Aller au contenu

Binky

Members
  • Compteur de contenus

    850
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Binky

  1. Premier long de Maiwenn Le Besco, récompensé par le César du Meilleur Premier Film. Écrit et tourné à la manière d'un documentaire autobiographique, ce premier long-métrage en tant que réalisatrice raconte la révolte d'une jeune femme contre son père qui autrefois la battait. Premier film, autoportrait, naissance d'une réalisatrice... Brut, extrêmement bien joué et rageusement salvateur, c'est l'une des meilleures surprises de l'année. (SCORE) Malgré ses petits défauts, Pardonnez-moi est un véritable cri du coeur, une thérapie personnelle qu'il serait bon de partager en groupe. (A VOIR A LIRE) Un film viscéral qui a du chien. (L'HUMA) sans oublier celle-ci qui me plait par son aspect biblique: Cela s'appelle la grâce. Ou bien un miracle. selon Carlos Gomez Ce soir en deuxième partie de soirée sur ARTE ! Qui l'a vu ? David ?
  2. Binky

    Polisse - Maïwenn - 2011

    Si Adam Sandler tournait avec Maiwenn... Le mot de la fin.
  3. Binky

    Polisse - Maïwenn - 2011

    jé pa traize an hé lautre alore !
  4. Binky

    Polisse - Maïwenn - 2011

    Hey, les mecs, vous avez pas tous soixante berges non plus hein...
  5. Binky

    Polisse - Maïwenn - 2011

    Critique pas La France gros bâtard !
  6. Aaah oui, la fin de Hadewijch, hein... C'est un peu comme Hadewijch dans le ton où c'est beaucoup plus pesant ?
  7. Binky

    Artemisia-Agnès Merlet-1997

    Au fait, je l'ai vu depuis. Bon, bah tout est dit. Belle actrice, belles images. En fait, la sensualité qui s'en dégage fait penser à Lady Chatterley (version Marina Hands, hein les mecs...). Du coup, je pense que Merlet parle davantage des corps et de leur langage que du combat d'une femme dans une société machiste ("ce n'est pas un peintre, mais une femme"). Bref, c'est délicat et élégant.
  8. Binky

    Dust Devil - Richard Stanley- 1993

    Y'en a qu'ont vu ses docus ?
  9. Binky

    Dust Devil - Richard Stanley- 1993

    C'est inégal, certes ! (tu ressors pas du film complétement en transe), mais, encore plus que dans Hardware, y'a un véritable sens de la technique, de pures prouesses formalistes, des images iconiques, et même des moments en apesanteur un peu lynchiens (ça ne tient qu'à moi). Bon, c'est effectivement du gros trip qui part dans tous les sens. Pas un western, mais un délire visuel fait sous marie-jeanne.
  10. Maquééééé Putaaaa de mierda ! Hijo de tu madre de puta, vou voulé joué à la vache, pourquoi vou avé pas causé dé sé film, yé té nique par la main dans ton cou ! Oups, désolé, j'ai fini Scarface il y a seulement six heures. ouahlala Donc, Dust Devil, c'est le second long-métrage de Stanley, qui avait commencé plutôt en force avec le foutraque Hardware. Set largely in the desert in Namibia and South Africa, it concerns a demon which possesses human beings. Concis, efficace. Un critique décrit le film comme "du Tarkovsky sous acides". A croire que Stanley tourne rarement sans acide (à moins que la partie trip de Hardouère soit quelque chose de très réfléchi dans le scénar, mais on sent quand même la drogue sur la pellicule). Ca m'a l'air bien chiadé encore, une sorte de western apocalyptique j'imagine. Yé lé pa vou, putaaaaa !
  11. Ben ouep, je sais, mais ma question est toujours d'actualité Romero a un sens du montage assez spécial, je trouve.
  12. Effectivement, en terme de Romero, c'est du lourd, nihiliste et bien pessimiste comme il faut. Apocalyptique, ca se bute dans tous les sens, clairement anti-armée et anti-gouvernement, kitsch comme d'hab', mais bien saisissant quand même. La fin te laisse les fesses à terre. Me demande comment un remake pourrait être autant jusq'au boutiste.
  13. Bon, bah je l'ai revu. En fait, c'est quand même un gros morceau ce film. Pacino déchainé comme jamais, le scénario génial d'Oliver Stone, la mise en scène de De Palma, tout permet de brosser un portrait super-décadent des années 80. On imagine mal un film aussi radical aujourd'hui. Le rêve américain vu par un cubain qui se prend pour un Bogart surpuissant. Et j'ai repensé à une réflexion d'un internaute qui causait à juste titre d'une fameuse scène, ce plan-séquence génial où Pacino semble quasiment nous parler à nous, spectateurs (quand Pfeiffer le quitte en plein repas, et qu'il se retrouve à gueuler hystériquement envers l'assistance). Montana qui dit, en gros, haut et fort "Vous avez besoin de moi pour croire que, en fin de compte, vous êtes de bonnes personnes. Je suis le mauvais garçon". Ca en dit long sur les intentions des auteurs je trouve. Gros morceau, ouéé. Et la zic edit: Sinon je comprends binky concernant l'antipathie du personnage, ça disparait à la 2ème vision. On oublie le côté salaud du personnage pour être hypnotisé par son côté kamikaze et conquérant. mais putain c'est exactement ca
  14. Binky

