FUCK YOU BILL MURRAY

LA SUCCESSION STARKOV, quatrième long-métrage de F.J. Ossang, avec Guy McKnight (chanteur des 80's Matchbox B-Line Disaster, déjà présent dans CIEL ETEINT!), Elvire (Dr Chance, Ciel Eteint!), Lionel Tua (Morituri, Les Chiennes, Dr Chance), Diogo Doria (Les Chiennes), Stéphane Ferrara (Chiennes, Dr Chance)... vient d'être shooté. Le film est actuellement en cours de montage. Sortie : un jour. Pas encore d'images du film ni de synopsis disponible.

Ouais, mais tu retires tout ça et il ne te reste plus qu'une mauvaise comédie romantique avec Hugh Grant et Julia Roberts. J'ai été un peu déçu par Splendor, ça commence super bien mais après.... il ne se passe plus rien. Sympa dans les grandes largeurs, mais terriblement prévisible.

UP! J'avais raté le film a sa sortie. Séance de rattrapage. Impression assez étrange. J'ai regardé ce film sans m'ennuyer tout en trouvant chaque scène toujours un peu too-much (une volonté de "faire sombre" à tout prix, là il pleut, là le commissariat ressemble à un hangar, etc), j'ai trouvé globalement pas trop mal pour un film français tout en me demandant pourquoi le film n'arrivait jamais à être mieux. Vous le trouvez mal écris, je le trouve trop écris. Je sais pas, chaque détail finit toujours par faire sens, tout ce qui devrait être compris à l'image finit toujours par être verbalisé (on avait compris dès l'apparition de Bonamy qu'elle était la fille rescapée de la tuerie, pas besoin de lui faire "cet homme a tué mon père et ma mère", pas besoin de flash-back pour comprendre que la commissaire s'est tapée Auteuil avant). Bon, après ce film a moultes qualités, l'interprétation est globalement bonne (Nahon est encore une fois excellent, on croirait Michael Myers vieux), le film n'hésite pas à montrer des trucs assez raides (des cadavres, des photos de cadavres, des chattes qui crachent des bébés), le pessimisme récurent est vraiment jusqu'au boutiste (pour le meilleur et pour le pire : le final, qui manque un peu de retenue : un suicide est un truc toujours délicat à montrer... souvent mieux vaut ne pas le montrer). Bref, j'ai eu l'impression de m'être tapé un bon film de "qualité française" du dimanche soir, celui que tu peux regarder jusqu'au bout avec tes parents, sans avoir envie d'aller te coucher à la première coupure pub. Après, de là à avoir envie de le revoir. Ah oui, un truc qui m'a bien pris la tête, même défaut que dans "36 quai" : la quasi omniprésence de la musique dans le montage. Au bout d'un moment on a envie que le film respire un peu, mais non, il faut que la musique souligne à tout prix chaque image qui montre un truc un tant soit peu 1/lourd 2/déprimant 3/pathos Autant dire sur 90% du film. Si encore le score était bien, mais non, on dirait vraiment une musique "générique" produite à la chaine pour ce genre de films. Gros point faible de ce film.

Rhhhhoooo le GROS pervers ! Marielle, un pote à moi était machiniste dans un théâtre lors d'une pièce où il jouait, il était allé lui parler de ses "années Séria", et il l'avait envoyé chier, il lui avait dit qu'il en avait marre que les gens réduisent sa carrière à cette période là.

Ouais mais y'a deux filles, ça fais un peu trop de représentant de la même minorité, non ?

Salut les zartistes, En octobre, à l'occasion des 20 ans de la série TWIN PEAKS (eh oui, déjà 20 ans, dire que j'ai vu la première diffusion de cette série sur la 5 !!), nous organiserons un TRIBUTE TO TWIN PEAKS avec expo, Black Lodge, nains qui parlent à l'envers et des Audrey Horne latinas qui se trémoussent sur du jazz mélancolique (enfin, j'espère). Pour cette expo, nous lançons un appel à contribution aux amateurs de la série culte de Lynch/Frost. Si vous avez une idée, une proposition, n'hésitez pas à nous la présenter. Nous accueillons pour l'occasion aussi bien des dessinateurs, des peintres, des photographes. Pas mal d'artistes Italiens, américains et quelques français et rosbifs se sont déjà lancés dans la course, quelques sérigraphies vont être tirées pour l'occasion, alors rejoignez-nous si le cœur vous en dit ! Joignez-nous de préférence par mail (blackcatbonescafe -arobase- gmail.com), pas de MP si possible. A bientôt. -------------------------------------- BLACK CAT BONES CAFE HIGH PRAISE FOR LOW ART... AND DAMNED GOOD COFFEE ! 3 oriente # 207 planta alta | zócalo | a media cuadra de la catedral Puebla de Zaragoza, Mexico http://blackcatbonescafe.com (espagnol) http://losamigosdelblackcatbonescafe.blogspot.com (bi-lingue) http://www.facebook.com/blackcatbonescafe (bi-lingue)

Il manque pas un asiatique dans la distribution là ?

