Aller au contenu

Jeremie

Membre ZoneBis
  • Compteur de contenus

    6 910
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par Jeremie

  1. Jeremie

    Les RDV du Xbox Live

    SALE FOU !!! Donc je propose un immense...euh, quelque chose à GTA 4 donc pour Samedi Soir je dis "quelque chose", car justement les choix ne manquent pas... Et j'ai envie de dire, micro ou pas oui pensons à ceux là Je ne suis pas encore sûr d'être totalement disponible pour toute la soirée...et au pire, il y aura toujours les mini-mini vacances de la semaine prochaine Vers 21h30/22h, je dis pourquoi pas Gamertag : No time toloose
  2. Premier volet du dyptique des aventures de Ochô Inoshika, quand même honoré par Norifumi Suzuki et Teruo Ishii. On a vu pire... Ocho Inoshika poursuit inlassablement les trois assassins ayant commis l'assassinat de son père, alors qu'elle n'était qu'une jeune enfant : élevée dans un orphelinat ou elle fut initiée au vol, entre autres, sa croisade prend une nouvelle tournure le jour ou un quidam lui livre une mission avant de rendre l'âme sous ses yeux. Avec Suzuki, tout est permis, et c'est pour ça qu'on l'aime ; bien bien dans le ton des pinky de l'époque, le film n'ursupe jamais au grand jamais son titre. Reiko Ike, appétissante, livre des combats n'ayant rien à renier à sa cousine Lady Snowblood dans son plus simple appareil et Christina Lindberg de passage au Japon, montre ses seins et son cul parce qu'evidemment, elle joue le rôle d'une espionne sexuelle. La divine poupée de chair y dévoile sans complexe sa plastique de rêve, n'oubliant pas au passage de manier le gun Je t'aime Christina !!! Des coups de sabres dans la neige, du bondage, un corps de femme empoisonné, un amour tragique, une scène de flagellation ou Suzuki annonce sans détour son très fameux Couvent de la bête sacrée et même des capotes (!!!??) : bon bref, c'est quand même le haut du panier du cinoche d'exploitation nippon. Et dire que Suzuki n'a jamais tourné de Sasori (bien que Ito dévoile une imagerie baroque très semblable en fait). C'est bien, achetez-le
  3. Jeremie

    GTA IV

    Un truc aussi pour ceux qui n'ont pas trop trifouiller la carte et la notice : il y a un mois de Xbox live gold offert dans la bouaite. C'était l'info inutile du jour
  4. Jeremie

    GTA IV

    118 Notez qu'il y a aussi le niveau de dépendance
  5. Jeremie

    GTA IV

    Je me suis gourer et je les emmené dans un bar, au lieu d'un restaurant. Depuis ma cuite, elle refuse de me parler J'men fous, y'a des putes J'ai testé le site en prenant rendez vous avec n'importe qui mais visiblement les réponses sont toujours les mêmes : c'est à dire non.
  6. Deuxième aventure des pantins qui font bobo. Le schéma ne change pas trop : le même décor et des protagonistes qui tombent comme des mouches les uns après les autres. La nouveauté c'est le retour inattendu de André Toulon, le fameux "Puppet Master" justement, en bad guy évoquant l'âge d'or des monstres de la universal : on pense au fantome de l'opéra, à la momie ou encore à l'homme invisible...et même au mythe de Faust. Spa mal. La musique de Richard Band est toujours aussi bien et on a droit à un sixième larron Le très très méchant Torch, un petit nazillon armé d'un lance-flammes qui grille un marmot au passage
  7. Un survival anglais vraiment hardcore déjà oublié malgré sa récente sortie dans la collection Dimension Extreme... Dans l'ensemble, le bilan est mitigé quand même : la faute à un scénario qu'on imagine pas une seule seconde étalé sur 1h30. Du coup ça traîne à mort, et on se dit qu'avec 40 minutes en moins, ça n'aurait pas été plus mal. Après c'est bien quand même : les acteurs se débrouillent, et la mixture Saw-WolfCreek-HauteTension (ah ben carrément) passe plutôt bien. Car oui, Broken fait vraiment très mal...et c'est d'une noirceur c'est d'ailleurs pas toujours très crédible mais bon. Crâne défoncé, langue arrachée, jambe brisée, ventre ouvert...ça ne cache strictement rien et c'est franchement bien gaulé. Le rendu dv n'est absolument pas génant et le film a quand même belle gueule. Une bonne surprise, mais une petite déception dans une moindre mesure...
  8. Jeremie

