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Jeremie

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Tout ce qui a été posté par Jeremie

  1. Un classique. Le genre de film dont on ressort sonné, réalisé six ans après un L'important c'est d'aimer tout aussi démentiel. Bon je vais pas rabacher le pitch que tout le connait, sorte de vaudeville dégueulasse et infernal avec une Adjani complètement out of control. La scène du métro, mythique, en témoigne. Une jolie créature bleuargh signée Rambaldi et une violence explosive : faut voir justement comment la demoiselle se débarrasse de ceux qui s'approche de trop près de son amant tentaculaire. Climat poisseux décalé et décors délétères : la séquence finale est aussi tonitruante incompréhensible. Un des plus cauchemardesque film de genre français (oui bon c'est aussi allemand ) avec Le locataire, conte urbain tout aussi frappé de la carafe. Pas mal de coupes coupes : ma vhs de TF1 ne comprend pas par exemple la mort de Marge. Et pour les dvd, anchor bay s'est pas trop cassé le cul avec leur édition en mousse. Bref, wait and see quoi
  2. Jeremie

    The Fall - Tarsem Singh (2006)

    Et j'aime The cell malgré son rythme defaillant...donc j'attend celui là avec impatience. Et quel trailer
  3. Vu à l'instant. Jamais pas trop aimé le premier, un peu pantouflard malgré quelques bonnes scènes et le Maniac cop en question. Là c'est mieux quand même. On reprend là ou s'arrêtait le premier, le Cop gagne en presance, et le film en rythme. Un bus qui défonce tout, un carnage dans un commisariat, une tentative de combat à la tronço...c'est bien, c'est top. Robert Davi a la classe, la vf est pourrie, mais bon, Z'dar rachète le tout avec son maquillage tout loupé : il pèse total, et lorsqu'il envoit valdinguer un flic à travers tout le commissariat, c'est M'enfin bon, je trouve que le perso aurait pu être mieux exploité (comment ça jamais content ? ). La meilleure scène du premier film, à savoir le combat dans les douches sur fond de musique giallesque surfrappe tellemment que Lustig l'a recase en entier dans le film je sais pas si c'est bon signe mais bon...enfin moi ça m'évitera de revoir le premier VOUS POUVEZ GARDER LE SILENCE....POUR TOUJOURS !
  4. Itout, mais c'est je pense le cas de beaucoup de monde en fait ON DIRAIT QU'ON MARCHE SUR DES GATEAUX SECS !!
  5. Encore du bon cinoche 80's ça et un peu oublié aussi faut dire avec la jaquette qu'on se mange en dvd L'un des rares films à nous parler de ces malédictions amoureuses si récurrentes dans la littérature moyenâgeuses, des Lais de Marie de France en passant par Mélusine. Ici un couple est séparé par un évêque démoniaque au moyen de la magie : le jour, madame devient faucon, et la nuit Monsieur devient loup, ce qui les empêche malheureusement de vivre leur passion amoureuse. Mais un petit brigand va venir à leur rescousse... Bon alors ça reste grand public quand même, et le moyen-âge dépeint, bien que réaliste, n'en fait jamais trop. La fantasy se fait discrète, uniquement présente à travers l'évocation de cette malédiction : le trio Broderick/Pcheiffer/Hauer fonctionne farpaitement, les paysages sont beaux, c'es émouvant...oui bon voilà quoi, le bon petit film d'aventures bien emballé La mort du bad guy est Seul problème, la musique complètement anachronique qui fait mal aux oreilles C'est quand même un bel affront...
  6. Découvert il y a plus d'un an grâce à la splendide édition de No Shame : et ça fait toujours rudement plaisir de voir de "grand petit film" comme celui-ci se manger l'édition spéciale qu'il mérite amplement A ce titre, il suffit de voir les premiers courts de Baino pour se dire qu'on a un nouveau talent sur les bras : un ado enfermé dans la caisse de ses rêves dans le premier, et une course-poursuite glauquasse rappellant fortement Clive Barker pour le second. Pour un premier long, Dark Waters en impose vachement quand même : il a beau être traversé de personnages limite désincarnés, il y a là la découverte d'un univers onirique qui a la saveur des cauchemars les plus planants. L'influence des maîtres italiens est perceptible, mais ne dévore jamais les ambitions de Baino... Le scénario faussement tordu n'est pas plus passionnant que ça(encore le coup du "retour à la source traumatique