Jeremie

Des guests en passage éclair et et des affiches Non mais c'est quoi ce Bad Lieutenant en mousse ? Bordel vous avez pas pu defenestré Leo Carax Eh sinon ben ça y est, le buzz Martyrs commence

En fait j'étais parti pour voir cette chose : Mais c'était le film de Leonard dans le boitier en fait Je sais pas si j'ai vraiment perdu au change En tout cas j'ai passé un bon petit moment. Leonard emballe un spectacle carré typique de la vague Tech 90's, repiquant au passage des éléments aux pionniers du genre, c'est à dire son Cobaye (réalité virtuelle, toussa), Terminator 2 et Demolition Man (le good guy/bad guy qui se frittent dans un L.A futuriste, le méchant dont le corps a des vertus régénératrices...). Pas très original donc (on n'évite pas les clichés genre le duel final maousse ou l'insistance sur le trauma du héros), mais rondement bien mené du début à la fin. A défaut d'un plan nichon, Russell Crowe ne cache plus grand chose et il en fait d'ailleurs des caisses en méchant mongolo émule du T2000 et du Joker (costume violet, jokes à la ramasse, hyper violence...).C'est assez timide graphiquement parlant, ce qui est un peu dommage en vue du sadisme prononcé du personnage de Crowe. Forsythe a la classe et Tracy Lords apparait 2 secondes en tenue de cuir, moi ça me va

Un grand habitué des cash qu'on pouvait découvrir dans une autre vie sur le Quartier Interdit de Papy Dionnet. Notez donc le nom du réalisateur/scénariste/acteur Relativement séduit lors de la première partie du film : belles images malgré un petit budget, séquences troublantes, un peu de gore...et puis après ça tombe quand même bien à plat. L'histoire du petit puceau des champs qui rencontre une succube des villes, bof... Alors bon ça bavarde sec dans ce retour à blackspoitation pas très excitant, qui attend la dernière partie pour se lancer à nouveau dans des excés...ridicules. En fait, ce n'est guère étonnant que Troma est reprit le film pour leur catalogue : scène onirique à base de zombis degeus, une séquence pompée sur Videodrome, éclairages surréalistes, maquillages outranciers...y'a aussi Samuel L.Jackson qui débarque de temps en temps mais bon perso, la sauce n'a pas pris.

La suite va bientôt débarquer et il y aura un mode deux joueurs

Encore un de ces films que je me matais en boucle quand j'étais chiard...pas revu depuis des lustres. Et j'avais un bon souvenir du bouquin de Roald Dahl dont il s'inspire, "Sacrées Sorcières". Adaptation fidèle...sauf sur la fin, plus ouverte chez Dahl. Un espèce d'Harry Potter avant l'heure perd ses parents dans un accident de voiture, et trouve refuge chez sa sympathique grand-mère qui la met en garde contre les sorcières qui peuplent le monde. Et il aura bien raison d'en avoir peur... Moins crétin et moins fun qu'un Hocus Pocus mais plus sombre de ce que je me souviens (ambiance limite malsaine par moment) : ça sort des écuries de Jim Henson donc il y a des souris qui parlent et des sorcières avec des gueules pas possibles. Jolis fx justement. Etonnant de voir comment un réalisateur aussi à part comme Roeg s'exerce au film familial : c'est pas très personnel en fin de compte, mais parfaitement recommandable. Au casting, un Rowan Atkinson avant Bean, une Angelica Huston impériable et c'est très bien comme ça. Dispo en zone 1 avec st anglais.

L'affiche de Corben Classique du DA pour ado et adultes qui doit forcément tout aux petits frenchies de Metal hurlant Tout comme les Bakshi, ça reste un spectacle audacieux et gonflé (les nippon ont dû prendre des notes) mais ça a pris un beau coup dans le museau Heavy Metal mixte horreur, science-fiction, comédie et heroic-fantasy, les genres de prédilections du fameux magazine : ça change de ton violent violent, et ça passe pas super bien à la première vision quand même. Les mésaventures d'un taxi driver auquel Le cinquième élément doit tout, des morts vivants dans un avion, une secrétaire enlevée par des aliens junkies et vicelards, une grande et belle guerrière contre une armée de possédés...outre le taxi driver, j'ai une grande préférence pour Den, gros fantasme de geek bien concon ou un ptit maigrichon est transformé en simili-conan chauve Le lien entre les histoires est entretenue par le locknaar, entité diabolique et verdâtre traversant les âges et les siècles en causant effroi et catastrophes. Les couleurs pètent, c'est pas toujours très beau, mais on se régale, et la BO dépotent : Blue Oyster cult, Black Sabbath, Trust, Nazareth...