    GTA IV

    Je l'ai eu sur un coup de tête, sans réservation ni rien Et je vais essayer ça tout de suite t'entends jeune pucelle
  9. Vu la gueule des prod italiennes de la fin des 80's, les deux films du tandem Argento/Soavi en constituent sans aucun problème le haut du panier ! J'avoue avoir toujours eu beaucoup de mal avec The church, visuellement abouti mais assez foutraque et baclé dans l'ensemble...j'ai moins cette impression pour cette Setta bigrement sous-estimé...et que je trouve bien mieux que Bloody Bird. Soavi nous refait un Rosemary's Baby qui bouge bien, plus délirant voire plus fantaisiste. Faut voir quand même les premières minutes pour le croire : un hippie démoniaque débarquant en plein désert chez une communauté pacifique, un quidam (Giovanni Lombardi Radice !) qui massacre une demoiselle à son domicile avant de se faire achever par les poulets en pleine rue, un mec bizarre qui se met un liquide noir dans les yeux... En tête d'affiche, la frangine de Jamie Lee Curtis (qui n'aura la belle carrière de scream couine de celle-ci, dommage ) découvre qu'elle est traquée par une secte pas franchement sympa : Soavi démontre une fois de plus qu'il sait déployer une imagerie forte et troublante, vraiment unique. Très onirique tout ça, et aussi assez lovecraftien : un peu comme dans son futur chef d'oeuvre qu'est Dellamorte Dellamore, on ne sait jamais ce qui va se passer et ça...c'est bien possession, sacrifice rituel hellraiserien, oiseau violeur, lapin zappeur, arbre couvert de bijoux, linceul ensorcelé, de l'eau bleue... Un dvd digne de ce nom est demandé à l'accueil
  10. J'aime bien. Une des dernières prod' Empire et par la même occasion l'un des pilliers de la Full Moon. Et c'était avant qu'ils fassent n'importe quoi (comment ça ils ont toujours fais n'importe quoi ? ). Dolls avait ouvert la voie aux vilains jouets, Puppet Master l'a suivra avec plus ou moins de bonheur. Alors certes, Schmoeller avait fait bien mieux avec son Tourist Trap mais là quand même, ça tient bien le coup. Jolis décors, de la fesse, du sadisme (un quidam amateur de jeux Sm se retrouve attaché et couvert de sangsues malgré lui), un magnifique score de Richard Band (reprise pas très discrète du thème d'Elephant Man...tout comme celui de Re-Animator reprenait celui de Psychose), Irene Miracle, et j'ai le souvenir que c'était pas trop mal filmé (l'intro en vue subjective). Et pis bon, les dites Puppet défoncent tout tout tout animés avec amour en Stop Motion...même encore aujourd'hui.
  11. L'affiche pèse autant que le Demeter quand même Oui bon, revu l'autre jour sur le Sat et un peu dubitatif face à ce spectacle aussi fascinant que résolument inégal. Pour ce qui est de la lenteur c'est une chose : je suis bien rentré dans le trip de Herzog, avec toutes ces belles images évoquant les peintures de Friedrich et le surréalisme qui vient du froid. Château en ruine, plaines embrumées, ville desolée infestée de rats ou l'on festoie...c'est quand même un pur délice. Et après c'est moins top : Herzog est tenté par le ridicule et le grotesque (les scènes ou Nosferatu cavale comme un débile dans la ville), Adjani se croit dans une pièce de Corneille, le film est entièrement calqué sur la version de Murnau... Et sinon il y a Topor qui fait le mariole et Kinski avec sa tête de rat, ainsi qu'un score magique...alors disponible en version complète voilà seulement quelques années. L'intro Un grand film curieux...
  12. Bon, eh bien l'essentiel est présent De quoi se plaint le peuple ??? Ben le film est quand même chiant et sans idées (à part celle citée)
  13. Sous ma vhs de Frankenstein 2000 se cachait donc ce Frankenstein'80...mais réalisé dans les 70's (???!!!). Oui bon, le constat est pas giga positif... Histoire de concurrencer la saga de la Hammer, l'Italie s'est donc retrouvée avec des titres tels que Lady Frankenstein ou Chair pour Frankenstein sur les bras, à rajouter donc ce Bis cradingue quand même assez honteux. Réalisation pathétique, casting de brêles, histoire 100 fois rabachée...tout ce que j'ai retenu, c'est le monstre qui allait voir une pute Car oui, le monstre de Mancini aime les femmes et il aime encore plus les tripoter une fois leur vie passée à trépas. Mais bon, les scènes se répétent, c'est pas très gore, on s'en branle un peu, c'est moche et c'est plein de seins. Voilà
  14. Oui mais lui il est espagnol
  15. Mouais bon... Comme toujours, c'est du Larraz donc c'est forcément pas top. Mais le Sir a fait quand même tellement pire. Le problème de ce Vampyres, c'est quand même son scénario pantouflard (un couple de vampirettes qui ne suce pas que le sang qui invitent des visiteurs paumés avant de les croquer) qui se traîne peniblement. Surnage donc deux actrices absolument divines de véritables prédatrices usant leurs charmes et leurs dents sur leurs victimes mâles. La scène ou les demoiselles dévorent littéralement un quidam dans son plus simple appareil est de loin la meilleure du film... Mise à part le charme des deux actrices, que restent-ils ? Ben une très bonne ambiance et de zolis décors, et c'est tout Bref, du bis espagnol qui manque de peps quand même
  16. Jeremie

