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Dream Demon - Harley Cockliss (1988)


Nicolas

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Diana, dans son sommeil, rêve qu'elle décapite Oliver, son futur époux. Un jour, elle rencontre Jenny, une punk délurée, et apprend que la jeune fille a vécu dans la maison où on lieu ses cauchemars...

 

Responsable d'un MALONE assez brutal avec Burt Reynolds (co-scénarisé par Christopher Frank... l'année des méduses! lol) Cokeliss signe un B déroutant avec ce DREAM DEMON démarquage dans sa thématique d'un évident succès récent des années 80 et de REPULSION. Il s'amuse à brouiller rêve et réalité avec une certaines réussite.

La punk jouée par Kathleen Willhoite (vu dans tous pleins de trucs, mais surtout LA LOI DE MURPHY aux côtés de Bronson) aide à s'intéresser aux tourments de la pauvre Jemma Redgrave, jeune fille torturée à la cinégénie discutable. Le film perds habilement pieds avec le rationnel laissant une sensation d'égarement assez plaisante.

Pas de DVD!

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Une jolie VHS Pal de chez Palace Video en version Widescreen.

 

Beaucoup aimé ce film nimbé d'aller-retour dans l'au-delà, l'autre côté du miroir, sorte d'Alice version adulte. Visuel très soigné, qualsues transgressions (une très belle scène de mariage sanglant en pleine église). Atmosphère délétère, emprunte d'Edgar Allan Poe (cf le plan final sur la statue du cimétière).

Kathleen Wilhoite, une actrice à la présence incroyable (elle sauvait pratiquement à elle seule Murphy's law avec sa gouaille) forem un duo venu d'ailleurs avec la douce Jemma Redgrave, qui me faisait penser à une Jenny Wright à l'anglaise.

 

J'adore la musique du film, très étrange.

 

Ps : C'est Cockliss et pas Cokeliss. les amateurs de poudre qui va toute suele dans la narine auront sursauté pour rien. Ceux de bite sur toile cirée aussi, ceci dit.

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Ps : C'est Cockliss et pas Cokeliss. les amateurs de poudre qui va toute suele dans la narine auront sursauté pour rien. Ceux de bite sur toile cirée aussi, ceci dit.

 

Je l'avais écrit comme cela spontanément mais après avoir branlé sa fiche IMDB me suit rendu compte qu'il apparaissait sous COKELISS.

J'ai rectifié mais apparemment selon les films, son nom diffère quelque peu.

Enfin Cock et Coke ne sont jamais très éloignés!

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  • 2 years later...

Un bien beau petit film, mené par un duo féminin particulièrement attachant et des scènes de rêves combinant éclats horrifiques tendances (tête décapitée d'un revers de main, oreille arrachée, mur qui saigne...) avec des idées plus poétiques (la traversée du miroir en l'occurrence).

Le rêve s'invite dans la réalité, à tel point que le glissement vers l'autre monde se fait naturellement, brouillant davantage la frontière en réel et imaginaire.

Timothy Spall fait son gros porc vicelard comme d'habitude, et son comparse a des faux airs d'Englund...pour le reste, Dream Demon se démarque assez bien des Freddy, et mériterait amplement de faire un tour sur galette numérique.

 

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  • 4 years later...
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