qui fait ressurgir des secrets pas beaux") mais qu'importe, Dark Waters est sans aucun doute l'un des plus beaux film de genre des 90's. La faiblesse du budget ne se ressent jamais, si ce n'est lors des apparitions d'un gloumoute vers la fin, assez furtif de toutes façons. Dark Waters subjugue d'autant plus qu'il est la meilleure adaptation de Lovecraft à l'écran...sans pour autant l'adapter officiellement. Même chanson que pour In the mouth of madness en quelque sorte... Tous les projets de Baino tomberont à l'eau (il avait prévu l'adaption de Rituels de chair ), mais il pondera tout de même un autre court...hélas plus pantouflard que ses précédentes oeuvres.
  7. Une bien étrange coïncidence alors
  8. Vu il y a un sacré bon moment sur 13ème rue à une époque ou la chaîne était encore intéressante et ça reste quand même l'un des meilleurs slashers des 80's... Un slasher assez particulier tout de même, puisque nous avons là un quatuor de serial-killers (dont un pédophile, un pyromane et un hémophile) et non pas juste un vilain monsieur masqué. D'ailleurs il y a un clin d'oeil plus que prononcé à Friday 13th La scène la plus slasheresque du film est un grand moment : une donzelle est piégée sur son lit car euh...oui bon vous avez qu'à voir le film Un casting de fou, un zombie (élaboré par un Savini de passage), du rock, une sacré bonne tension...c'est bien Le zone 1 n'a rien pour lui et la jaquette est affreuse putain quand on voit la gueule des affiches d'époques
  9. Ce serait plutôt bien qu'un éditeur américain (pourquoi pas français ? Ben euh... le film est inédit chez nous, voilà ) se penche sur cet obscur bis d'ailleurs disponible en dvd en Allemagne et en Italie...mais sans les bons sous titres Une histoire de petit blondinet aveugle qui retrouve la vue le temps de quelques visions cauchemardesques, tentant en vain de sauver sa belle frangine d'un séducteur qui serait en fait le diable... Bref, une espèce de bondieuserie qui n'en ai pas une réellement, reprenant la vision putride de Venise tel qu'on pouvait l'apercevoir dans le classique Ne vous retournez pas. Il y a quelque chose de très Fulcien dans cette petite prod' qui ne prend pas de pincettes lorsqu'il s'agit de violence graphique; Nero Veneziano n'est pas très adroit mais il reste indubitablement un spectacle délétère assez surprenant : bal masqué morbide, décapitation, crucifixion, cadavre en putréfaction, décors decrépis...jusqu'à la scène finale qui ose vraiment tout Plus jamais ça, comme dirait l'autre La zik de Donnagio est pas mal aussi dans mes souvenirs.
  10. Avant son Cobaye et son Programmé pour tuer, Brett Leonard avait quand même verser dans le gore craspec Le cachotier ! Une très jolie meuf amnésique débarque dans un hôpital psychiatre hanté par un savant fou, qui utilisait autrefois le sous-sol pour se livrer à des experiences pas nettes. Et c'est vrai que c'était pas nette puisque des zombies débarquant carrement dans l'établissement et font peur à tout le monde. On a quand même bien du mal à prendre au sérieux tout ça (la vf n'aide absolument pas, faut le dire) et c'est peut-être pour ça que c'est pas mal en fait Il y a bien une ou deux scènes de couloirs trop longues, mais les quelques éclairs gores et la belle poignée de zombinos font passer un bon moment. Et pis bon, l'héroine est top sexy et on voit ses seins dans une scène de tortures onirique totalement gratuite Fallait bien ça !! L'éditeur Code Red le ressort en Unrated director's cut (tension hein ) mais y'a pas de st, donc bof. En même temps, vu les dialogues
  11. La rediff' du second Indiana me fait penser que la scène du sacrifice a été reprise à l'identique dans le film de Levinson Bon bref en l'état ce Young Sherlock Holmes fait quand même parti du best of the best des 80's avec ces fx top top (la stop motion côtoie les premiers balbutiements des CGI) et son ton justement très Indianajonesque. Et il y a de quoi soupçonner Harry Potter de lui avoir repris quelques éléments (rien que le rival blondinet à la Malefoy...).