J'adore Déjà un guest, et ptite leçon à l'appui Plus le matériel publicitaire est bon, plus le film est une merde

Joli bestiaire en effet...et on peut les renommer

Je l'ai et c'est très très bien... Mais bon les créatures sont de plus en plus dur à choper, et au bout d'un moment j'ai tout laché. Impossible de m'y remettre. Mais c'est très bien quand même Et viva pinata party animals, c'est pas mal quand même

Le tout premier film que j'ai loué quand même A l'époque j'avais surtout le jeu SNES (non mais je rigole pas !) en tête, un sous Castlevania vraiment hard avec un univers gothico-barré qui devait justement beaucoup à la saga de Konami. Bien sûr, on est incontestablement loin du film... Souvenir donc d'une série B fadasse avec un Julian Sands classe mais qui ne fait pas grand chose : pas de souvenir de grandes scènes horrifiques (un doigt coupé, tout au plus) ni d'un film spécialement palpitant. Une poursuite à travers le temps assez convenue, avec en prime une fin terriblement coconne . C'est peut être à revoir...(Goldsmith à la zik quand même ) La suite lui serait franchement supérieure à ce qu'il paraît...

Sous le titre Mad Mission de ma vhs de Punch Video se cachait en fait le deuxième film de la saga hongkongaise est ce que j'y perd au change, ça je pense pas vu le résulat C'est bien simple CE FILM DÉBOISE SUR DES KILOMÈTRES !!!!!! Une histoire de quiproquos et de vol de diamants pretexte à un enchainement de gags et de course-poursuites complètement out : des motos, des bolides à faire palir toutes les caisses de James Bond, des robots à la Transformers multi-fonctions , du vélo, un jetpack... Sans oublier les scènes pifpaf de rigueur, dont une carrement apocalyptique dans un restaurant C'est la valse des tirs lasers, des coups de poings dans la tronche et des roquettes à têtes chercheuses ! Et y'a même Tsui Hark qui apparaît plusieurs fois en évadé de l'asile Du fun en barre et de l'action portenaweskque à son meilleur !

La série b d'horreur de Samedi Soir typique ! Un couple subit les foudres d'un petit spectre depuis que Mademoiselle a pris l'habitude d'utiliser un Ouija. La truffe ! On n'échappe pas donc aux petits meurtres gores (hache dans la teuté, empalement...), au plan nichon, aux sursauts en mousse (et y'en a un bon paquet dans le film ), aux scènes oniriques, et à la touche finale qui annonce une suite irrémédiable ! Rien de renversant à l'horizon donc, ça se laisse regarder, y'a un petit suspens et Tawny Kitaen (ex-Gwendoline !!) est quand même assez Waouh Peu de Fx par contre, si ce n'est quelques mouvements de Steady à la Evil Dead. Tout comme Watchers, Ghoulies, Curse ou Mirror Mirror et bien d'autres séries B de vidéo-clubs de cette trempe, Witchboard a eu droit à sa petite trilogie avec deux suites donc, la troisième étant une grande habituée des cash. Oui bon je suis pas pressé quand même de les voir

