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FUCK YOU BILL MURRAY

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Tout ce qui a été posté par FUCK YOU BILL MURRAY

  1. Inviter NORMAN SPINRAD, quelle bonne idée ! Pensez-y pour l'EF Lyon l'an prochain, le monsieur est de retour sur Paris, il est joignable, super sympa et assez disponible... Profitez tant qu'un des meilleurs écrivains de SF du XXème siècle est encore vivant ! La totale de Mario Mercier, ça aussi c'est une grande idée !!! Tiens, d'ailleurs, je viens d'accrtocher l'affiche italienne de LA PAPESSE dans mon salon y'a pas 5 mn. Grâce à l'EF Paris, je me suis souvenu que je l'avais, merci les gars !!
  2. UP ! L'ami BRAZO NEGRO vient de tirer une nouvelle sérigraphie, celle de NIGHT OF THE LIVING DEAD, illustrée par TANXXX (http://www.tanxx.com/, la fille qui a fait -entre autre- le storyboard de LA MEUTE de Franck Richard et qui a signé quelques BD très intéressantes ces derniers temps) L'ami BRAZO NEGRO ré-ouvre son shop dans quelques jours... L'affiche sera dispo à cette adresse : http://brazonegro.com/
  3. C'est sûr que vu les entrées en salle du projet Grindhouse, c'est ce public qu'il visent !
  4. Il parait qu'il y aura une version rabza qui sera diffusée dans les UGC de "périphéries".
  5. De toutes façons tu sais ce qu'il te dit MC Jean Gabin...
  6. Cinématographiquement ça m'a poliment ennuyé, et le fonds tout autant (la méchante civilisation qui rends les hommes fous contre la bonne nature, le mythe du bon sauvage, heureux dans sa brousse, le tout appuyé par des montages parallèles bien nunuches, n'en jetez plus...). Y'a bien quelques idées de montages, une bande-son vraiment chouette (cette espèce de comptine poétique qui revient tout le temps), mais le film est assez laid et platement filmé (arghhh ces zooms horribles). Je m'attendais à un trip façon séquences oniriques de Zabriskie Point, le lieu se prêtait quand même sérieusement à ce genre d'approche, pourtant tout est traité sur le mode réaliste/monotone. Je passe.
  7. Moi je vois un gars avec un fusil canon scié, ça veux pas dire qu'il va l'utiliser :mode mauvaise foi:
  8. tu leur as fait des sandwiches aussi? Ouais, Je me demande si au fond, le problème ne vient pas du fait que vous voulez à tout prix voir Los Bastardos comme un film de genre alors qu'à mes yeux il est beaucoup plus plus proche d'un "Frères Dardennes avec une scène choc". Si le film avait été signé par Los Hermanos Dardennes, ça n'aurait choqué personne qu'il "ne se passe rien", non?
  9. Je viens de me taper une petite séance de rattrapage de Vinyan que j'avais raté en salle à sa sortie. Bon, alors oui, le film est imparfait, parfois inabouti, inégal, mais putain, je préfère 100 fois voir ça que n'importe quel film d'horreur fait d'autoroutes narratives. J'ai parfois ressenti de la frustration face au deuxième tiers du film, un peu confus, ne proposant plus grand chose du point de vue narratif ou esthétique, mais rien que pour les fulgurances qui traversent ce film, ça valait le coups d'être vu. Du Weltz l'a dit, il a du réécrire une partie du film sur place en faisant face à des problèmes techniques sur le tournage, ceci expliquerait peut-être cela. Bon, on peux lui reprocher ce que l'on veux, le "Fabrice Du Weltz's Vinyan" un peu too much, certains de ses propos (moi je ne trouve pas le bonhomme prétentieux, loin de là, juste ambitieux, dans le bon sens du terme), mais on ne m'enlèvera pas de la tête que de tels films doivent exister, malgré leurs défauts, il faut que des types aussi couillus continuent de faire des films, coûte que coûte. J'ai pas mal lu d'interviews, d'articles, j'ai lu vos réactions sur le film, et bizarrement, personne n'a cité le poids du cinéma de Grandrieux sur Vinyan. C'est pourtant évident, non ? Noé, je ne vois