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FUCK YOU BILL MURRAY

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Tout ce qui a été posté par FUCK YOU BILL MURRAY

  1. MAUVAIS GENRE se tape Lautréamont MICHEL CIMENT se tape Robert Guédiguian pour la sortie de L'Armée Du Crime http://radiokilledthevideostar.wordpress.com/
  2. Le pire c'est que la victime ne réclame plus justice, à quoi ça sert de continuer à l'emmerder avec ça ? On réclame la justice pour qui dans ce cas ? C'est complètement absurde...
  3. Les SFX ? Bah, pourquoi pas, ça vaudra toujours mieux qu'un énième Polar casse burne.
  4. UP ! Je viens de voir ce film... Enfin... Que dire... La partie urbaine m'a totalement captivé, fasciné. C'est pas tant le travail sur l'image qui m'a sauté aux yeux mais le scénario hyper brut (on souffle pas une seconde sur la première demi heure, on ne passe trois plombes à nous expliquer la psychologie des personnages, on comprends qui est qui à travers ses actions qui en disent bien plus que 100 lignes de dialogue) et le boulot sur le son... vraiment hallucinant, ces longues plages de "drones" mixés à des chœurs type Akira qui renforcent l'impact des images parfois puissance 10 ! Bon sang, quelle vitalité, quelle rage ! Et cet acteur qui joue le flic, celui avec ses chicos pourries, quel présence, quel charisme ! Puis vient l'histoire qui tourne autour du père, vraiment dispensable mais surtout 10 fois trop explicative, qui coupe vraiment le film en deux. Puis la dernière partie en Thäilande... Pffff... Vraiment n'importe quoi... Ça m'a vraiment fait ragé parce que la première partie arrache tout, mais à force de vouloir emmener son histoire très loin, le film tombe dans une surenchère ridicule. La palme pour la scène de fin, à pleurer de nullité. Bref, un beau gâchis...
  5. Je crois que si le distributeur est un peu tiède avec le film, c'est parce que : /1/ Il n'y a pas d'intrigue dans ce film. On est plutôt dans le polaroïd cinématographique, le "film de portrait". Le seul moment où on a un semblant d'intrigue semble vouloir s'échapper , on retourne très vite vers le quotidien de ces trois gars. /2/ Le film semble être en lui-même une sorte de manifeste anti "Film de guerre Hollywoodien". Y'a qu'à voir avec quel délice . Idem pour ce désir de ne pas créer de "fil rouge" narratif, de se concentrer sur quelques jours clefs passés avec ces mecs à priori assez antipathiques. Quoiqu'il en soit, j'ai adoré ce film, même si il m'a un peu coupé l'herbe sous le pieds. J'ai aimé d'abord qu'on ne me fasse pas la morale ou qu'on ne me fasse pas manger un film de propagande sous prétexte de "divertissement" . Pas de "La guerre c'est mal", ou de "America : Fuck Yeah !". La guerre est là, c'est un fait. Ces hommes la font. Point barre. Pas de sentimentalisme mal placé, de romantisme autour de la fraternité guerrière, de violence gratuite, ni de "réalisme" un peu forcé (du genre image grise, caméra à l'épaule super abusé). Bref, Bigelow a trouvé une bonne forme pour raconter son histoire, jamais trop Hollywoodienne (mais quand même un peu : les ralentis - superbes - et l'utilisation de la musique) mais ni jamais son exact opposé. Bref, un superbe film, de beaux portraits d'hommes (y'avait qu'une femme pour rendre ces soldats aussi fragiles sans pour autant en faire des mauviettes), un objet pas franchement expérimental mais qui comporte son lot de risques et de travail sur la narration. BREF : ALLEZ LE VOIR !
  6. Ah bah ça c'est sûr, après le mini succès de Morse, tous les livres de John Ajvide Lindqvist adaptables vont finir par l'être ! Super initiative en tout cas ce site !