Découvert sur la vhs de American Video...ce qui est loin d'être le meilleur moyen de découvrir le film Ainsi débarrassé de son immonde v.f, Le géant de la steppe s'impose comme l'un des ancêtres des grands films d'Heroic Fantasy tels que la trilogie de Peter Jackson, Le 13ème guerrier, et on en passe... Ainsi Ilja Muromez, un gros barbu qui bombe le torse et balance des troncs d'arbres fraîchement coupés dans la mer (ça va plaire à quelqu'un ça ) part en croisade contre le terrible Roi Kalin, qui sème la terreur depuis trop longtemps. Gentille princesse, conseillé fourbe, dragon, démon, roi félon, danseuse exotique, bataille...rien ne manque quoi Bon perso j'aurais préfèré plus de coquinerie (les fifilles sont couvertes de la tête au pied ) et de sadisme (quelques empalements et c'est tout) à la naïveté et au patriotisme de l'ensemble mais bon hein Le truc c'est que justement, la vf est quand même imbuvable et rend la chose encore plus désuète qu'elle ne l'est déjà j'ai eu franchement du mal... Le rythme brinquebalant étonne à plus d'un titre : l'action est parfois carrément précipitée (on a l'impression qu'il manque des bouts de pelloche par moment ) et parfois, il faut le dire, on se fait un peu chier quand même. Là ou Le géant de la steppe est séduisant, c'est incontestablement dans sa forme : un beau scope, des figurants par paquet dans les scènes de batailles, des fx poétiques et efficaces, de splendides décors... ça arrache les yeux, et rien que la première scène avec ce géant déambulant dans les montagnes, c'est Mais bon là encore, un dvd ne serait pas de refus... (je vois bien la chose débarquer chez Bach Films, un truc du genre )

Et zou ! Ben voilà, fallait bien surfer sur la vague E.T En voilà un autre que j'avais zappé, et en fait, j'ai toujours trouvé ça plutôt pas mal Alysson Hannigan fait sa crise d'adolescence entre un Dan Akroyd fraîchement sorti de Ghostbusters et une Kim Basinger bien sexy en Alien coconne. Et c'était avant Boires et déboires Le scénario suit une ligne fort balisée, mais la Basinger qui fait n'importe quoi pendant tout un film (son arrivée à la réception ), ça me plaît bien Y'a aussi un oeil géant qui sort d'un sac à main, Jon Lovitz en eternel looser et Juliette Lewis fait la figuration là dans le fond. Bon ben voilà quoi, tout est dit

C'EST CHELOU ! Oui bon hum à la trappe donc

Ben voilà, fallait bien surfer sur la vague E.T En voilà un autre que j'avais zappé, et en fait, j'ai toujours trouvé ça plutôt pas mal Alysson Hannigan fait sa crise d'adolescence entre un Dan Akroyd fraîchement sorti de Ghostbusters et une Kim Basinger bien sexy en Alien coconne. Et c'était avant Boires et déboires Le scénario suit une ligne fort balisée, mais la Basinger qui fait n'importe quoi pendant tout un film (son arrivée à la réception ), ça me plaît bien Y'a aussi un oeil géant qui sort d'un sac à main, Jon Lovitz en eternel looser et Juliette Lewis fait la figuration là dans le fond. Bon ben voilà quoi, tout est dit

Encore une bizarrerie de Nouvelle-Zélande...mais bon perso, j'ai jamais su trop quoi en penser Pas grand chose à dire, si ce n'est que cette prod' suit les traces d'un cinéma australien avare en explications et en effets visuels : il faudra se contenter ici de mystères et de non-dits, et surtout de superbes images Oui mais à part ça ? Cette quête d'un jumeau pour son frangin sur une île maudite ennui assez vite, puisqu'en fait il ne se passe pas grand chose Atmosphère moite nappée d'angoisse sourde au programme, ça marche plutôt bien au passage. Mais ce film curieux et plutôt austère laisse un peu sur notre faim...en plus le semblant de zik est assez moche

Tiens je l'avais effacé de ma mémoire celui là En fait j'ai toujours beaucoup aimé chiard, et même un peu après Bon alors là grande question, de qui de ce Problem Child ou de Home Alone a copié l'autre ? Bon en fait y'a pas de grandes similitudes, si ce n'est qu'il s'agit de deux gosses terribles...et la même année en plus. Bon voilà Il n'y a pas la saveur du film de Colombus, mais il y a la vulgarité et la mechanceté qui lui manquait (pas trop) : souvenir d'un casting qui en prenait plein la gueule et d'un protagoniste principal qui semblait bien en profiter. Une vrai petite gueule de connard bon évidemment y'a un peu de bons sentiments, c'est comme ça, c'est la life Me rappelle aussi d'une excellente scène ou une sale petite bêcheuse voit son anniversaire mis à sac par le dit Junior Ah ben tiens la voilà Bon visiblement ça a bien marché aux USA puisqu'il y a eu une suite (porte nawesque et encore plus trash : merde géante, petite bitch, repas de cafard et un vieux qui boit de la pisse) et...encore une autre, et une série animée aussi

