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FUCK YOU BILL MURRAY

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Tout ce qui a été posté par FUCK YOU BILL MURRAY

  1. Ouais, sauf que c'est cette scène finale que je trouve la moins intéressante du film, je la trouve vraiment too much, trop sur-jouée. Elle fait sens, mais je trouve qu'elle manque cruellement de naturel, comme si PTA et DDL savaient que leur nomination aux oscars reposait sur elle.
  2. Donc pour toi, il se passe "quelque chose" quand on te montre de la violence à l'image ? Encore ce syndrome de vouloir réduire un film à sa plus scène la plus graphiquement marquante, alors que cette scène marquante n'aurait aucune force si elle ne reposait pas sur des scènes plus contemplatives, plus calme, plus anodines.
  3. Ok, merci Norman. Dommage, ça me chagrine quand même un peu que Soderbergh ai brodé un film autour des images d'Épinal qu'on connait tous. D'autant plus que j'adore Del Toro... Bref...
  4. J'adore Steven Soderbergh, vraiment, cependant un truc me chagrine depuis le début par rapport à ce film sur lequel je n'ai rien lu pour le moment. Vous pourrez probablement me renseigner. De quel CHE parle Soderbergh ? De démarche adopte Soderbergh vis à vis de son sujet ? Parles t-il du CHE "légendaire" dont on nous fait la promo depuis des décennies (le courageux révolutionnaire, le libérateur, l'idole des jeunes, celui qui a sa tête sur des milliers de t-shirts), ou bien est-ce un portrait réaliste, VRAIMENT réaliste : Le CHE révolutionnaire et militaire, le Stalinien également responsable du "comité d'épuration" du parti, chargé de faire fusiller des centaines (voir des milliers) de "contre révolutionnaires", celui qui a ouvert les premiers camps de concentration Cubain ? J'ai été très excité à l'annonce de la sortie de ce film car je pensais que Soderbergh allait faire la lumière sur ce personnage, mais vu le succès du film, j'ai plutôt l'impression qu'il rabâche les bons vieux lieux communs inhérents à ce personnage. Quelqu'un pour illuminer ma lanterne ?
  5. Le poujadisme n'a rien a voir avec une quelconque "théorie du complot", Pierre Poujade défendait juste les "petits commerçants" contre l'arrivée des supermarchés durant l'après-guerre. Ca a été de plus une idéologie typiquement franco-française. Je dis ça, je dis rien.
  6. Toutes les scènes de fin avec la bonne sœur sont bien pourries, et ne fonctionnent pas du tout : comment il la retrouve, comment il l'embarque, C'est complètement incompréhensible... Enfin, y'avais peut-être rien à comprendre. En tout cas, ce personnage, qu'on cherche pendant 1h30 et qui est censé être au cœur de l'histoire est complètement transparent et n'apporte rien, sinon à clore le récit. Dans l'ensemble c'est pas mal réalisé, mais putain que c'est mal écris.
  7. En même temps, ils se revendiquent "Le site lyonnais du cinéma". L'ambition va finir par les tuer.
  8. Le film vient d'être tourné et serait rentré en post-production. On serait en droit de rêver à une sortie en 2009. Comme il se dit toujours n'importe quoi au sujet des films de Malick et que le bonhomme est toujours très secret avec ses films, je me garderais bien de poster quelques synopsis ou autres rumeurs. Brad Pitt et Sean Penn font cependant de source sûr partie du casting. Pitt ayant remplacé Heath Ledger à la dernière minute. Impatience.
  9. Tu parles d'une "réflexion", moi je n'en vois aucune. Et c'est ça le problème à mes yeux. Laugier fait mumuse avec Dieu, la vie après la mort, avec la souffrance, avec la notion de martyrs (en évacuant toute connotation chrétienne du mot, alors que c'est précisémment là son origine et une grosse partie de son histoire, y'a qu'à se pencher sur un livre de l'histoire des Saints), traite tout ça "par dessus la jambe", très superficiellement. Quand il tente de relier son sujet avec des documents historiques, il nous ressors un petit lot de photos qui ne traitent que du martyr du XXe siècle (victimes de la guerre ou des révolutions), évacuant 20 siècles d'iconographie religieuse. Vous me direz, c'est "juste" un film de genre, on attends pas de lui qu'il traite d'un tel sujet avec une application universitaire. Bah justement, je pense tout le contraire. En tant qu'amateur et défenseur des films de genre, je pense que le seul moyen de le défendre proprement est d'attendre de lui qu'il produise des films qui abordent très sérieusement les sujets dont il traite (revu Candyman y'a quelques jours : voilà un film qui sait de quoi il parle. Ses effets horrifiques sont aussi réussis PARCE QUE le film est travaillé par sa réflexion sur les légendes urbaines et la manière dont elles traversent l'imaginaire, la société et l'histoire des hommes). Je m'en fout du "choc" que MARTYRS est capable de produire sur moi. Sans intelligence derrière, je refuse mon monter dans le manège. Ou alors le film se revendique "film d'exploitation", alors là je sais où je met les pieds. Mais à partir du moment où le film propose un semblant de réflexion, il faut aller jusqu'au bout. Le film a beau contenir quelques scènes très réussies, des plans assez fulgurants, une construction scénaristique intéressante (évacuation des "passages obligés" dans la première demi-heure), au final j'en ressors avec l'impression d'avoir vu un film un peu vide, sans matière.