  7. De quoi vous vous plaignez ? Avec UP IN LYON ça va être la ZOMBIE PARADE toute l'année !
  8. Ah merde, je corrige ! Désolé, j'ai eu aussi des soucis de liens que je n'arrivais pas à activer... Weird ! Merci de me l'avoir signalé cher Tanzi
  9. Ajouté : MAUVAIS GENRE (19 septembre 2009) consacré au dessinateur Marc-Antoine Mathieu PROJECTION PRIVÉE (19 septembre 2009) MIuchel Ciment versus Cédric Kanh (pour la sortie de "Les Regrets") RÉPLIQUES (19 septembre 2009) LES AVATARS DU DROIT D’AUTEUR (19 09 2009) Et d'autres saloperies...
  10. J'ai le souvenir d'un montage parallèle à la Cuirassé Potemkine "pauvres jeunes / méchants flic qui vont charger" un brin pénible et vraiment très explicite idéologiquement sur le discours que tenait Richet à l'époque (il se revendiquait Marxiste au début des 90's, j'ignore si c'est encore le cas). Plutôt étrange de voir ces bonnes vieilles et si anciennes méthodes du "montage dialectique" crée par le cinéma de propagande soviétique. J'ai aussi le souvenir d'un plan risible de Virginie Ledoyen à la fin avec le drapeau rouge... Son but avec ce film était probablement de Marxiser les jeunes des cités. A le re-vision du film, ça ne laisse quasi aucun doutes. Faudrait revoir les interviews du bonhomme à cette époque là.
  11. J'espère que tu n'es pas cynique en disant ça. Ceci dit, je pense souvent à quelle aurait été la réaction de la France si on s'était pris un boeing dans la Tour Montparnasse (infernale). Aurais t-on pris ça comme une déclaration de guerre ? Franchement, ça m'ennuie toujours d'entendre dire que Cheney et Bush ont uniquement agis pour leur compte et celui de leurs amis. C'est vrai en partie, mais ce n'est vrai qu'en partie. C'est juste une partie du prisme que les européens veulent voir. Je pense qu'en Amérique il y a une majorité de gens qui sont content de ne plus dépendre de l'Arabie Saoudite pour le gazoil. Ça aura été au prix de millions de dollars, d'une guerre, de la mort de plein d'innocents, mais je crois qu'une majorité d'américains étaient d'accord avec ça. Je ne sais pas si c'est bien ou si c'est mal. Comme je te disais, c'est facile de leur jeter la pierre quand nous, français, nous sommes contentés de faire du business avec Moustache en se foutant bien du sort des Irakiens opposants à Saddam Hussein qui ont étés exécutés sommairement puis enterrés au fin fond du désert pendant 30 ans. Tiens, d'un coup la France se réveille et prends conscience des "pauvres innocents" irakiens ? Arrêtez. Quelle hypocrisie. Malgré toute la merde inhérente à chaque guerre, rendons au moins à César ce qui est à César : Ils ont rendus un semblant de liberté aux irakiens. Maintenant c'est à eux de décider de leur sort. Les États Unis ont toujours agit comme ça. Ils ont libérés l'Europe des nazis uniquement parce que ça contrecarrait leurs plans économiques, leur propre développement. En attendant ils nous ont libérés (et je crois que c'est une des raisons pour laquelle l'Europe hait tant les USA), ils nous aidés à reconstruire nos pays en faisant un max de business. C'est pas ce qu'ils sont en train de faire en Irak ? On dirait Cheney ? Pfff, j'en sais rien, j'essaie juste de comprendre, de me mettre à leur place, de comprendre, j'essaie d'arrêter de juger 5 minutes. Dans ce pays c'est devenu impossible de parler des États Unis sérieusement, c'est toujours pour entendre les mêmes mieux communs qui coupent court à toute discussion : c'est des imbéciles, ils ne savent pas placer la Pologne sur une carte (qui sais placer l'Arkansas et l'Alabama sur une carte des USA, franchement ?), ils sont manipulables, ils sont assoiffés de pétrole, etc. C'est sûr en Europe on est tellement mieux, avec nos politi-tocards ("ils" ont votés pour Bush ? Regardez le président qu'on a en France), notre constitution européenne dont personne ne veux, cette Europe des représentants de commerce qui ne ressemble à rien, qui n'a aucun projet civilisationnel, cette auto-flagellation constante, cette haine de ses propres origines. L'Europe croit que tout le monde l'envie, la France croit que tout le monde envie son état providence, mais