  12. Petit bis 70's bien connu pour son parfum de souffre...et la relative déception qu'il laisse trainer derrière lui. Inutile de rabacher qu'on aura droit à un grand moment d'euro-trash : Avere Vent'anni est ce qu'on pourrait qualifier une fausse sexy comédie. Di Leo, qui a surtout taté du flingue dans sa filmo, hésite entre comédie amère et drame light, jusqu'à une conclusion versant dans le domaine du Rape and vengeance. On sera tenter de dire que le film devient vraiment intéressant, une fois terminé Alors oui bon, il y a deux filles de vingts ans pleines de seins qui s'incruste dans une communauté hippie et qui s'envoient en l'air : ça se laisse voir mais au bout d'un moment, un certain ennui s'installe quand même. C'est pas franchement drôle, ni très intéressant. Que reste t-il alors ? Un ton grave mais pas trop et de jolies actrices, surtout la Guida évidemment, qui est la plus belle blonde du monde. Voilà. Quand au final (que presque tout le monde connait sans avoir vu le film), il distille un malaise tenace mais se révèle quand même assez soft comparé à la démesure de nombreux films italiens de l'époque. Mais sa radicalité fait quand même froid dans le dos... L'intro avec la zolie chanson de la Guida justement : et Gloria donc
  13. Melki powwwwaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!
  14. Spamal, spamal. Bon c'est la fin du monde à cause de la pénurie du pétrole et d'autres choses, donc voilà, un groupe de jeunes adultes sont retranchés dans un ancien hopital. A l'arrivée d'une nouvelle tête tout se bouscule : le soir même, le leader (et senior) du groupe est sauvagement assassiné. Une troupe de punks cannibales attendent en fait patiemment la nuit tombée pour s'infiltrer dans le bâtiment... Post-nuke, film de siège, survival : on mixe tout ça et on pense très fort à Doomsday. L'ensemble manque un peu de pêche, c'est pas très rythmé, réalisé sans grande passion, mais il y a des attaques qui charcle (les barbares sont vraiment trop mal zappés par contre ) avec au programme coup de massue, acide sulfurique, hache et on en passe Michel Madsen sifflote trois ptits coups hache en main et finit par mourir comme une merde. L'heroine se croit caremment dans The Descent à la fin, confirmation que Mark Young est très (trop ?) attentif aux leçons de Neil Marshall, mais quelque part, on aime ça Piteur, faut que tu vois ça !!
  15. PUTAIN J'ADORE CE VISUEL Vu d'un coup d'oeil sur Cine Cinemache il y a sacré bon moment... La fox ne se casse pas le cul et nous pond un ersatz de Freddy 3 qui a, avouons-le, bonne gueule, Mais bon, dans le genre ersatz on a fait plus discret : le cadre principal est encore un hôpital, le bad guy est un vilain spectre brulé qui s'infiltre dans le rêve de ses victimes (Richard Lynch, avec une gueule encore plus portnaweskque) et l'heroine est incarnée par Jennifer Rubin. Bon ben carrement quoi Souvenir d'un film assez gore et bien léché visuellement...mais c'est à revoir. Dispo chez Anchor bay sous le titre Bad Dreams. Mais pour ce qui est des ST et des bonus, c'est niet.
  16. Premier volet du dyptique des aventures de Ochô Inoshika, quand même honoré par Norifumi Suzuki et Teruo Ishii. On a vu pire... Ocho Inoshika poursuit inlassablement les trois assassins ayant commis l'assassinat de son père, alors qu'elle n'était qu'une jeune enfant : élevée dans un orphelinat ou elle fut initiée au vol, entre autres, sa croisade prend une nouvelle tournure le jour ou un quidam lui livre une mission avant de rendre l'âme sous ses yeux. Avec Suzuki, tout est permis, et c'est pour ça qu'on l'aime ; bien bien dans le ton des pinky de l'époque, le film n'ursupe jamais au grand jamais son titre. Reiko Ike, appétissante, livre des combats n'ayant rien à renier à sa cousine Lady Snowblood dans son plus simple appareil et Christina Lindberg de passage au Japon, montre ses seins et son cul parce évidemment, elle joue le rôle d'une espionne sexuelle. La divine poupée de chair y dévoile sans complexe sa plastique de rêve, n'oubliant pas au passage de manier le gun Je t'aime Christina !!! Des coups de sabres dans la neige, du bondage, un corps de femme empoisonné, un amour tragique, une scène de flagellation ou Suzuki annonce sans détour son très fameux Couvent de la bête sacrée et même des capotes (!!!??) : bon bref, c'est quand même le haut du panier du cinoche d'exploitation nippon. Et dire que Suzuki n'a jamais tourné de Sasori (bien que Ito dévoile une imagerie baroque très semblable en fait). C'est bien, achetez-le
  17. Jeremie