  10. Tiens, j'y repensais hièr à Martyrs en faisant mon petit "Bilan 2009". Avec le recul, je crois que je déteste ce film. Laugier fait reposer son film sur une sorte de twist sémiotique final et ne sais visiblement pas trop de quoi il parle... La prochaine fois qu'il s'attaque à un sujet d'une telle ampleur, vaudrait mieux qu'il ouvre plus qu'un dictionnaire. J'avoue, le film m'a remué au point de ne pas savoir quoi en penser pendant des mois. Maintenant mon opinion est faite.
  11. Source : http://www.commeaucinema.com/showbiz=fox-warner-et-les-watchmen-sont-sur-un-bateau,130835.html Source : http://blog.ifrance.com/markusleicht zzzz...
  12. Excellente façon de pouvoir (quand même) écouter cette excellente émission quand on habite pas chez les shadocks !
  13. PFFFFF... Quelle daube... Quel ennui... Comment vous faites pour regarder un film de ce genre jusqu'au bout ? Le pire, c'est que ça essaie encore de raconter quelque chose. Comme d'hab' avec ce genre de DTV, faut se contenter de fantasmer sur les photos. Soporifique.
  14. D'où as-tu tiré ce "pitch" qui fait ressembler le livre de McCarthy a un film de Bruno Mattei ? Si c'étais pas Hillcoat a la réal, j'aurais quand même un peu peur. Heureusement, McCarthy a toujours eu beaucoup de chances dans les adaptations de ses livres. Sort aussi cette année l'adaptation du violent et lyrique BLOOD MERIDIAN, réalisé par Todd Field... Il va avoir du pain sur la planche, le bonhomme, vu la densité et la beauté du texte.
  15. ATTENTION : SPOILERS ! UN EXTRATERRESTRE CONSTIPE ARRIVE SUR TERRE IL A DANS SA POCHE UNE SUPER CREME CICATRISANTE SA RACE VEUX NIQUER LA NOTRE UNE FEMME A UN FILS QUI CHIALE L'EXTRATERRESTRE TROUVE CA MIGNON ET SE DIT ALORS QUE LES HUMAINS MERITENT DE VIVRE FIN-
  16. BOF. Ca part assez bien, quelques plans assez bien branlés, une bonne introduction, mais on se retrouve les pieds pris dans le tapis d'un film de trouille qui ne fait pas peur, un sitcom de luxe (le casting) qui ne raconte rien (pas de valeur ajouté par rapport au Miike) et qui le raconte mal. Ca a beau duré 1h20, ca m'a paru interminable.
  17. La rencontre Escalante / Public était intéressante ?
  18. Yep, enfin un livre en francais digne de ce nom sur la LUCHA LIBRE ! Un livre qui fait aussi la part belle aux films de Mexploitation de luchadores (Santo, Blue Demon, Mil Mascaras, etc), et aux objets et autres bisseries que ce sport/spectacle a pu produire en parrallele depuis 80 ans, comix, romans-photos, etc... JIMMY PANTERA Petite interview de l'auteur sur le blog de BLACK CAT BONES : http://blackcatboneseditions.blogspot.com/2008/12/interview-jimmy-pantera.html
  19. Recu cette news y'a 5 minutes... - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Esperanza Productions, Bach Films, Telessonne et Cinaps Tv vous présentent CINEPOPCORN Une émission décapante et vivifiante pour célébrer le cinéma décalé des années 50/60 ! Un rendez-vous mensuel thématique de 10mn…suivi d’un film culte !! La première est diffusée lors de la soirée du 2 7 décembre sur Telessonne !!! Présentée par l’ébouriffant et incroyable Christophe Lemaire !!!! Avec Christophe vous saurez tout sur les descendants du film « Le père-noël contre les martiens » !!!!! Laissez-vous guider dans l’univers improbable des mystères de la série Z et de Noël ! Venez vivre un cinéma en liberté…. Rien que pour vous, voici via ce lien en avant première, CINEPOPCORN 1 : http://amis.angervilliers.free.fr/popcorn/emission_PAD.mp4