aux yeux du reste du monde les gens n'ont pas une si bonne opinion de ce continent. Les plus radicaux se foutent ouvertement de notre gueule. Vivant à l'étranger, communiquant avec beaucoup d'étrangers, de toutes nationalités, je peux vous le dire, on ricane beaucoup plus qu'on nous admire. Et pourtant Dieu sait que je n'aime pas trop les américains. C'est pas de l'anti-américanisme primaire, j'ai juste eu pas mal d'amis (ou plutôt d'ex amis) américains, et je n'ai jamais aimé le type de relation que je pouvais avoir avec eux. Je n'aime pas vraiment leur façon d'être (je me sens beaucoup mieux dans un pays latino, les relations sont plus directes, plus chaleureuses). Malgré ça, j'arrive à saisir leur manière de cogiter, le pourquoi du comment de ces choses qui paraissent si inconcevables en Europe (le droit au port d'arme, etc.). J'essaie de comprendre, et ça me mène il est vrai vers une certaine empathie. Encore une fois, il faut aller "par delà le bien et le mal" (comme disait Carlos), arrêter de juger pour comprendre. Enfin, je ne vous fais pas la leçon, je sais bien aussi je crie contre le vent, l'incompréhension entre l'Europe et les USA en sont arrivées à son stade terminal... Je ne veux pas savoir ce que ça va donner à l'avenir... A vrai dire, à la fois ça m'effraie, et à la fois j'en ai plus rien à foutre, je suis parti de ce continent et c'est sans aucun regret. La seule chose qui me rattache encore à l'Europe, c'est ma langue. Et quelques amis et de la famille. Au delà de ça, il ne me reste plus grand chose à partager avec la France. Pardonnez moi si je comprends désormais mieux mes voisins américains que mon pays d'origine.
  12. Je ne dis pas naïf au point de penser que les USA sont des gentils qui se battent pour la paix et la justice avant tout, mais je préfère voir une Irak libérée et assujettie à son libérateur qu'une Irak sous le joug d'une petite merde comme Saddam Hussein. Au moins, pour une fois, les Irakiens ont presque la liberté de choisir leur avenir. En attendant, les USA cherchaient leur indépendance pétrolière et ils l'ont obtenus. Ils ont aussi mis un sacré coup de pieds dans la fourmilière al-quaido-talibanne, coup de pieds qui profitera très certainement à l'Europe, qui retardera ou évitera un paquets d'attentats, même si elle ne l'avouera jamais. Oui, je sais que l'ONU ce n'est pas l'Europe, mais ce sont avant tout les grands pays Européens qui prennent les grandes décisions. L'Europe n'a pas d'armée car l'Europe ne veux plus d'armée. L'Europe ne veux plus de guerre. Les pays Européens laissent les autres faire la guerre, laisse les autres s'entretuer, ça lui permet de garder les mains propres et de se poser comme modèle moral. Un beau modèle d'inaction, ouais ! Ce qui s'est passé dans les Balkans en est un parfait exemple. L'Europe a toujours été du côté des Américains ? Tu plaisantes ? Les anglais, oui. Pour le reste, la plupart des pays européens étaient hostiles à l'intervention en Afghanistan et en Irak.
  13. Nos chers cinéastes né-néo réalistes amateurs de plans fixes et d'images moches comme une carte postale de la Champagne-Ardennes feraient bien de jeter un oeil sur ce film. Parce qu'on raconte une histoire difficile, éprouvante, est-on forcé de faire du cinéma "social", austère et esthétiquement triste à crever ? La réponse est non. Le film n'en est pas pour autant un festival de belles images et de prouesses filmiques. Le style est même très sec, mais riche dans sa sécheresse. Il trouve le ton qu'il faut et la forme qu'il faut pour raconter cette histoire. L'image quasi juste. Pas mal de plans fixes et la longueurs de certains d'entre eux pourraient sembler un brin abusif, mais j'ai trouvé mortellement écris la discussion entre le prêtre et le prisonnier. Comment on passe du "small talk" au sujet sérieux, comment les éléments du "small talk" nourrissent la conversation en profondeur quand on aborde le sujet sérieux. Le tout sans dramatisation excessive ou froideur/recul inhérent parfois à ce genre de film à "sujet difficile" ou historique. Bref, vraiment impressionné par cette petite prouesse filmique.
