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Horror hospital - Antony Balch - 1973


Basculo Cui Cui

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Welcome to Brittlehurst Manor, a "health resort" where young people are cured of all their hang-ups in one stroke. One stroke, that is, of Dr. Storm's scalpel. You see Doc Storm, a crippled demented genius in a wheelchair, has a laboratory where he performs hideous and graphic brain surgery on his young patients - making them cooperative, brainless zombies.

 

With the help of Frederick the dwarf, the "Bike Boys," and Doc Storm's infamous decapitating limousine, the patients are guaranteed all the "rest" they will ever need.

 

 

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  • 2 weeks later...

Je me disais bien que le nom d'Anthony Balch me disait quelque chose, il a relancé la carrière de Mocky après l'échec de SNOBS. Je cite le livre de Mocky CETTE FOIS JE FLINCUE:

 

... Je reste un an sans travailler.

Le salut vient d'outre-Manche. Le film est acheté par Anthony Balch, un esthète fou à qui les Anglais doivent aussi la sortie de FREAKS de Tod Browning interdit en Angleterre jusqu'en 1962, et qui réalisera en 1973 un curieux film fantastique HORROR HOSPITAL (LA GRIFFE DE FRANKENSTEIN). Il me téléphone: "Je veux sortir le film à Londres " (ndlr SNOBS). Je lui vends 10000 livres sterling. Le film passe dans un petit cinéma. le Paris-Pullmann, dans un quartier snob de Londres. Il m'invite à venir le présenter. Le film fait un tabac.

 

Le personnage de Balch, si l'on réfère à ce qu'il a fait pour la diffusion d'oeuvres cinématographiques, a droit à toute l'indulgence possible pour ce film.

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  • 5 years later...

Sacrée dinguerie que ce "Horror Hospital", c'est totalement décalé et parfois mal branlé, mais c'est surtout complètement wtf et carrément fascinant avec un héros hippie qui n'est pas sans rappeler Malcolm McDowell dans "Orange Mécanique", un savant fou au secret pour le moins inattendu, des sbires terriblement gauches portant des casques de moto et des blousons de cuir, une armada de victimes lobotomisées qui font des pirouettes en sous-vêtements, un nain qui roule des yeux, une voiture trancheuse de têtes, une vieille tante acariâtre ancienne patronne de bordel maquillée à la truelle, du gore, un soupçon de nu... Bref, c'est très généreux mais la mise en scène hasardeuse de Balch, ses raccords foireux et ses acteurs à côté de la plaque font virer l'ambiance vers quelque chose de quasi surréaliste. Ca ne plaira pas à tout le monde, c'est certain, mais c'est clairement tout sauf chiant.

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