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Jeremie

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Tout ce qui a été posté par Jeremie

  1. Dernier grand film des anglais non-sensiques et sans aucun doute mon préféré des trois (le best-of Pataquesse et le live n'étant pas des longs métrages à proprement parlé) Bon ça n'empêche que ça reste un brin inégal et assez bordélique (le côté film à sketchs), mais bordel qu'est ce que ça défonce Beaucoup de moyens, ça verse sans complexe dans le trash (le flot de vomi ininterrompu et l'arrachage d'organes sont restés dans les mémoires ) et la parodie (Zoulou, Oliver, et surtout Le septième sceau avec un magnifique, et même assez inquiétant, plan d'ouverture), et l'ost est géante Mais Le sens de la vie, c'est surtout LA MEILLEURE SCÈNE COMIQUE DU MONDE ENTIER ! - And it went...wherever I diiiiiiiiid goooooooooo !! La chanson du sperme qui met une pêche d'enfer THE SAUMOOON MOUUUUUUUUUUUUSSSSSSSSSSS !!!!!
  2. Jeremie

    Ratboy - Sondra Locke (1986)

    Chopé sur la place St nicolas l'autre jour et la vhs est apparemment niquée. Et vu vos avis, c'est mieux comme ça apparemment
  3. J'avais déjà beaucoup aimé La galaxie de la terreur, et là le constat est tout aussi positif (bon deux crans en dessous quand même, parce que le scènar... ). Y'a tout c'qui faut : un peu de nichons, un peu de gore, réalisation sympathoche, quelques fx kitchs...et surtout le gloumoute, qui prend une place énorme et m'a fait bien marrer à sa première apparition avec son grand sourire de gros pervers Rien de transcendant, mais ça a du charme, et la zique ultra synthé est bien rigolote (celle de la scène de cul balance bien bordel ). Voilà, c'est bien
  4. J'adooooooooore ce film !! Encore un cas de film maudit, peut-être pas du point de vue de ses problèmes de productions (enfin ça en fait, je n'en sais strictement rien) mais peut être de sa distribution discrète contribuant davantage à rendre l'œuvre insaisissable, inclassable... Dans un coin perdu où l'on ne voit que des champs de blés à perte de vue, le petit Seth passe le temps avec ses copains à faire éclater des crapauds et à faire les 400 coups. A la maison, c'est loin d'être le panard : une mère psychotique et un père pompiste trainant un passé houleux, un frère revenu de la guerre (VIGGO MORTENSEN déjà bien furibard et top classe). Au milieu des carcasses rouillés et des meubles puant l'essence, le petit s'invente un monde macabre le faisant rapidement perdre pied : ancré dans ses certitudes, il accuse sa veuve de voisine d'être un vampire... En résultat une œuvre forte et ambiguë, grouillant de personnages tous aussi fatigués les uns que les autres, crevant à petit feu dans un cadre hors du temps, doré et amer, évoquant tour à tour les peintures de Magritte ou de Wyeth; telle que celle-ci : Ambiance faussement doucereuse quand même, on flotte entre Jeux Interdits et La nuit du chasseur, avec un petit détour par Twin Peaks : un ballet de névroses, de colères et de dépressions, avec en toile de fond des meurtres d'enfants et des discussions avec un foetus en décomposition. Ridley multiple les mystères, caresse la terreur, comme avec cette voiture noire aux conducteurs lugubres emportant les personnes qui ont le malheur de monter dedans ; et sublime à chaque instant ses images, verse dans un lyrisme déchirant : le discours du personnage de Lindsay Duncan (exceptionnelle, et qu'on reverra dans la série Rome) et la mort du copain de Seth m'arrachent des frissons à chaque fois et cette fin La musique de Nick Bicat (inconnu au bataillon donc) est divine...et jamais commercialisée Bordel, vivement une réedition ! Quant à Ridley, il récidivera avec le tout aussi onirique Darkly Noon, plus sophistiqué visuellement et plus furieux, mais un cran en dessous tout de même. Sa trilogie est à ce jour inachevée
  5. Revu aujourd'hui et un peu la même impression, à savoir à la fois ravi et un peu dégouté. Un casting qui envoit, une belle histoire cruelle, des images absolument magnifiques (ce Scope !!!), très bonne o.s.t (bien qu'il y ai un leitmotiv musical qui revient un peu trop souvent, même lorsque ça ne s'impose pas)...mais je reste une fois de plus perplexe face au montage de certaines scènes (la mort du flic d'abord, lorsque Pearl s'approprie l'enfant aussi, les attaques de Sonny ou l'incendie de la planque). Le plus flagrant étant lorsque Sonny se trouve face à une foule de rednecks, avec un plan le montrant en train de sauter au ralenti, on a droit à quelques plans dans un bar puis sur Carradine et puis "3 jours plus tard" on le voit sain et sauf fricotant avec la gentille blondasse (qui l'a retrouvé on ne sait comment). Et là encore, les compagnons de Pearl retournent leurs vestes un peu brutalement mais bon... La V.F catastrophique (les persos principaux en prennent plein la tronche, surtout Sonny) m'a laissé penser que l'ensemble gagnerait très largement en v.o... Bref, je soupçonne des coupes, en témoigne la scène de l'anniversaire, mais aussi "o surprise" vu la présence de Assonitis à la prod' chose que je n'avais pas remarqué jusqu'à présent et qui m'a confirmé un peu mes craintes...
  6. Jeremie