  14. Harmony Korine au pays des Frères Dardennes, ça aurait pu donner un truc cool, mais le film est trop occupé à se donner des airs de futur film culte que de raconter quoi que ce soit d'un tant soit peu tangible. Complètement vain. Très mauvais souvenir pour ma part.
  15. Je crois que les États-Unis ont moins sur les mains en une guerre en Irak que la France en 30 ans d'amitié-commerciale avec Saddam Hussein ("mon ami de 30 ans", dixit Chirac) et de "laisser mourir" (les gouvernements successifs savaient très bien le sort que réservait Hussein à ses opposants, les massacres et les meurtres qu'il a commis pour rester au pouvoir, pourtant cette ordure a toujours été reçu avec tous les honneurs). Ah ça, en Europe, "on" ne risque pas d'avoir de se salir les mains, avec notre politique de "non-intervention" et nos "soldats de la paix". L'Europe donne tout le temps des leçons à l'Amérique, mais à mes yeux elle est toute aussi criminelle dans son inaction. Ceci dit, je serais curieux de voir comment régirait Obama face à une seconde attaque 11-09 style (dont on sait que quelques unes ont étés retardées, voir démantelées grâce au travail des services de renseignements Ricains). Ce qu'il ferait. Ce qu'il serait bien obligé de faire pour répondre aux attentes du peuple. Où il en serait avec ses discours de "L'Islam, religion de paix et d'amour". PS : VOUS ÊTES POUR MOI OU CONTRE MOI
  16. Mazette, quel film ! Je n'en avais jamais entendu trop parler jusqu'à ce qu'un dossier sur "le viol au cinéma" sur je ne sais plus quel site internet cite ce film. THE ENTITY raconte une histoire parait-il basée sur des faits réels, uns de ces histoires de parapsychologie les plus connus aux États-Unis : Celle de Carla, une MILF qui vit seule avec ses 3 enfants. Un soir, alors qu'elle est tranquillement installée chez elle, elle se fait violer par une entité invisible. Croyant devenir folle, elle se rends chez un psy qui veux forcément y voir une invention, une image, une projection de son subconscient. Seulement, chaque soir, elle rentre chez elle et se fait à nouveau violer. Quelle est donc cette entité ? Une projection de la peur des hommes de Carla ? La matérialisation de son désir de se faire posséder ? Un véritable fantôme ? Sur deux heures, à travers une mise en scène fonctionnelle mais très astucieuse, Furie nous propose un film très documenté sur l'histoire originelle tout en nous offrant un véritable film de cinéma (moi qui pensait que Furie était un gros tacheron, je révise mon jugement), doublé d'un très bon film d'horreur. Les acteurs y sont excellents (superbe Barbara Herschey), les scènes horrifique (pas de gore, pas de sang, juste une série de viols qui augmentent en intensité) scotchantes (Furie trouve moultes idées pour figurer un viol sans trop en montrer, mais surtout en parvenant à donner une présence à une entité invisible, en ayant surtout recours... à la musique), et l'ensemble très prenant (le film a beau durer deux heures, on ne les sent pas passer). Les grincheux diront que les entretiens avec le/les psy sont un peu longs, mais ils sont nécessaires à la découverte du personnage principal sur lequel repose quasiment tout le film, le spectateur étant invité au fil du film à se demander si Carla est une victime ou bien la génitrice de son malheur). Bref, un drôle de croisement entre L'Exorciste et Chromosome III, un bon petit film d'horreur comme on en faisait dans les années 70 (même si le film date de 1981).