    Black Sheep - Jonathan King (2007)

    Il défonce les murs, les voitures, il catch et en plus il fait peur à tout le monde avec son masque de la mort noire. UN PURE BLACK SHEEP !!!! Manquerait plus que la chose soit canniboule
  17. PUTAIN ET IL FO LA MACHINE QUI FAIT PING !!!!!
  18. Jeremie

    Black Sheep - Jonathan King (2007)

    Voilà, ils sont là, ILS SONT PRÊTS À TOUT DÉFONCER !!!!!!!!!
  19. Ah mais oui...mais non. Quelques plans apocalyptiques à sauver, une Karine Testia mignonne et qui en prend plein la tronche...et euh je crois que c'est tout Estelle "Mixa" Lefebure se donne à fond, LeBihan aurait pu surfrapper...il n'est que ridicule, Maud Forget fait son hystéro de service, tous les "gentils" sont inssuportables... Et alors niveau références, Gens photocopie sans se soucier de dynamiser de manière convaincante (il se plante là ou Doomsday emportait tout) ce qu'il vient de pomper : un diner à la TCM, une heroine qui hurle à la face du monde au ralenti "Midnight Express" Style, une scène de pendaison repiquant à TCM 3 et au TCM de Nispel (tant qu'à faire), une scène à la "The descent", des machinstrucsmuches genre Le sous sol de la peur voire L'enfer de la violence... Quant au colonel nazi c'est simple, il ouvre la bouche, il nique tout Un croisement improbable entre Colonel Spountz et un Norman d'Amour qui aurait mal tourné Et ce montage out of control, non merci, ça defonce le film dans les grandes largeurs. Je préfère largement le giga too much bout de pelloche des deux ptits gars de Mad Meuvies tiens
  20. Un chef d'œuvre radical. Voilà. Et cett édition WS, il l'a fooooo totalement
  21. Je me suis peut être mal exprimé J'apprécie bien sa gueule de bis européen sorti de nulle part, avec son lot de petites idées...je laisse entendre qu'il represente bien ça, après je le considère absolument pas comme un must La preuve, j'ai dis qu'on pouvait s'en passer
  22. Dedicace à Nico donc, qui n'a pas arrêté de me chanter la chanson titre du film hier soir Et c'est vrai que c'est pas mal quand même Un Franco bien bien connu qui sent le porte-jaretelles, la pute de luxe et la fourrure et surtout grosse reprise bis des Yeux sans visage, pas une première d'ailleurs pour le Franco... Bon alors y'a Helmut Berger qui ne sait ce qu'il fait là, Lahaie qui fait sa biatch l'air de rien (et on adooooooore ça !), Stephane Audran avec trois boîtes d'antidepresseurs dans la gueule, Florence Guerin qui joue...Florence Guerin (ah ben tant qu'à faire ), Howard Vernon qui blablate deux secondes, Telly Savalas se pose des questions, Caroline Munro se fait chier sa race dans une cellule, Gérard Zalcberg pèse un max en sbire nécrophile et bourrin, Marcel Philippot nous sort un numéro de follasse totalement inenvisageable... Sans oublier d'excellents scènes de meurtres gorasses (la perceuse ), un rythme pas toujours très heureux, des méchants qui gagnent et pleins de chansons 80's toutes les cinq minutes Ouais, c'est bien
  23. C'est gentil mais je sais pas ou tu es allé chercher ça
  24. Oui ben tu pourrais t'en passer aisement C'est très con car sur le papier, le film d'Aznar c'est un peu la quintessence du Bis obscur...à l'arrivée c'est une curiosité finalement assez chiante et médiocre. Des zombies libidineux, une tête qui explose, une église en ruine, des loubards, un chien féroce, des bibles en feux...bref c'est bien, mais pas ici
×
×
  • Créer...