  20. Pendant qu'ils tournent dans les merdes Europacorp, au moins les Yamakazis n'abiment pas nos voitures.
  21. Well... Une comédie tres sympathique, loin d'etre le meilleur truc qu'ait réalisé Kevin Smith (la mise en scene est un peu quelconque), mais j'ai passé un tres tres bon moment. Le casting est assez sympa (c'est la qu'on voit que Kevin Smith est tout de meme un bon directeur d'acteurs), peuplé de pleins de vieilles gueules du Bis dans les seconds roles, Traci Lord, Tom Savini, et de jeunes acteurs tous tres talentueux (Jason Mewes, Brandon "superman" Routh, et d'autres qui ont deja joués dans 40 YEARS OLD VIRGIN). Comme d'hab chez Smith, les personnages surnagent entre le légerement graveleux -ca s'est quand meme bien calmé depuis Dogma- et le touchant, la relation entre Zach et Miri est quand meme le pilier du film, l'aspect romantique est ce qui est finalement le plus réussi (meme si on devine des le début comment ca va se terminer, mais bon, qui va encore voir des films américains mainstream pour etre surpris par le scénar ?).
  22. http://www.editions-edite.fr/product_info.php?products_id=235 MoteurCoupez ! Mémoires d'un cinéaste singulier : Jean Rollin En Mai 68 sortait dans quatre salles parisiennes le premier film d'un jeune réalisateur d'à peine 30 ans, Le Viol du vampire. Ce fut un scandale inouï, qui n'est pas oublié aujourd'hui. Jusqu'à son dernier film, La Nuit des horloges (2008), Jean Rollin traîne derrière lui une réputation sulfureuse. On a pu dire avec raison que Jean Rollin est le Clovis Trouille du cinéma ! MoteurCoupez ! est l'histoire de ce cinéaste, auteur d'une trentaine de films, contre vents et marées. Des films de série B des années 1960, un cinéma érotique également mais d'un érotisme particulier et personnel, l'œuvre de Rollin déconcerte. Son histoire, souvent comique quand il relate les problèmes insurmontables qu'il encontre, la hargne avec laquelle la critique s'acharne contre lui, est l'itinéraire de quelqu'un qui se situe résolument en marge du cinéma traditionnel ! Abondamment illustré, ce livre retrace un véritable cinéma d'auteur, proche du surréalisme. Suivi de trois scénarios de l'auteur, dont L'Itinéraire marin, dialogues de Marguerite Duras.
  23. En parlant de Cannes, la presse Mexicaine a relayé une histoire que la presse francaise visiblement ne s'est pas pressé de diffuser : http://bellaciao.org/es/spip.php?article5175 En gros, l'acteur Rubén Sosa (celui qui joue Fausto) aurait subit un bon vieux délit de sale-gueule a l'ancienne par les douaniers a son arrivée a Cannes, a base de fouilles, d'humiliations verbales (les flics ne voulaient pas le croire qu'il était acteur et qu'il venait pour le festival), mise a poil et détention sans motif pendant... 3h30 ! "Meme au Mexique je n'ai jamais été aussi mal traité" dit-il dans l'article.
  24. A Los Angeles, comme chaque matin, Fausto et Jesùs, deux travailleurs mexicains clandestins, attendent au coin d'un terminal de bus dans l'espoir d'être embauchés. Les tâches sont ingrates et très mal payées, mais la nécessité de gagner un peu d'argent leur met une pression intense. Aujourd'hui, ils ont trouvé un travail beaucoup mieux payé. Aujourd'hui, leur outil de travail est un fusil à canon scié. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Difficile de parler de ce film sans en dire trop, sans gacher les effets de surprises réservés aux spectateurs (je ne parle pas seulement de LA scene qui a fait jazzer tout les festivals ou le film a été diffusé, mais aussi du scénario dans sa globalité, habilement bien écrit, sachant saper les attentes et les suppositions des spectateurs). Bref, moins vous en saurez, mieux vous vous porterez. En tout cas, si vous aimez le cinéma de Reygadas, Haneke ou Dumont (comment ne pas penser a 29 PALMS ?), foncez ! J'avais tres moyennement apprécié SANGRE, le premier long d'Escalante, mais LOS BASTARDOS fait preuve d'une étonnante maitrise de l'écriture et du langage cinématographique, toujours a deux doigts de se péter la gueule dans ce genre d'exercice (temps morts, montage minimaliste, plans séquences en plan fixe). Un "film choc" diront les journalistes. Oui, mais tellement plus que ca. Ca sort en France fin janvier, si mes souvenirs sont bons.
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