J'ai pas vu tous les épisodes, mais ce que j'ai vu n'était pas super transcendant, même si l'ensemble me semble assez honorable. Après, ça reste du teléfilm en moyen métrage, ça s'apprécie comme ça, contrairement à ce Mortuary dont j'attendais certaines qualités cinématographiques. Ce Mortuary est un produit télévisuel, outre atlantique, non ?

Un mauvais et interminable épisode de Masters Of Horrors. Triste de voir un film si faiblard sortir en salle. Dans un bas à solde à 1.5 euros ou à minuit sur le cable un soir de grosse fatigue, pourquoi pas, mais en l'état, je l'aurais eu mauvaise de voir ce navet en salle. Les SFX sont pitoyables (Hopper a recyclé les pelotes de laine noire de sa mère ou quoi ?), les acteurs sont assez ternes, les personnages aussi, l'histoire n'avance pas, et quand elle avance c'est pour faire de gros bons en avant incompréhensibles en te ressortant des personnages dont tu avais totalement oublié l'existence. Bref, faut avoir faim...

Pire, tout le monde est GEEK aujourd'hui. N'importe quel mec amateur de cinéma de genre ou de séries, sachant taper 2/3 lignes de HTML et possédant 2/3 t-shirts cool se sent un pur geek ! Le succès d'une série comme BIG BANG THEORY en est bien la preuve, non ? La série ne se joue pas sur le mode "on se moque des geeks", mais bel et bien sur l'identification du spectateur pour ces personnages. A rajouter à la panoplie "On est tous artistes", "On est tous des médias", "On est tous égaux", "On est tous quelque chose de Tennessee". Pas sûr que ce mag' se plante, car il ne s'adresse pas au VRAI geek, mais au faux geek, au mec qui s'est rendu compte que ce n'était plus la honte d'être un Marty Mac Fly dans son bahut et qui se trouve trop malin à acheter des produits que la société de consommation a spécialement crée pour lui. Des produits uniques tirés à des millions d'exemplaires.

Impossible de refaire la fin de l'original avec une esthétique aussi réaliste. A mon avis ça va plutôt partir vers un trip "mystère" à la Lost "mais que font-ils là boudiou !?" En mieux j'espère.

Le twist je l'ai pas vu venir... Des fois j'ai l'impression d'avoir à nouveau 12 ans en regardant certains films. Il est magique à plus d'un titre ce film.

Le remake du PRISONNIER déboule bientôt... 8 minutes de "trailer" ont été montrés au Comic-Con il y a quelques jours... Je ne sais vraiment pas quoi en penser... En même temps y'a Jim Caviezel qui joue le numéro 6 (Jesus chez Gibson, Pvt. Witt chez Terrence Malick), et j'adore cet acteur donc je pense que je regarderais, même si je doute de la pertinence d'un tel remake... Après, pourquoi pas, si le fond de la série est thématiquement réactualisé à des sujets plus contemporains... http://www.dickien.fr/files/282-le-prisonnier.php

Ok, j'arrête !

Steve tu devrais mettre cette phrase en spoiler, elle raconte quasiment la fin du film : A la rigueur, moi j'ai envie de dire que le film n'a pas les moyens techniques de ses ambitions, et une fois qu'on a fait le deuil des images de synthèses vraiment laides, le film finit par pécher par manque d'ambition scénaristique. C'est bien dommage car le fonds socio-politique est très intéressant (même si il est un peu abstrait, on ne voit jamais de politicien, de chef d'usine, de keufs, on reste entre gens de la classe basse), les thèmes abordés intéressants (la privatisation des ressources, l'identité nationale en péril, le fossé entre les générations), les personnages pas inintéressants, et quelques scènes sont visuellement très réussies (toutes les scènes de rues, les plans de le hangar à travail). Bref, j'aurais envie de voir le verre à moitié vide, en même temps, vu l'inexistence de culture SF au Mexique (quelques écrivains pas vraiment lus dans leur pays, jamais traduits), j'ai quand même envie de me dire que c'est très encourageant (même si Sleep Dealer a été produit en partie par des boites étrangères, l'essentiel est qu'il se passe dans un contexte Mexicain). Pour un premier film fauché, Alex Rivera s'en sort pas si mal.