pas, mais Grandrieux, y'a des moments où le cinéma plastique et sensitif du bonhomme se fait bien sentir. A la rigueur, j'ai trouvé Vinyan presque trop narratif. Je ne comprends pas trop les gens qui disent que c'est une expérience émotionnelle dans laquelle le spectateur se perds et le réalisateur s'est perdu. Jusqu'au bout, il y a un fil narratif qui relie le début à la fin, à aucun moment le film se perds dans une pure abstraction déconnectée du réel. Le film peux se lire comme une métaphore et comme un événement réel. Il y a aussi une séquence dont personne n'a parlé. La plus abstraite. Ma préférée, qui à mes yeux est le contrechamps intime, secret, mental des événements "réels" qui vont suivre : la scène d'intro, où on est plongé dans un magma d'images abstraites, de sons, comme si on rentrait dans la psyché chaotique et douloureuse des personnages. C'est comme si Du Weltz avait souhaité nous faire rentrer dans un monde de pures perceptions, comme si on passait quelques instants dans ce que le cerveau humain a de plus primitif, comme si il voulait nous connecter à l'inconscient de ses personnages, comme si il s'agissait de nous dire : A l'extérieur, ils vivent ça, mais à l'intérieur, ils vivent "ÇA". Comme un désir de mettre des images sur ce dont le cerveau humain conscient n'a même pas accès. Pour moi c'était donc un très bon point de départ. Après, j'ai donc naturellement trouvé que le film était plus narratif que ce que je croyais. Je pensais que le reste du film allait être encore plus radical, plus proche d'un Grandrieux, qui, lui, laisse toujours l'histoire aller vers ses spectateurs, sans jamais rien expliquer, ce qui n'est pas le cas de Vinyan. Peut-être parce qu'on m'en avait beaucoup parlé comme d'une pure expérience formelle et sensitive. Ce qui n'est qu'une partie du film. Bref, je serais ravi de revoir ce film et de voir les prochains films du gonze (même si ça doit être des films de commande). Je ne crierais pas au génie, mais je salue les efforts de ce type couillu et bourré de talent.
  10. Ouais, en même temps pourquoi la "psychologie", les "raisons" devraient être traduites par quelque chose à l'écran ? Pourquoi devraient-elles être mises à jour ? Pourquoi devrait-il y en avoir une, deux, cinq, qu'elles soient pointées du doigt par le metteur en scène ? Moi je m'en tape qu'on me donne une raison, un truc à mordiller, c'est le parcours qui est intéressant, pas forcément les justifications. C'est au spectateur de faire ce travail. Moi j'aime ça, c'est tout le contraire de ce cinéma "social" à l'européenne où on va t'expliquer pourquoi ces pauvres diables en sont arrivés là, que c'est la faute à l'économie, aux Américains (oui, c'est probablement la faute à l'économie et aux américains, mais ces raisons ne sont que la pointe de l'iceberg, et le film ne prétends ni te montrer la pointe, ni l'iceberg dans son entier, il construit juste un film basé sur ce qu'un film peut-être en mesure de montrer sur un tel sujet, avec ses limites, avec beaucoup de modestie). Après, je trouve que ces personnages sont très très loin d'être caricaturaux. J'ai passé mes deux derniers mois avec des ouvriers Mexicains (me demandez pas pourquoi, ahaha), j'ai été confronté à des type qui étaient bien plus caricaturaux que ces personnages de celluloïd. Je trouve qu'Escalante a justement réussi à sortir de l'idée habituelle qu'on se fait de ces gars (jamais on ne les vois flemmarder, jamais on ne les voit boire, "il ne fait jamais trop chaud pour travailler"). C'est à truc à mettre sur son compte. Bon, après je comprends que ce film puisse être hermétique à cette démarche cinématographique ascétique. Personnellement je ne l'ai pas découvert en festival, je l'ai même vu dans des conditions pas super idéales, ça n'empêche pas que le film a eu un gros effet sur moi.