    Crime Zone - Luis Llosa - 1988

    Mais non...enfin !! On verra En même temps, qui voudra des vhs usées de films merdiques, et la plupart du temps sans jaquette (oui je reprend souvent les covers )
  7. De la prod Corman fin 80's signé par un certain Luis Llosa...ah ben oui, Anaconda et L'expert donc on est bien tiens Aucune surprises à l'horizon : la jaquette claque et s'avère aussi réussi que le film est loupé. Un gentil couple s'aime dans un futur post-apocalyptique surveillé 24h sur 24, mais faut pas parce que l'amur c'est interdit. Il y alors monsieur David Carradine qui cachetonne qui débarque et qui propose des les aider. Great Les premières images ne trompent pas en tout cas : le budget est riquiqui (ça a été tourné à Pérou ) et il faut être bigleux pour pas le voir. Quelques rues pourraves filmées la nuit, quelques figurants mal habillés et surtout des Néons partout. C'est simple on y échappe jamais : sur un billard, dans la rue, sur les lits, sur les gens...illusion parfaite quoi Bref, non content d'être moche, mal rythmé, et filmé comme un cul (c'est plat, mon dieu, c'est plat), Crime Zone est bien propre sur lui et ne cherche jamais à faire trop d'étincelles (0 explosion ). Du coup, on s'emmerde encore plus... En vain, Llosa brasse 1984, THX 1138 et Blade Runner, mais en fait on s'en branle : de tout ça, ne surnage que la silhouette divine d'une Sherilyn Fenn au look "Madonna garçonne". On voit ses seins, c'est bien. Si tu veux cette sombre merde La Wonk, tu me fais signe...
  8. Une production Nico Mastorakis, soit presque le seul réalisateur grec du cinéma de genre...mais bon là, ça vient pas du pays de la moussaka Un surprenant survival rural, assez peu connu (voire même pas connu du tout) et mettant en scène de très jeunes héros face à des adultes pas franchement sympas, un peu à la manière de Fortress. David et Lynn viennent de perdre leur père et doivent se rendre chez leurs grands-parents, la mort dans l'âme. Pourtant, même dans ce cadre estival à quelques emcablures des buildings de L.A, l''horreur guette... Ainsi, le petit David semble incapable de faire confiance à ses grands-parents, accumulation de non-dits et cauchemars alarmants oblige. Et le cauchemar devient réalité le jour où les deux curieux découvrent une prisonnière dans la cave de la maison. Et c'est parti On aurait pu avoir là un grand film, tant Grandma's house est efficace et audacieux (le twist final, gloup ), mais il rate le coche de peu : rythme branquebalant, quelques incohérences mais surtout des scènes de violence dangereusement loupées pour la plupart. En témoigne cette scène où un policier se fait poignarder sauvagement : un peu de sang séché sur les vêtements et hop Dispo en zone 1...notez aussi qu'on y trouve la vilaine Brinke Stevens
  9. On navigue un peu entre la suite (on retrouve le temple de l'orchidée) et le remake (encore un jeune bridé qui tombe amoureux d'une fantômette...et on le comprend ) pour ce dernier opus bien too much, et encore plus grand-guignolesque ! C'est peut-être pour ça que je le préfère d'ailleurs Un moine, son maître et un guerrier se retrouvent ici confrontés à une triboulée de fantômes/démons pas sympas, dont deux succubes bien miam. D'ailleurs elles offrent un bel aperçu de leur pouvoir lors d'une scène de massacre bien Waouh le coup des roulages de pelles mortelles et des cheveux étrangleurs, ça c'est tip top La recette ne change pas par rapport aux deux autres : érotisme gentillet, quiproquos rigolos, pleins de Fx inégaux, (dont quelques CGI à pleurer ), des idées impensables (un sabre sur lequel on surfe ou un temple doué d'une vie propre qui se réveille dans la dernière bobine ) et un évincement presque total du romantisme cher au premier film. Tsui Hark livrera son remake animé dans les 90's, et Ching Siu-Tung tournera un clip à bases de longues langues avec Farmer
