guncrazy

Vu hier soir Justice aux arènes de Nîmes et c'était comment dire... ABRASIF En première partie Busy P, DVNO et les 2 many dj's ont enchainés leur set de part et d'autres des arènes et après Justice pendant presque 2 heures... 4 heures non stop pour donner des insomnies à ces cons de Gardois, merci Justice "Audio, video, disco" est plus "tranquilou" que "Cross" mais en live ça envoi le bois WxxqSzaW6_w

[dmotion]xmn6ac[/dmotion]

Les accréditations sont gratuites mais réservées aux pros. Avec ça les projos sont gratuites. Si t'as pas d'accred, tu peux acheter des pass pour la quinzaine des réals et la semaine de la critique, ou faire le pied de grue devant le palais pour qu'on te file une place pour la sélection officielle. (Et ça marche parfois, je le sais j'en ai déjà donné plusieurs fois )

[vimeo]40304728[/vimeo]

Y'a une vf ou vostf sur le BLOURAI uk?

Un modèle de récit et de narration

NOR IS THE MAN

Après un passage triomphal par Lausanne au LUFF, Kangootomik monte à la capitale au PIFF (et moi avec )

Avé un prénom pareil, Bôtin Nathan

Regarde en bas de cette page http://www.homecinema-fr.com/forum/viewtopic.php?f=1349&t=29955113&start=0 Visiblement édition à éviter

J'arrive Jeudi

Trailer [vimeo]22644823[/vimeo] Et sur grand écran, il paraît que ça claque encore plus le beignet Vivement demain soir.

Reçu ce matin

Je pense que c'est une façon diplomatique pour dire qu'il a trouvé le film En tout cas, qu'elle donne envie de voir le film ou pas, on peut pas la rater la critique Aquarium n'avait eu droit qu'a un entrefilet, là c'est "in your face" Bon, sinon les critiques commencent à arriver sur le net et elles sont dans l'ensemble plutôt pas mal http://www.avoir-alire.com/article.php3?id_article=14600 http://www.clubdesmonstres.com/gazette/artus_oct_10.htm http://www.cinemafantastique.net/PREVIEW-DTV-Climax.html Et dans la presse, le républicain Lorrain parle d' et les années laser d' Et pis Mad Movies avait détesté NY 97 à sa sortie, alors le temps jouera peut être en ma faveur Au fait Tom, tu l'as vu pour finir NY97, petit mécréant

LE 5 OCTOBRE mais dès à présent sur http://www.artusfilms.com Sinon, à Benj pour la jaquette qui démoule.

GILLESETKAE POWAAAAAAAAAAAAAAAA

Lu sur le facebook du smihff A SERBIAN FILM est bannit de la France depuis ce matin. Le film a été jugé trop choquant et révoltant pour être diffusé à Sainte-Maxime ce soir à MINUIT. Une plainte pénale a été déposée à l'encontre du festival pour avoir "souhaité" diffuser ce film.

A SERBIAN FILM BANNIT DE LA FRANCE Ce matin est tombé l’information, A SERBIAN FILM, le film provoc’ a été interdit de diffuser à Sainte-Maxime. La projection du film initialement prévue à minuit a été annulée par la municipalité et le cinéma l’accueillant.

Kinatay, c'est pas moi, msieur

Ah lalala quel rabat-joie, j'ai l'impression d'entendre Cyril Mais oui, on ira au marché, mais oui on ira voir les zolis petit films de papa Boll et même Highlander 10 si ça peut vous faire plaisir. Par contre SWS, tu dois venir avec moi voir "la casa muda". Souviens toi PVC-1

Un homme d’âge mûr meurt dans la rue, laissant une femme et trois enfants sans ressources. La famille éprouvée doit assurer sa survie. Ils sont cannibales et ne mangent que de la chair humaine lors de sanglantes cérémonies rituelles… et les victimes ont toujours été fournies par le père. Maintenant qu’il est mort, qui va chasser ? Qui va les diriger ? Comment vont-ils calmer leur terrible faim ? La tâche échoit au fils aîné, Alfredo, un adolescent marginal qui semble loin d’accepter cette mission… Présenté à la quinzaine des réalisateurs 2010.

Pour tempérer la connotation intello de la Quinzaine des réalisateurs, le nouveau sélectionneur a tenu à préciser que pas moins de quatre films « de genre » faisaient partie du cru 2010. Un film de prison allemand (Picco, de Philip Koch), un film d'espionnage danois, dans la veine paranoïaque de Pakula (Everything will be fine, de Christoffer Boe), un film de canibalisme mexicain découvert au festival de Guadalaraja (Somos lo que hay, de Jorge Michel Grau) et un film d'épouvante uruguayen tourné en quatre jours et composé d'un seul plan-séquence de 72 minutes (La Casa Muda, de Gustavo Hernandez).