  11. Parait que c'est Michel Audiard qui a écris les dialogues avant sa mort.
  12. Si tu t'arrêtes au milieu du film pour poster des messages sur un forum, je ne vois vraiment pas l'intérêt de regarder un tel film... Pourquoi pas se taper un Tarkovski lors d'une soirée bières-pizza avec des potes ? Y'a des films qui demandent des efforts, mais aussi certaines conditions de visionnage (Grandrieux l'avait bien compris quand il donnait des indications de visionnage de son film quand le DVD de La Vie Nouvelle est sorti), sinon il y a de grandes chances que vous passiez à côté (d'accord, on peux aussi passer à côté en le regardant dans de bonnes conditions, mais c'est autre chose). J'avoue ne pas comprendre votre concept du "truc qui se passe". Il se passe des milliers de trucs dans ce film, suffit d'ouvrir les yeux. Pas besoin d'être un sans-papier Mexicain pour ressentir la violence du quotidien de ces mecs. Pas besoin d'être une mère célibataire pour comprendre le désespoir qui envahit cette bonne femme. Pour moi un mec qui appuie sur une gâchette c'est pas "quelque chose qui se passe", c'est le résultat d'une heure et demi de scènes que tu vient de voir avant. L'acte n'a aucun sens si "tout ça" ne s'est pas passé avant.
  13. C'est quelle langue ça ? Je ne suis pas d'accord, si Roth avait voulu montrer que ses personnages sont des crétins mais que lui n'est pas dupe, il aurait fait en sorte que sa mise en scène le prouve. Dans Hostel le regard des personnages EST le regard du réalisateur, je ne vois pas dans quelle scène il pose une distance par rapport à ça.
  14. Je suis tombé sur ce film en faisant des recherches sur Adolfo de Jesus Constanzo, "the godfather of Mataramos", qui a été l'un des tueur en série Mexicain les plus connu. Je voulais voir comment l'histoire originale avait été traitée. En fait le film est assez fidèle aux faits, si on excepte le fait que jamais les amis de l'américain kidnappé sont venus le libérer (ce que veux nous faire croire la fin du film comme étant des faits réels), mais que c'est la police Mexicaine sous la pression de l'état du Texas qui sont tombés sur le ranch et ont mis à jour le culte de Constanzo lors d'une basique enquête quelconque sur le trafic de drogue. Finalement, c'est leur trafic de coke qui les a trahis, sans ça ces mongols seraient peut-être encore en train de continuer leurs sacrifices humains (enfin, ça n'empêche pas des centaines de gens de disparaitre chaque année dans cette région, vous connaissez les histoires et légendes urbaines qui tournent autour de ce sujet). Bon, sinon cinématographiquement j'ai trouvé ça très bon, une utilisation du montage et de la musique un peu relou, clipesque et cliché, mais l'histoire tient la route, les personnages sont intéressants, les Mexicains ne parlent pas anglais au bout de deux minutes et ne servent pas de faire-valoir aux personnages américains, on est pris par les enjeux, les méchants ont vraiment des têtes de tarés, tout les personnages ont l'air "vrais", les acteurs sont très bons, et pour une fois, le Mexique n'est pas considéré comme une toile de fond cliché, pas mal d'aspects de la culture locale sont mis en avant et nourrissent considérablement le film. Perso je n'ai pas regardé ce film comme un vulgaire "torture flick" à la con, je trouve que le film va bien au delà de ça. Il y a un vrai fond, une histoire véridique qui charpente le scénario, certes on ne nous cache pas grand chose, y'a des scènes bien "exploit", mais fondues dans un ensemble cohérent et bien écris. le scénar' n'est jamais prétexte à montrer des meurtres, contrairement à un Saw ou un Hostel. Pour moi il s'agit plus d'un drame inspiré de faits réels avec glissements dans le scabreux qu'un pur "torture flick" (y'a quoi ? deux scènes de tortures ? et elles sont loin d'être complaisantes. le reste des meurtres se passe souvent hors du cadre). Bref, c'est 100 coudées au dessus des films d'Eli Roth. Je trouve qu'il y a dans ce film un vrai intérêt pour l'arrière-plan. Là où Roth nous disait "Mon film se passe dans les pays de l'est, ces pays de la vieille Europe qu'on se fout de connaitre mais qui sont probablement encore peuplés de sauvages dégénérés" (voir ces scènes ridicules au début du 1 avec les gamins-de-la-rue, les petits sauvageons bête et méchants à peine sortis des bois), Berman installe tout un contexte socio-culturel qu'il semble connaitre et qui tient la route. Un très très bonne surprise pour moi.
