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FUCK YOU BILL MURRAY

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Tout ce qui a été posté par FUCK YOU BILL MURRAY

  1. YEAH ! Sinon, le flyer recto-verso :
  2. La Sirène Rouge et Les Racines du mal ! Une Jeunesse Française c'est le livre de Pierre Péan sur Mitterand. Peut-être le roman que j'aime le moins de Dantec avec Artefact. Il n'en reste pas moins un sacré et efficace pavé !
  3. J'attendais juste d'avoir l'affiche pour l'annoncer !
  4. Humain ? Mais Jésus était (en partie) humain. 50% humain, 50% fils de Dieu, aurait titré Paul Verhoeven. Il ne me semble pas non plus que Scorcese trace un trait sur la divinité du Christ, puisqu'il a gardé dans les grandes lignes l'histoire Biblique du Christ. Perso, je me souviens surtout de la scène des 40 jours / 40 nuits dans le désert et la tentation du Diable. Très belle scène au milieu d'un foutoir, il est vrai, assez cheap. Dans mon souvenir, il me semble juste que Scorcese accentue l'humanité de Jésus plus que les autres films ayant racontés le même sujet (je pense à L'Evangile Selon Saint Mathieu, de Pasolini, notamment, film ayant largement marqué le père Martin), sans pour autant renier ses origines divines . N'oublions pas que Scorcese est croyant, et que le scénario est signé Schrader, un Catholique torturé, mais un Catholique tout de même.
  5. N'étant pas allergique à Cornillac, j'ai trouvé EDEN LOG vraiment sympa. C'est d'ailleurs sa deuxième apparition dans un film de genre Français, après l'énigmatique TRÉSOR DES ILES CHIENNES de Ossang en 1991. Le réalisateur a su quoi faire avec son petit budget, toute l'argent est à l'écran, et il parvient à faire des merveilles avec pas grand chose, des tunnels, des escaliers, des bâches, des tuyaux. Pas de doute, Vestiel sait filmer ses décors et sait visuellement donner de l'épaisseur à son film. C'est efficacement mis en boite (même si le film aurait gagné à durer 10 minutes de moins, ou peut-être l'ai-je regardé trop tard...), l'histoire n'est pas détestable même si l'aspect énigmatique avec délivrement d'infos toutes les 20 minutes fini un peu par lasser. Perso, j'ai eu le sentiment de regarder une sorte de CUBE (pour les "niveaux") mixé à un TETSUO (pour une grosse partie de l'esthétique) traversé par des influences ALIENesques un poil plus expérimentales. Bref, j'ai eu la sensation d'avoir affaire avec un vrai film de SF écrit et réalisé par des gens qui savent ce qu'ils font et de quoi ils parlent. On peut chipoter sur le casting, les décors, sur plein de détails, sur le manque de moyens, le jeu parfois approximatif de Cornillac (surtout quand il parle), globalement le film reste extrêmement généreux dans son minimalisme et semble avoir été dirigé d'une main de fer, comme si le film redoutait à chaque instant de ressembler à ces pseudo films de SF Français qu'on nous sert depuis des décennies (Les Bilal en tête, ou encore Chrysalis pour ne citer que des exemples récents). Bref, très convaincu dans l'ensemble. Perso, je n'ai pas eu DU TOUT l'impression d'être face à un message écologique. J'ai plutôt eu le sentiment que le film voulait délivrer un message social concernant les rapports Nord / Sud. EDEN LOG m'a semblé être une parabole sur la façon dont les populations des pays industrialisés exploitent les ressources humaines des pays du tiers-monde .
  6. Héhé, je me les suis payé... Un peu cher pour des affiches offset, m'enfin bon... Quand on est fan on ne compte pas (trop).
  7. Désolé de vous déranger messieurs les routiers, j'ai cru un moment être sur le forum Zone Bis
  8. 25 ARTISTES (NATIONAUX ET INTERNATIONAUX) SE REAPPROPRIENT LA FIGURE MYTHIQUE DE BATMAN dont NAVETTE http://www.vivadolor.com/ (FR) LITTLE FRIENDS OF PRINTMAKING http://thelittlefriendsofprintmaking.com/ (USA) TERREUR GRAPHIQUE http://terreur-graphique.over-blog.com/ (FR) ANGRY BLUE http://www.angryblue.com/ (USA) DER KOMMISSAR http://derkommissar.wordpress.com/ (FR) SIXO http://sixoone.blogspot.com/ (FR) RYTZ http://www.myspace.com/mrytz (DAN) LL COOL JO http://llcooljo.free.fr/ (FR) ETC. Infos : http://www.blackcatboneseditions.blogspot.com/
  9. Je suis HYPER IMPATIENT, mais je préfère encore crever que de découvrir les premiers extraits du film sur Youtube ! Sur grand écran ou rien !