  10. Suite directe du premier film...et on a beau en perdre un peu en poésie, c'est toujours aussi bien ! Bref, ça marche au "bigger-faster-lourder" et c'est rudement divertissant : j'aime beaucoup cette intro un peu glauque dans le village de canniboules Et pis ça s'arrête pas : le pauvre Ling Choi Sin atterrit en prison, vole un cheval, se fait attaquer par des mercenaires deguisés en fantômes, affronte un gros monstre trop moche... Des quipropos cul bien con-con aussi et des actrices Ohlala Joey Wang !!! Y'a aussi les fameux gags tournant autour du pouvoir d'immobilisation, un mec qui se fait mettre en pièces, un prêtre bizarre qui a une voix de femme en vf (oui ben on peut pas tout avoir ! ), un dragon...d'ailleurs ça part un peu en sucette vers la fin Bon voilà, c'est bien bien
  11. Excellente petite prod de SF maintenant oubliée. Les créatures made in Chiodo Brothers ont de la gueule et j'ai le souvenir d'une attaque de sales mioches assez impressionnante. Faudrait que je le revois tiens
  12. Drôle de petit film hésitant un peu entre le psycho-killer movie à la Maniac, et le Slasher 80's. Wiederhorn emballe le tout de manière carrée, il y a quelques meurtres gores signés Savini qui font bien plaisir (la décapitation ouvrant le film). Faut pas s'attendre quand même à la classe impériale de ce côté, quelques coups de lamés par ci par là et basta... On passera un peu à côté d'une héroïne qui prend parfois des risques inconsidérées et s'attirent plus d'ennuis qu'autre chose (la scène du balcon ) à contrario d'une Jennifer Jason Leigh touchante en jeune fille sourde-muette-aveugle anticipant déjà une carrière jalonnée de rôles sulfureux ou pathétiques (junkie, catin, psychopathe, victime en puissance...). Sa confrontation avec un John DiSanti vraiment inquiétant restera dans les mémoires en tout cas A découvrir chez Warner avec une horrible jaquette à un prix dérisoire.
  13. http://www.jeuxvideo.com/videos_editeurs/0001/00016148/mortal_kombat_vs_dc_universe_f1q0.htm Je rêve de voir Catwoman se faire fist-fucker par Goro
  14. Putain j'avais complètement oublié qu'il y avait Forsythe comme on le reconnaît trop pas Deux affiches en HQ, et sans logo merdeux
  15. Fini de le voir ce soir (n'est ce pas Nico ? ) et bien que l'aspect Neo-Western ne me transcende pas plus que ça, c'est clairement de l'action carrée et giga efficace qu'on a l'a. Nolte ultra charismatique, fronce les sourcils pendant tout le métrage et Boothe a la classe...itou pour le groupe de soldats "défunts". Idée excellente d'ailleurs. Hill se prend pour Peckinpah et ça lui va bien : le film se suit tranquillement jusqu'à une dernière partie ça traine pas, du sang, de la poussière, de la testostérone : Wild bunch style quoi ! Ceci dit je préfére encore Sans Retour
  16. http://www.trevorvanmeter.com/flyguy/
  17. Oulala comme ça va pas du tout !! J'ai une grande passion pour le premier volet, exemple type de la série b d'horreur decomplexée, crétine et originale, mais alors là... Très déçu puisque visiblement c'est toujours Hickox qui reprend le flambeau...ce dont on n'a visiblement pas l'impression Waxwork 2 reprend là exactement où le 1 s'est arrêté, avec cette émule de La Chose venant foutre le boxon dans l'appart de l'heroïne. Plus de musée de cire cette fois, mais des voyages dans le temps et les dimensions, ce qui donne toujours l'occasion pour Hickox de rendre hommage aux classiques du genre : Frankenstein, Zombie, Nosferatu, Alien, Godzilla...le rythme y est particulièrement bordélique, et même les mises en scènes. En gros, c'est plus Z que B par moment... Souvenir donc d'un truc assez moche (toute la partie HF, parfaitement laborieuse, est interminable), pas toujours bien gaulé (le passage avec les Aliens est parfaitement illisible !!), mais qui ne manque pas d'idées (le segment dans la maison hantée avec Bruce Campbell est sympathoche). Dans l'ensemble, ça a foutrement moins de charme que le premier en tout cas... Et dire qu'un troisième film a failli se faire
  18. Jeremie

