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Chrysalis - Julien Leclercq, 2007


Kerozene

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Julien Leclercq, un mec qui a tourné TRANSIT - un court avec Pierre Richard, tourn CHRYSALIS, un polar futuriste avec Albert Dupontel, Marie Guillard, Marthe Keller, Tchéky Karyo, Claude Perron...

 

Synopsis:

 

Parce qu'il s'agit de l'assassin de sa femme, David Hoffmann, lieutenant à la police européenne, accepte de reprendre du service pour traquer un dangereux trafiquant soupçonné d'un meurtre odieux. Une enquête qui le mènera vers une clinique à la pointe de la technologie, dirigée d'une main de fer par le professeur Brügen.

Quand la vérité se loge au coeur du souvenir, la mémoire se révèle un bien précieux, objet de toutes les convoitises. Pourtant, certains souvenirs ne s'effacent jamais...

 

Sortie prévue le 17 octobre 2007

 

 

 

Le site officiel : http://www.chrysalis-lefilm.com/

 

Photos sur le site Gaumont:

 

http://www.gaumont.fr/films/chrysalis/index.html

Modifié par Invité
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Ah merde, n'attends pas: fous leur un procès au derche dès maintenant

Ouais, tu veux être mon avocat?

Non ce qui me fait le plus tiquer, c'est la phrase "Quand la vérité se loge au coeur du souvenir, la mémoire se révèle un bien précieux, objet de toutes les convoitises"

Mon scénar parlait d'une femme flic qui s'est fait implanter les souvenirs d'un tueur membre d'un groupe de crime organisé, tueur qui refuse de parler et qui a tenté plusieurs fois de se suicider. En utilisant cette méthode expérimentale, la police compte démanteler la bande assez facilement. Le hic c'est que la femme flic commence à confondre les souvenirs implantés avec ses propres souvenirs. Elle croit avoir tué tout ces gens, panique et s'enfuit. Elle erre dans les bas-fonds de la ville avec aux trousses, la police qui veut la récupérer et le gang qui veut la liquider.

 

M'enfin d'un autre côté, des films sur la manipulation de la mémoire, il y en a eu un paquet. Je n'ai pas le monopole du sujet.

Autre anecdote amusante, à l'époque, j'avais imaginé un des personnages principaux interpretté par Kario. Je me suis servi de lui comme base visuelle pour développer mon personnage.

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Ce qu'en dit Dupontel sur son blog

 

Actuellement, je tourne un film de SF mis en scène par un jeune metteur en scène de 26 ans (Julien Leclercq) et qui s'appelle Chrysalis. On y retrouve moult grands acteurs dont l'étonnante Marthe Keller, immense actrice, dont j'étais dingue quand j'étais môme (la demoiselle d'Avignon...) Le fllm est là encore très original et on verra bien pour le résultat mais je m'amuse bien car c'est un film très physique où je n'ai pas à réfléchir ce qui à la réflexion est ce qui me fatigue le plus.

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  • 2 months later...
  • 5 months later...
  • 4 weeks later...
  • 1 month later...

Arf, nous voilà face à une sorte de MINORITY REPORT (l'ambiance du film, les décors, le design général du film, on y retrouve même de la publicité "déguisée" pour Saint Gobain, DELL) à la sauce EUROPA CORP (des vilains venant des pays de l'est, du sport de combat, une mise en scène transparente malgré pas mal d'effeorts et de bonnes idées).

 

En rentrant dans la salle jétais vraiment parti pour donner sa chance à ce film, mais dès la première scène /petit spoiler/ (deux femmes parlent calmement dans une voiture, je me suis mis à attendre le moment où une voiture allait les percuter sur le côté)... Qu'est-ce qui finit par se passer au bout de 2 minutes ?/fin/.

 

Le film se déploit ensuite assez énigmatiquement durant les 10 minutes suivantes, à travers des scènes qui ne raccordent pas bien entre elles, et dont on sait qu'elles vont prendre sens au fur et à mesure.

 

Pourtant, malgré cet effort pour dilater le temps, brouiller les pistes, on commence à faire malgré soi des suppositions sur la suite des événements. Evidemment, le scénario qu'on s'est superficiellement bricolé dans la tête prend forme sous nos yeux et se révèle ÊTRE le scénario du film (on a deviné les liens qui vont unir les personnages, leurs secrêts, la façon dont ils vont réagir ou être utilisés, la façon dont les événements vont s'imbriquer entre eux).

 

On passe donc le reste de la séance à s'ennuyer ferme, à espérer que l'histoire déraille un peu. Evidemment, jusqu'à l'image finale, ça n'arrivera quasiment pas.

Bref, une séance qui m'a rendu passablement triste. Triste de voir que malgé des efforts notables (certains décors sont vraiment mortels, cette vision du "Futur à la française" accouche parfois de bonnes choses), l'écriture du film est baclée, les seconds couteaux sont à côté de la plaque (ce personnage ridicule du drogué, pitié, n'en jetez plus, idem pour le gros flic de la DST), et la mise en scène fait ce qu'elle peux pour dynamiser une histoire ennuyeuse à mourir.

Seul Dupontel assure un minimum (même si il joue "du Dupontel" : le mec ultra calme, toujours prêt à exploser d'une seconde à l'autre).

 

Bref, bilan très négatif.

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  • 1 year later...
  • 8 months later...

.... la vache, je ne vais pas répéter ce qu'a écrit Black Cat Bone.... Mais qu'est-ce que je me suis emmerdé Que de dialogues ronflants, que d'acteurs insipides.... mais jolie photo et des bastons pas trop mal foutues (où pour une fois, un pain dans la gueule ne laisse pas le mec qui le reçoit indifférent). Ceci dit, le Paris du futur est très mal retranscrit, il se limite à deux intérieurs et deux bagnoles (renault) qui font pfuuuiiiit et puis basta. Pas glop.

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