  17. Il y a autant d'idéologie dans les discours d'Obama que dans les discours de Bush, sauf que c'est une toute autre idéologie, peut-être moins violente, plus "transparente" (du moins vue d'Europe). Enfin, de toutes façons dans 4 ans, on en parle plus, les Américains seront vaccinés aux démocrates, ils pourront revoter pour 10 ans de plus pour un gros cowboy pire que McCain, qui n'ira pas faire de courbette devant le roi d'Arabie Saoudite et qui n'ira pas raconter au monde entier que "Les USA sont un grand pays musulmans". Je ne sais pas si sa campagne a été messianique, mais lui crois vraiment être le messie en pensant qu'il peux dire des trucs comme ça sans se mettre une grosse majorité d'américains à dos... même les plus américains les plus progressistes n'en reviennent toujours pas). Dans 20 ans ils en rigoleront. Ils se souviendront du quinquennat Obama comme les français se souviennent du septennat de Giscard : En rigolant et en se demandant quand même à l'époque quelle mouche a bien pu les piquer.
  18. Moi je trouve qu'ils ont plutôt agis comme des gamins qui font un caprice en élisant ce type qui a eu très peu d'expérience de leadership (un mandat politique, c'est peu), qui a l'air très naïf et qui fait erreurs de débutants sur erreurs de débutants. En ce moment il retombe de très haut de la vague "publicitaire / messianique" qui l'a porté au pouvoir. Ce type sans Bush n'est finalement rien. Ce sont les 10 années de Bush, de guerre et de crise qui ont porté ce gars au pouvoir. Son arrivée au pouvoir est juste un concours de circonstance. Je suis persuadé que dans 50 ans tous les historiens sérieux parleront de l'élection d'Obama comme d'un caprice doublé d'un bon coup publicitaire. Après, c'est clair, les USA sont à l'avant poste de l'hystérie médiatique, des coups bas (ces bureaux de détectives payés pour trouver la faille dans la vie privée des candidats), des caricatures (et de l'auto-caricature qui l'accompagne), et à ce jeu là les républicains et les démocrates se valent. C'est un spectacle vraiment fascinant et fondamentalement pathétique.
  19. J'ai plutôt la sensation que c'est assez unique ce que propose le cinéma français de ce point de vue : Des films "de genre" mais qui n'assument pas tous ce qu'il y a de populaire qui vont avec le genre, qui cherchent sans arrêt une sorte de patine auteurisante, avec des mecs qui jactent trop, ou des mecs qui jactent pas. Là où un film anglais, américain ou asiatique aurait recherché l'efficacité, peut-être à travers une recherche plastique (je pense à Time and Tide ou les Bourne qui arrivent à parfaitement concilier les deux), les films d'espionnage français sont des successions de scènes sans arrêt désamorcées (comme si réussir une bonne scène d'action ou un bon suspens était quelque chose de sale). Toujours cette retenue, cette peur d'être pris pour un "vrai" film de genre, comme s'il s'agissait de faire des films avant tout pour les journalistes des Cahiers ou de Positif avant le public (j'ai aucun mépris pour ces mags ou leur démarche intellectuelle, je lis ces magazines, hein, je tenait tout de même à le signaler).
  20. J'ai déjà pas le temps de voir tous les films qui existent, alors les films qui n'existent pas ! (très bonne initiative, ceci dit)
  21. C'est de moins en moins sûr, vu qu'il essaie de faire passer cette réforme dans le dos du congrès. Le congrès c'est un vieil homme, il faut le ménager, il aime pas trop les jeunes loups qui tentent de passer au dessus son autorité. il est là pour empêcher que le président fasse n'importe quoi avec son mandat, et il ne va pas s'en priver. Obama j'ai l'impression qu'il est vraiment très naïf dans sa démarche, comme si personne ne lui avait dit comment ça se passait la division des pouvoirs aux États Unis. Déjà qu'il s'est pris l'État Major dans les dents quand il était question de la fermeture de Guantanamo et de l'Afghanistan, maintenant il se rend compte que le congrès le laissera pas faire non plus ce qu'Il veux... Être Messie c'est bien, mais faut pas oublier les apôtres qui ne perdent jamais une occasion de te chier dans les bottes ! En attendant, sa mère à poil sur internet ! http://serumdeliberte.blogspot.com/2009/02/photos-la-mere-d-obama-nue.html
  22. En même temps c'est pas non plus le châtiment, ça se laisse regarder, sans ennui mais aussi sans passion. C'est vraiment cette neutralité qui me fout en rogne. Je veux haïr ou adorer un film, mais je ne veux pas ressentir cet ennui poli. Je me sens plus vivant devant une pub Nokia.
