très beau à regarder.

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