    Polisse - Maïwenn - 2011

    D't'façon, ceux qui ont eu le courage de mater la première saison des Simpson savent qu'il faut pas faire confiance à une baby-sitter...
  15. Ceci dit, c'est pas parce que Gervais est Dieu qu'il peut pas se gourer. Si ca tombe, ce sera pas de la bombe... Ah ah, vous y avez cru !
  16. J'aime bien l'efficace "Erotic !", là on sent l'art de vendre... Bon, euh, l'histoire est donc celle de...Artemisia Gentileschi. Jeune femme de dix-sept ans, fille du peintre Orazio, elle connait la meme passion que son père pour la peinture. Mais une femme ne peut pas entrer à l'Academie et encore moins peindre un modèle masculin nu. Sa rencontre avec Agostino Tassi, artiste rompu aux derniere techniques de l'art de peindre, va déterminer encore plus sa vocation et elle obtient de son père qu'Agostino lui enseigne ce qu'elle ignore encore, l'art de la perspective. Agostino va surtout lui apprendre la passion... Alors, c'est donc le deuxième long de mademoiselle Merlet, et suis curieux de voir comment la réalisatrice a pu enchainer après le déprimant Le Fils du Requin. Donc, euh... Quelqu'un l'a vu ?
  17. Binky

    Les Utopiales, Edition 2011

    Pour être honnête, y'a pas énormément de films qui me tentent, hein... J'irais surtout pour tâter de l'interviou.
  18. Donc... A la Cité des Congrès de Nantes, as usual. Le Jury de la Compétition Internationale sera composé de : Agnès Merlet, cinéaste Richard Stanley, cinéaste Nicolas de Crécy, dessinateur Yvan Guyot, animateur et responsable de "Nouveau genre" sur Canal+ François Boucq, dessinateur Des films comme le dernier Tarsem Singh Du Laloux, du Powell, du Ramis, du Bava... Jodorowsky sera là ! http://www.utopiales.org/index.php/fr/
  19. Info à la populace: ledit Stanley serait au festival des Utopiales de novembre. Du coup, j'ai trop envie de découvrir ses films. Il est même sur facebook et a une pure tête.
  20. Binky

    Zine Story

    Y'a de bons zines gratos en pdf qui valent le coup ?
  21. Binky

    Bref sur Canal +

    C'est intéressant, après tout Jean S. ne souhaite pas forcément la victoire du PS, c'est pertinent de le souligner je pense. sinon, comme dirait De Niro dans Casino "Et voilà". Que sera sera.
  22. Binky

    Bref sur Canal +

    Ouééééé je bande !
  23. Un metteur en scène à la ramasse, d'un autre temps, aux ambitions impossibles, oublié de tous, revient sur le devant de la scène grâce à Simone. Soit Simulation One, un puissant logiciel que lui a filé un fan fou avant de clamser. Simone devient reconnue, célébrée, mythique. Mais qu'en est-il de ce fameux cinéaste ? Un film sur le cinéma, l'image et son pouvoir, les médias, sur la mégalomanie de l'homme, sur une époque artistique révolue, sur un mec qui se prend pour Dieu, et doute de soi... Un concept en or et un rendu très réussi, une satire sociale vachement pertinente et quasi-touchante en fin de compte. Sur les rapports entre humaines et sur l'art, sur ce siècle, en gros. Assez riche. Et super divertissant. Bref, du bon Niccol. Et un Pacino étonnant, très bon, dans un rôle à la fois désenchanté et rafraichissant !
×
×
  • Créer...