  15. Marrant, autant je ne suis pas du genre à hurler à la mort à chaque fois qu'on produit un remake (au contraire, je peux être vraiment client de certaines franchises, pourquoi pas, pourquoi certains films seraient intouchables ?), autant là je me demande l'intérêt de remettre Freddy sur le grill. Il me semble que la première franchise avait exploré tout ce qui était possible d'explorer en terme d'horreur au fil des années 80/90, non ? le film d'horreur premier degré, l'humour second degré, le 36ème degré, et même la mise en abime de toute l'œuvre elle-même... Quelle plus-value ils vont bien pouvoir ajouter ? Surtout si c'est pour ne RIEN toucher au personnage (personnage trop récent, trop auréolé de sa gloire encore récente, ses caractéristiques propres - chapeau, pull, griffes - comme arguments de vente).
  16. Pas grand chose à rajouter... J'ai vraiment pris mon pied à matter ce film de golmon complètement décomplexé et pas avare en ultraviolence de comic-book. J'ai eu un peu peur au début de me taper un Europacorp à la Ricaine (les slow motion, les yamakazis), mais je me suis vite laissé prendre au jeu. Bon sang, mais c'est si difficile de faire de bons films d'action comme ça, qui t'en donnent pour tes sous et qui sont pensés pour te claquer le beignet à chaque scène ? Bref, un film trop rare pour le bouder.
  17. La franchise et l'attitude directe tout à fait, je dis pas, là je trouve qu'il les prend systématiquement de haut, qu'il use et abuse du sarcasme, à tel point d'ailleurs qu'un dialogue du film y fait référence (quand Souleymane lui demande s'il se fout de sa gueule en placardant les photos). En effet, tu as raison, en fait ça ne m'a pas sauté aux yeux parce que j'avais déjà mon idée sur l'acteur/personnage (qui ne font presque qu'un), donc je n'ai pas eu la sensation de le découvrir... Ce qui est fou, finalement, c'est qu'il passe toujours la moitié du cours à faire du hors-sujet, que la conversation dérape toujours systématiquement et que lui l'alimente... Est-ce une façon de garder leur attention ?
  18. Je crois que ça vient surtout de sa personnalité, pour l'avoir rencontré dans les années 90 je peux te dire qu'il était déjà comme ça, sarcastique, un peu pédant (en même temps dans le milieu Punk/Alterno Français, il avait de bonnes raisons d'être pédant, c'était quand même un mec assez brillant qui évoluait dans un milieu composé globalement de mecs pas très malins), jusque dans les chansons qu'il écrivait, et qu'il y a peu de chances pour qu'il ait vraiment changé avec le temps. Moi je l'ai pas trouvé si mauvais prof. Au contraire, je crois que pour s'en sortir au milieu de ces classes remplies de gamins agressifs et/ou blasés, le seul moyen c'est d'avoir une attitude plus directe, plus franche, plutôt que de se hisser sur son statut de "Prof" auquel de toutes façons les élèves ne croient plus. En regardant le film, je me disais que si j'étais dans sa situation, j'agirais de la même manière. Après ça reste une réflexion vraiment théorique... En même temps ça fais longtemps que les films à Cannes ne sont plus jugés d'après leur qualité cinématographique mais qu'on leur attribut un prix en fonction de leur contenu idéologique, qui, si possible, doit résonner avec l'actualité (voir le "film" de M. Moore récompensé en plein croisade anti-Bush, Entre Les Murs au moment où Sarkozy parle de réformer l'éducation nationale). Le Festival de Cannes devient vraiment au fil des années une sorte d'extension culturelle et militante de la gauche progressiste.