  10. Ah bon ? C'est pas ce que nous passons nos journées à faire concernant n'importe quel film sur ce forum ?
  11. J'ai pas regardé ce film pour avoir peur, plutôt pour déguster une petite sucrerie qui tentait avec sincérité de retrouver le goût des bons vieux fantastiques bonbons des 50's... J'ai trouvé ça vraiment réussi dans l'ensemble, sans prétention, bien torché. Un bonne petite saloperie du samedi soir, quoi.
  12. Elle lèche une glace ? Pour simuler la fellation peut-être ? Original. Par contre, y'a Jennifer Carpenter au casting de ce QUARANTINE (la sœur de Dexter dans la série du même nom) ! le film a l'air merdique, mais juste pour voir son petit minois...
  13. J'ai trouvé ce film franchement intelligent, efficace et vraiment très prenant. Plus ça viens plus je trouve que Shimizu est un réal' vraiment passionnant, surtout après avoir vu ce film et MAREBITO. Jamais dans ses films Shimizu n'avait aussi franchement mis au cœur d'un de ses films ses préoccupations les plus directes : à savoir sa quête de "l'image de la terreur pure" (déjà en question dans MAREBITO), donc de l'image capable de produire un sentiment de totale épouvante sur son public. Evidemment, Shimizu est encore loin de produire cet effet sur les spectateurs de ses films (même si certains plans sont d'authentiques machines à terrifier), mais à travers un léger hommage à SHINING et une mise en abime subtile (le coup du film dans le film, dans lequel se trouve finalement encore un autre film), il distille un petit film de frousse racé et élégant qui s'apprécie sur la longueur. On a au début un peu de mal à comprendre où ça va, mais on est très vite pris par une atmosphère envoutante et un scénario-puzzle qui se met petit à petit en place. Au final, l'histoire se laisse conter d'une manière vraiment étrange, ce qui évite au spectateur de deviner les événements qui suivent. Bref, RINNE / REINCARNATION est une intelligente réflexion sur le cinéma (le parallèle troublant entre l'incarnation d'un rôle et le phénomène de la ré-incarnation), et plus spécialement sur le cinéma d'horreur (comment le réel influence le cinéma d'horreur, et comment le cinéma d'horreur alimente en retour le réel). Les films d'horreur qui se questionnent sur le cinéma de genre ne sont quand même pas légion. Raison de plus pour les supporter.
  14. Quelques pics de la "marche Zombie"... Plus de pics ici : http://blackcatboneseditions.blogspot.com/2008/06/zombie-pride.html
  15. "Sauver" le film ? M'est d'avis que cette affaire est en train de créer un buzz qui va finalement profiter au film.
  16. Une ode à l'amitié entre les peuples et contre la guerre. Revu y'a 2 mois, c'est en effet assez ennuyant (on a un peu l'impression d'avoir à faire à un DUNE-bis, un film où les scènes s'enchainent sans que le film puisse vraiment trouver son rythme), mais finalement assez touchant quand on se laisse aller. C'est surtout les rapports père/fils qui mettent la larme à l'œil, plus que la parabole "sos racisme" un brin pénible.
  17. BREAKING BAD créé par Vince Gilligan (co-producteur de X-Files, aux frontières du réel) et diffusé depuis le 20 janvier 2008 sur AMC. Synopsis Walter White est professeur de chimie dans un lycée et vit avec son fils handicapé et sa femme enceinte. Lorsqu'on lui diagnostique un cancer du poumon en phase terminale tout s'effondre. Il décide alors de mettre en place un laboratoire de méthamphétamine pour subvenir aux besoins de sa famille. Une des meilleure série que j'ai vu depuis longtemps. Série courte (7 épisodes pour la saison 1), pleine de petits rebondissements et d'humour noir. La série à priori pète pas de mine, le personnage principal parait presque fade, effacé dans les premiers épisodes, mais c'est pour mieux révéler sa personnalité en pleine mutation. Si WEEDS ne vous fait plus rire, jetez-vous sur ce petit bijou ô combien plus osé et féroce.