  23. Je reviens sur ce que tu as dis il y a quelques jours, ce n'est pas tout à fait vrai. Obama ne se fait pas traiter de communiste parce qu'il veux "instaurer un système de sécu" (qui n'aurait de plus, RIEN à voir avec "notre" système de sécu), mais parce qu'il prône globalement plus d'intervention de l'état dans l'économie américaine. Un des principe politique et économique des États-Unis étant une intervention minimum de l'état dans la vie privée des gens et l'économie, un principe qui se trouve jusque dans la constitution, donc bien ancré dans la mentalité US, ça coince forcément. Ce n'est pas vraiment du communisme à proprement parler, mais aux yeux des ultra-libéraux, c'est une bel et bien une démarche socialiste qui n'entretient aucun rapports avec les bases sur lesquelles l'Amérique s'est construite (le libre arbitre, la libre entreprise, l'ultra-libéralisme, etc). De plus, faut aussi savoir que le droit au port d'arme a à voir avec la liberté des américains à prendre les armes, même contre leurs propres dirigeants, si ceux-ci outrepassent leurs fonctions. Aux États-Unis, la liberté individuelle et nationale est une valeur placée au dessus de tout. Au détriment de bien des choses, d'ailleurs. Personnellement je ne suis pas opposé à cette réforme du système de santé (et contrairement à ce qu'on croit, ce n'est pas toujours les plus pauvres qui souffrent de ces problèmes, mais les classes moyennes basses qui n'ont pas droit au x soins gratuits mais n'ayant pas les moyens de se payer une bonne assurance) le problème est qu'elle va se retrouver à la poubelle parce que les américains les plus conservateurs rejettent le personnage (ce qu'il représente, le parti qu'il représente, la façon dont il a été élu, le mec qui se cache derrière sa campagne, Georges Sorros) et sa politique en bloc (deux millions de manifestants ce week-end à Washington selon ABC).
  24. MAUVAIS GENRE FRANCE CULTURE ÉMISSION DIFFUSÉE LE 12 /09/2009 PRÉSENTÉE PAR FRANÇOIS ANGELIER Rentrée cinéma et DVD, ce soir, dans Mauvais Genres qui fera la part belle au polar et à l’espionnage avec “Le coup de l’escalier” de Robert Wise (1959) et “The offense” de Sidney Lumet(1973) (tout deux édités par Wild Side Video) et “Espion(s)” de Nicolas Saada (2008), une parution TF1 Video. En seconde partie d’émission, un entretien avec Julien Sévéon à propos de son ouvrage “Catégorie III, sexe, sang et politique à Hong-Kong” chez Bazaar éditions et un hommage à Sim signé Christophe Bier. (avec la collaboration de J.B. Thoret, P.Rouyer et C. Bier). http://radiokilledthevideostar.wordpress.com/
  25. J'arrive un peu après la tempête. Ça faisais longtemps que j'avais pas vu un film aussi bas du front et bas du slip, bête et méchant façon Hara Kiri à la sauce Troma. Globalement j'ai trouvé ça cool, des fois c'est bien emballé, des fois un peu baclé, parfois très très très drôle (toutes les scènes avec les islamistes, avec le nain), parfois vraiment pétard mouillé (l'amitié Bush/Osama, pitié / toutes les scènes avec les meufs, qui font vraiment de la figuration et qui ne montrent pas assez leurs nichons). Sinon, ça part dans tous les sens, ça n'épargne personne (même pas Uwe lui-même), et j'ai l'impression que ça va même un peu plus loin qu'un Troma de base. Bref, passé un bon moment, là où je m'attendais à en mater une demi heure avant de passer à autre chose. Ça donne envie de voir RAMPAGE du coup (mais pas trop les anciens - je ne connais que House Of The Dead, que je trouve vraiment minable).
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