    Vorace - Antonia Bird - 1999

    Pareil que certains, j'avais été assez déçu à la première vision sans trop savoir pourquoi A la revoyure, Waouh La rencontre audacieuse du canniboule-movie, du survival et du Western : c'est impeccable de bout en bout, et euh...ben nan y'a tout La chute de la falaise mon dieu L'un des meilleurs représentants du genre à la fin des années 90, et un vrai miracle qu'on a tendance a un peu occulté parfois...
  19. Itou, c'est bien arcade, bien sympa, pas trop moche...mais c'est clairement lassant à la longue
  20. Ah c'est sûr que après Ladyhawk, Legend et Conan le barbare, ouille ouille ouille Bon en fait non, c'est quand même pas mal Ron et George décline Star Wars à la sauce HF où les baguettes magiques remplacent les sabres lasers et où les Wookies sont des Trolls Dans le fond, Willow ne vaut donc pas tripette (il faut sauver l'orphelin de la vilaine mocheté ! Alors incarné d'ailleurs par Jane Marsh, qui tenait presque le même rôle en 85 dans l'excellent Return to Oz ), et ça reste puéril sur bien des aspects (Val Kilmer en fait des caisses, les deux nabots ne sont absolument pas drôles et un nain se prend une merde de pigeon sur la gueule)...mais mais il y a quand même une belle patine, des Fx bien bien (premiers pas du morphing) dont un dragon avec une drôle de gueule en fin de bobine. Et il y aussi UNE CHÈVRE QUI PARLE Et du coup ça se laisse suivre avec plaisir quand même (la scène de la luge, ou la dernière partie qui pète bien quand même) et le film ne trouve jamais son public Jamais pris le dvd (pourtant à ce qu'il paraît très bon) mais la jaquette m'en dissuade en permanence... J'adore cette scène
  21. La version sortie par MK2 est d'ailleurs incomplète Et il n'y a que celui-là en effet
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