  18. Burroughs était tellement camé à l'époque où il a écris le livre qu'il ne se souvient même pas l'avoir rédigé. C'est pourquoi le personnage de William Lee est coincé dans cette interzone et qu'il doit écrire des rapports, la rédaction de ces rapports sont justement l'image de Burroughs en train d'écrire le livre sans s'en rendre compte. Le livre n'est pas facile à lire, en effet, mais contrairement au cinéma, je trouve que la bonne littérature demande toujours un effort. Autant il est possible de faire un chef d'œuvre en réalisant un pur film de divertissement, autant la bonne "littérature de divertissement" n'existe pas (ou alors ce n'est plus de la littérature, juste une suite de mots imprimés sur du papier), lire de la bonne et vraie littérature demande un effort en soi. Ce film je le trouve magnifique parce que justement il aborde la question de la littérature sous l'angle de la dépendance. William Lee tue sa femme, et cela déclenche chez lui une culpabilité dont il n'arrivera à se défaire qu'en fuyant au fond de lui-même et en écrivant. C'est la raison pour laquelle à la fin il doit précisément réitérer l'acte fondateur avant d'émigrer dans ce nouveau pays imaginaire, afin de réactiver son inspiration. Cronenberg avait compris ça, je pense, c'est la raison pour laquelle il a à la fois adapté une partie du livre, en même temps qu'il a psychanalysé William Burroughs, en tentant de comprendre ce qui avait fait de lui un écrivain au début des années 50. Car n'oublions pas de replacer ce livre dans le contexte Américain des années 50. Naked Lunch avait été censuré à l'époque, la première fois qu'il a été édité, c'étais via une traduction, en langue Française ! C'est seulement au milieu des années 60 qu'il a été déclaré légal aux USA. N'oublions pas non plus que Burroughs, par des procédés d'écriture expérimentaux (cup up, écriture automatique) à littéralement révolutionné la littérature à cette époque, avant lui, peu de gens avaient usés de ces techniques en rencontrant un tel succès. Ce n'est pas parce que ces procédés sont rentrés dans les normes contemporaines (sont mêmes devenus quasi académiques, voir Georges Perec, le groupe Oulipo) que cela désamorce la bombe que de tels écrits ont produits sur le milieu de la littérature au milieu du siècle dernier. Enfin bref, tout ça pour dire que ce film, ces livres, et le personnage méritent vraiment qu'on s'attarde dessus, et que l'œuvre (ou du moins, le début de l'œuvre) de Burroughs reste un puits sans fond puisque le fruit de son inconscient. Beaucoup de gens sont revenus de la drogue pour écrire dessus. Burroughs fait partie des gens qui ont écrits "depuis" la drogue. From interzone, with love.
  19. Ce film est à la fois une adaptation libre du livre et une évocation de la vraie vie de William Burroughs (sa toxicomanie, son homosexualité, le meurtre accidentel /?/ de sa femme...), il n'est donc pas immédiatement compréhensible sans une certaine connaissance de sa vie/son œuvre. Une fois qu'on a pigé certains trucs, qu'on connait un peu la bio du bonhomme, le film devient vachement plus clair puisqu'il fonctionne tout en métaphore. Ce Festin Nu de Cronenberg fonctionne un peu comme le Mulholland Drive de Lynch, tous les éléments sont dans le film, il suffit de le voir et de le revoir pour assembler les morceaux. Cette adaptation est tout de même étonnement bien soft comparé au livre qui est d'une violence souvent très crasse. Dommage que Peter Weller ait un peu disparu des grands écrans après ce film...
  20. L'impatience me gagne, j'avais pas attendu un film comme ça depuis mes 13 ans...
  21. Bah, vous vous attendiez à quoi ? Les 3 autres sont chiants comme la pluie.
  22. C'est pas un peu tôt pour sortir un docu alors que le procès n'est même pas fini ?
  23. Selon Allocine, la version europeenne fera 2h40. Aux dernières nouvelles (interview vidéo), Kasso parle d'une version de 1h30 pour les USA et d'une version de 1h45 pour l'Europe. C'est quand même short pour raconter une histoire qui se passe aux quatre coins du monde et qui raconte l'avènement du post-humain... Il me tarde de voir cette grosse daube, quand même.
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