  19. Bah moi j'ai trouvé ça pas mal. Kaufmann se répète grave dans son petit numéro d'introspection nombriliste et de réflexion sur l'acte de création et le sens de la vie, au niveau mise en scène aussi, on sent l'ombre de Gondry, Jonze ou PT Anderson (la musique de Jon Brion n'y est pas pour rien), j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le film, mais j'ai fini par me laisser prendre dans cette grosse pâtisserie métaphysique et dépressive. J'ai pu décrocher à certains moments, le film est quand même plombé par tout un tas de scènes et d'idées de mise en scène pas toujours très heureuses, on est parfois grave perdus entre les multiples mises en abimes dans les mises en abimes, mais au final le film a quand même fini par faire remuer des choses en moi, finit par faire sens dans sa démesure, ses ratages et les grands moments qu'il distille par petites gouttes. Pourtant je ne suis pas fan de ce qu'a pu écrire le bonhomme (à part Eternal Sunshine), mais... je ne sais pas... Ouais, c'est prétentieux, ça se voudrait grandiloquent, ça se prends parfois les pieds dans le tapis, mais au final, j'ai aimé le trip existentialiste qui se dégage de ce grand fourre-tout. Je trouve que ce n'est ni une grosse daube, ni un film génial pas apprécié à sa juste valeur, juste un film vraiment ambitieux, trop ambitieux pour le Kaufman metteur en scène, et qui parlera peut-être à ceux qui partagent ses obsessions. Peut-être.
  20. Jusque là j'aime beaucoup les films de Cantet et ce que j'avais pu lire et écouter de Begaudeau (les critiques qu'il a écrit dans les Cahiers du Cinéma, mais surtout, je reste un gros fan du groupe de Punk dans le lequel il chantait et écrivait de superbes textes, Zabriskie Point), mais bizarrement j'aurais mis un an et demi à trouver l'envie de voir ce film. Ayant des enseignants dans ma famille, ces histoires là je les connais par cœur. Bref, pas été surpris par le fond, je trouve même le film un peu "ventre mou" de ce point de vue là, on dirait que Cantet a peur de se mettre à dos les enseignants (la cible privilégiée du film) et qu'il avait peur qu'on l'accuse de noircir le tableau de ces jeunes. La mise en scène est transparente. Ce trip fiction filmé comme un pur "docu" m'a d'abord emmerdé, avant de devenir complètement un truc transparent à mes yeux, une non-mise en scène. Begaudeau est parfois pas mauvais, parfois mauvais. Il est souvent désincarné comme personnage, comme si il crevait de peur de sur-jouer quand il se met vraiment à jouer. Les gamins sont 10 fois meilleurs et spontanés que lui. Peut-être parce qu'ils ne jouent pas de rôle. Le bon point c'est que je n'ai pas vu passer les 2 heures, qu'on ne s'ennuie pas trop. Après, je suis content de ne pas avoir payé une place de ciné pour voir "ça" et ne comprends toujours pas comment on a pu donner la Palme d'Or à un film aussi consensuel et aussi dénué de "cinéma". A la rigueur, j'ai largement préféré LE JOUR DE LA JUPE de Jean-Paul Lilienfeld avec Adjani qui m'a semblé moins tiédasse, même si pétri de défaut, plus proche de ce que vivent vraiment les profs dans ces collèges.
  21. Désolé, un billet d'avion aller/retour et une place de ciné c'est trop cher pour moi, surtout pour voir un film français. Qui m'envoies un screaner ripou ?
  22. Le pire c'est que ça ne sera même pas un "film de gaucho" (pas assez fédérateur, donc pas assez rentable), juste un film apolitique qui surfe mollement sur la vague anti-Sarkozy, mais qui, je suis sûr, vise aussi les pro-Sarkozy "qui ont un sens du second degré". Les notions de tolérance, l'idéologie du "Vivrensemble" n'est pas une idéologie de gauche, elle vise désormais la société tout entière, sans aucune appartenance politique.
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