Premier Proyas qui me déçoit. Non mais sérieux, c'est quoi cette histoire de musiciens de merde qui montent un groupe de merde tout en vivant des aventures amoureuses de merde ? Ouais, c'est bien emballé, y'a de plein de jolis n'effets que même Fincher aurait pas osé, mais bon sang c'est le vide intersidéral. C'est même pas drôle, acteurs et personnages sont tous à claquer, ça ne raconte rien et ça ressemble à un gros téléfilm qui se la pète.

Non, Sami Naceri, Joey Starr, Saïd Taghmaoui et Jamel Labouze pour faire les Daltons, histoire de faire un film "multi-ethnique" politiquement correct qui va réconcilier la France

Rhooooo vous avez juste perdus votre capacité à vous émerveiller.

Ce film est excellent, ne te fie pas aux avis des autres, je crois qu'au fond ils blaguent et ne cracheraient pas sur un second visionnage.

Mais TOUS ! Vous avez vus ce casting de tronches de cul ? SYLVIE TESTUD, YOUNG, DUJARDIN, ALEXANDRA LAMY ! Alignez-moi ces bâtards contre un mur et ramenez-moi John Rambo pour vider des cartouchières jusqu'à ce qu'il ne reste plus que de la purée de ces sales parasites contre les briques. Rhhhha, puis le trip "western franchouille", ça fonctionne dans la BD, mais le western est un genre cinématographique AMÉRICAIN, à part copier misérablement les plans incontournables du western (classique ou Spaghetti) avec un second degré débile ou une connivence putassière envers le spectateur, je ne vois pas ce qu'il est possible de faire de bien. LUCKY LUKE au cinéma c'est une idée perdue d'avance.

A mes yeux, le soucis de ce film vient de sa structure un peu chelou, on a du mal à rentrer dedans, y'a des moments un peu vite expédiés, des personnages qu'on a pas le temps de "rencontrer". Peut-être qu'une demi heure de plus permettrait d'aérer un peu le film, d'approfondir quelques trucs en plus. Après, les trous dans le scénars, les faiblesses, je lui passe, je suis pas allé voir un Terminator pour dresser la liste des incohérences temporelles ou des trucs mal foutus, je suis allé au CI-NÉ-MA, j'ai donc passé un pacte de non-concordance avec le réel. De toutes façons moi je suis fan des deux Drôles de Dames, donc vous ne me ferez pas plier avec de tels arguments. Ce type touche mon point "McG"

Bon, de mon côté j'ai trouvé ce TERMINATOR RENAISSANCE vraiment cool. Les personnages ne sont pas très épais (ça fait chier pour Bale, qui depuis 3 films se tape des rôles où ses talents sont vraiment sous-exploités : TDK, Public Enemies, Terminator), le film est parfois un peu bancal (mais faut savoir qu'il a été remonté et raccourci par les studios, que ce n'est pas le "montage McG" qu'on a vus en salle), mais il n'est pas avare en scènes d'actions, pleins d'idées de mises en scène (le plan séquence numérique dans l'hélico, les scènes de combats façon Soldat Ryan / Les Fils de l'Homme), le scénario tient debout et arrive parfaitement à renouer avec les bases de l'histoire tout en repartant sur de nouvelles bases, et les SFX tabassent quand même bien. Le film prends un peu ses aises avec ce que Cameron avait montré dans les 2 premiers d'après les "souvenirs" de Reese, et c'est tant mieux. Vous faites vraiment preuve d'intransigeances de geeks, je trouv, vous voudriez qu'un film de deux heures ressemble à 100% aux 2 minutes que Cameron a montré y'a 20 ans. Pour un film de studio de 2009, je trouve qu'il t'en donne pour ton argent, et que le tout est assez cohérent malgré que le film soit passé de mains en mains et que le scénario ait été réécris par 10 personnes différentes (c'est souvent ça qui plombe ces gros films hollywoodiens). Un petit goût d'inachevé dans la bouche, quand même, à la fin, mais pour un film rescapé des bans de montages et des problèmes de productions, il s'en sort quand même super bien.

Il vous a bouffé la chatte après ?

Non, je m'autoparodie pour le plaisir. J'avoue que ma curiosité est titillée. Allez, un banane pour le cinéma français !

Tu devrais enchaîner là dessus après : Amoreena Winkler est née en 1978, à Rome dans la secte pédophile, proxénète et apocalyptique Les enfants de Dieu dont elle sort à l’âge de 17 ans. Livre de la nécessité, Purulence est le récit à hauteur d’enfant d’une survivante dont la lucidité transforme le témoignage en une œuvre d’une présence effroyable. http://www.ego-comme-x.com/spip.php?article436