Une gentille petite merde qui sert à rien, bourrée de bons sentiments et finalement complètement à côté de la plaque. Voilà

Et ben ça y est, Hostel fait des petits ! Après l'Australie, la Roumanie, le Brésil et la campagne française, le Mexique ! Ben oui, faut bien passer par là... Un peu mitigé à la vision de ce choc des cultures entre une secte mexicaine sanguinaire et un trio de touristes américains venus au pays des tortillas pour s'enfiler des pépées. Des qualités pourtant, ce Borderland en a a pas mal : dans l'ensemble c'est relativement sérieux, vraiment très violent (un protagoniste se fait charcler à coups de machettes par une dizaine de psychopathes )...mais je sais pas, le sujet se prêtait vraiment à quelque chose de plus remuant, de plus fou encore (bordel, pas un sein ). Mise en scène léchée mais un peu clipesque quand même, c'est du tape à l'oeil à la Scott et c'est emballé en Scope. Bah, ce sera toujours mieux que la fadeur d'un Tooth and nail... Boderland c'est le dtv bien emballé pour le Samedi soir, point barre. A revoir, ça je sais pas, ça manque de sang neuf et je m'attendais à une confrontation finale un peu plus épique et maligne (faut voir comment le big bad guy meurt, une vraie merde ). Mais bon dans le genre, y'a tellement pire, je conseille quand même de lui laisser une petite chance Et pis bon Martha Higareda, on en mangerait à toutes les sauces FORMIDABOUL

Vous me direz "ah mais oui mais là t'as sauter toute la saga ?" Bah spagrave J'ai toujours eu des échos très positifs de ce quatrième volet, considéré comme le meilleur des quatre films...et en le voyant, je me suis posé bien des questions Aucune nouveautés en vue à part le fait que les Templiers sacrifient en hommage à une divinité lovecraftienne : l'idée est sympa, mais en fait à change rien. Un couple débarque sur une île ou les Templiouches sèment la terreur depuis des siècles, et décident de faire bouger tout ça. Super... C'est vraiment très chiant, pas franchement renversant plastiquement parlant (de la nuit américaine tartinée de vaseline, merci bien) et les filles sont bien. J'aime bien l'intro avec les templiers qui capturent une paysanne pleine de seins. En fait Ossorio aurait dû s'arrêter au premier film quand même Par la suite, Franco reprendra la saga à sa sauce dans La mansion de las muertos vivientes, et les Templiers reviendront rapidos dans La cruz del diablo et La furie des vampires. Voilà

Classique du cinéma d'horreur espagnol avec son lot de vieilles brindilles zombiesques. Découvert sur Quartier Interdit puis revu sur Arte : en voyant les autres films, on se dit quand même que Ossorio avait déjà tout dit là. Le réveil des morts, les chevauchées au ralenti (et le fameux gag involontaire du cheval escargot ), les jolies filles, le huis-clos face aux templioches, les chœurs ténébreux... A cela se greffe une très jolie scène évoquant le cinéma de Bava...l'idée de contamination sera d'ailleurs laissée sur le carreau. C'est con. Je dois avoir une bande annonce française qui doit trainer sur une vhs, à se tordre de dire : la voix off n'arrête pas de beugler HORREUR ! TERREUR ! LES MORTS VIVANTS ! HORREEEUUUR !!

Demain pentecôte, donc si jamais certains peuvent passer vers 23h (ou plus tard) pour un carnage en bonne et due forme... je pense y faire un tour après un ptit film

J'aime pas trop Will Smith et les super-héros à la base mais là, chais pas, ça m'emballe bien 2008, l'année des super heroes qui defouraillent tout ? C'est bien parti....

Ben en fait, tout le monde en parlait déjà dans le topic Punition Bon ben sinon pareil : le virage que prend Justice est assez...innatendu, et c'est en effet bien gaulé. Mais bon bordel, c'est clairement limite limite