    [Cult Epics]

    Formidable éditeur qui nous a ressortis une belle poignée de Brass et de Borowczyk, mais aussi du Arrabal, du Bettie Page, du faux snuff et on en passe. Les derniers sortis : Bref, une collec qui sent la chatte et la cadavre en décomposition, charmant quoi A venir : Intérieur d'un couvent (on s'en fout, il vient de sortir chez nous), L'urlo (du Brass soixtante-huitard), les films d'animations de Borowczyk (yes !), la collection Rene Daalder (avec Les baskets se déchainent !!! FUCKING GREAT !) et American Nudes (mais ça on s'en fout).
  18. Jeremie

    [Synapse Films]

    Pour ce début de mois, il vient de sortir Party 7 et Karaoke Terror (c'est vrai que ça fait peur un karaoké ), deux trucs nippons sortis de nulle part apparemment bien branques. Pour Juillet, voilà que Madame O (un Rape and vengeance nippon apparemment bien moche...comme son héroïne qui ressemble à un trav' ) débarque, ainsi que deux films de cul (dont un avec Christina "on t'aime" Lindberg) et surtout Lucker the necrophagous, psycho killer belge avec une scène de nécrophilie bien corsée, qu'on va pouvoir enfin voir dans une copie décente.
  19. M'enfin, c'est pas possible J'avais cherché à Suzuki bordel !!!! Bon ben adios alors
  20. Jeremie

    Les RDV du Xbox Live

    Bon ben flop flop... Beaucoup de monde occupé et d'autres qui n'ont pas eu accès à tous ce qu'il fallait : pas grave, je pense que les occasions ne manqueront pas à l'avenir
  21. Jeremie

    GTA IV

    En effet On peut ensuite choper avec l'ordi tous les connards du coin et se prendre pour Bronson
  22. Qui pompe Frazetta sans vergogne.
  23. C'est pas mal du tout mais un peu déçu quand même... On stresse de temps à autre mais les vrais gros frissons dans l'échine que j'avais tant attendus n'ont pas été vraiment de la partie, et à ce titre il faut attendre la dernière partie pour que ça bouge bien bien : Contrairement à un Cloverfield qui carburait à l'action non stop, les deux spanish se perdent un peu avec leur explication, et leur personnages sont finalement plus ridicules qu'autre chose (la moman stressée de la life, le couple de vieux croutons, le vieux séducteur à deux francs, le couple de chintoks qui capte rien...). Pour le coup, je pense que A louer et Fragile m'avaient fait plus forte impression quand même...
  24. Jeremie

    GTA IV

    Itou que Steve les codes sont à composer avec le portable : c'est simple, seule les 3 premiers chiffres changent. Pour le reste c'est 5550100. L'helico de la police c'est top en effet, et on peut enchainer des suicides de toute beauté En tout cas, la collection d'armes en a pris un coup : adieu machette, tronço, mines, exincteur et autres machine gun C'es triiiiiiiiste ! Mais le bazooka trouve une nouvelle jeunesse : adieu les effets de lumières/fusées tous pourris Sinon, j'ai chopé un camion de glace et putain les musiques sont super glauques
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