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Binky

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Tout ce qui a été posté par Binky

  1. C'est sympathique. De l'utilisation intelligemment cinématographique des paysages nationaux à la l'utilisation géniale autant intra qu'extra-diégétique de la musique en passant par la rigueur et du montage et des cadres, ça sent l'influence Henri Verneuil à plein nez... Valette est un vieux pote du prof Thibaut et rien que pour cette anecdote de ouf
  2. MAIS TU PEUX PAS DIRE CA NON TU CONNAIS RIEN AU CINEMAAAAA !!!!
  3. Bah...tu m'as eu, je capitule... Je trouve que c''est un drôle de film, ça oui. Un sacré film qui a pour personnage principal et rôle-titre un sale enfoiré, un connard machiste et frimeur, antipathique en diable. Un batard de sa mère qui fume de la chatte de pute comme dirait mon ami Morsay. La carte bleue dans la teucha comme rajouterais son cousin bobo parisien Saez. Malgré le scénario de OLIVER STOOOONE !!!! c'est peut être ca qui m'a pas fait adhérer au film. Je me souviens d'un bon film, d'une musique géniale à la fin (j'ai des goûts zarbs), d'une hystérie de fou, mais même si ca va faire un peu snob ce que je vais dire...je préfère largement L'Impasse ! Le problème, c'est qu'en fait, quand un mec décide de consacrer un film au dernier des enculés, tout le monde croit que ce gars est considéré par le même mec comme un héros, un emblème, une figure mythique, alors que le but c'est peut être justement...de mettre un connard sur le devant de la scène et c'est tout. Mais quand un film tourne autour de ca, tu peux avoir l'impression que c'est l'éloge d'un salaud. Mais non en fait. Quand j'y pense. Sinon, yé pense que la véhef dou filme n'a pas aidé: "tou veu joué à la vache ????? tou veu youé à la vache ???? puta de mierda, sale puta, tu va jouééééé !!" J'ai pas trop compris les références trop matures de kevo42 mais donc voilà, je suis pas fan, et puis si je commence à penser autrement et à revoir les films bah je deviendrais presque un critique de cinéma donc j'ai pas trop envie puisque mon ambition secrète c'est de faire du lèches-boules à tout journaleux du seizième arrondissement fan des films de Laurent Bouthnik alors tu vois quoi
  4. Rouyer il est un peu génial quoi. Le gars qui te mets au tapis niveau cinéphilie, niveau enthousiasme (cette diction sous cocaïne !) et niveau argumentation (comment qu'il la rabaisse la Hass). Je l'ai jamais rencontré mais j'ose bien croire que son érudition n'a d'égale que sa sympathie.
  5. Personne ne lit mes posts Sinon, Lemaire apporte son grain de sel et ca fait du bien, je trouve. Et Rouyer est un ouf !
  6. Donc voilou, Le Cercle est une émission avec plein d'interventions de journalistes de cinéma: Philippe Rouyer (Positif) = une bonne grosse valeur, lui. Rares sont les journaleux qui parlent avec tant de respect du cinéma de genre. Rebecca Manzoni (France Inter et Arte), Arnaud Viviant, François Bégaudeau (Transfuge) = bon, lui, il a un peu contribué à faire régner la mauvaise réputation qu'a l'émission chez pas mal de cinéphages fanboys-geeks. Faut dire que son style pédant n'est pas des plus agréables. Frédéric Bonnaud (Le Mouv') Hélène Frappat (France Culture) Jean-Marc Lalanne (Les Inrockuptibles) Xavier Leherpeur (Studio Ciné Live) Eric Neuhoff (Le Figaro Magazine) Alain Riou (Le Nouvel Observateur) Axelle Ropert (La Lettre du cinéma, Les Inrockuptibles, également scénariste et cinéaste) Marie Sauvion (Le Parisien) Christine Haas (Paris Match) Aurélien Ferenczi (Télérama) Jérôme Momcilovic (Chronic'art) Nicolas Schaller (Le Nouvel Observateur) (et je crois qu'il a aussi pigé pour Première) Donc voilà. Je n'ai jamais suivi l'émission sérieusement. Les seules émissions que j'ai maté, je l'ai fait pour écouter se débattre un cinéphage très excité du nom de Yannick Dahan, qui jouait un peu le rôle du mec qui semble défendre son steak face au reste de la meute (même si y'a Rouyer, fichtre). Si l'on en suit la toile et certains forums, on constate qu'il y a plein de trucs qui peuvent en faire vomir certains, se faire facepalmer tant d'autres, qui ne se priveront pas de cracher sur les noms de Ferenczi et de Bégaudeau (entre autres). Faut avouer que le lecteur de Mad est peut être pas hyper attiré par des noms tel que Les Inrocks, Télérama, ChronicTaMère et Studio CinéLive... Mais si je créé un topic aujourd'hui, c'est pour vous apprendre à tous que Christophe Lemaire rejoint Le Cercle. Provisoirement ? Ptet ben. Ou pas. Je le vois mal revenir à chaque séance. Mais avouez que ca pourrait être rigolo. "Aaaaaaah ca me rappelle ce film d'Umberto Lenzi..." "Umberto qui ?". Et puis Lemaire est sympa donc bon, pourquoi pas, je me disais que ca vous parlerais ! http://www.canalplus.fr/c-cinema/pid2959-c-emissions-cinema.html (Lemaire qui semble se faire gravement du mal/chier durant la séquence d'ouverture bercée par les paroles d'un morceau des Biens-Aimés... )
  7. Binky

    La proie - Eric Valette - 2011

    Zé soui révénu dé zenfer !! Ay Carumba ! Sinon, je suis tout à fait d'accord avec le post plus haut disant que Valette va en avoir ras les margoulettes, de ces énièmes comparaisons avec les œuvres du génial Fred Cavayé. Mais n'empêche, en tant que simple spectateur, je n'ai pas pu m'empêcher de penser aux deux baffes Cavayé style face au Valette...ce qui m'a...plutôt pénalisé dans ma vision du film je pense...d'un point de vue négatif...pasque voilà, en terme de poursuites de oufs et de divertissement haletant, de thriller percutant et bien foutu, Pour Elle/A Bout Portant, ca se pose là, tu peux pas test. Ce qui est sympa dans ce film, c'est que Valette connaît bien son métier et mêle le film carcéral volontiers broie-castagnettes au film de chasse à l'homme avant de virer à une dimension plus atmosphérique à la fin, en gros l'enquête policière, le film bourrin de taulards et le thriller se marient dans un même film ce qui est pas mal comme ambition ! Et pis y'a Dupontel, ses cascades, la bonne utilisation du paysage français (Verneuil est content, rest in peace) et surtout un Stéphane Debac plutôt glaçant comme on dit ! Pas un claquage dans ta race, mais je préfère ca à Laugier (même s'il a son importance au sein du ciné de genre frenchie, bien que ses films me passent par dessus la tête)
  8. Binky

    Snake Eyes- Brian De Palma-1998

    Quel charlot ce De Palma alors
  9. Binky

    Bref sur Canal +

    C'est comme L'écran Fantastique, passé le numéro 1...
  10. Boah...Les Inrocks aiment Platane aussi. C'est pas forcément pour ca que c'est mauvais signe !
  11. Passée la bande annonce absolument hideuse, ce petit film français d'une heure-vingt m'a l'air en fait franchement pas mal et je suis bien tenté (vu la séquence d'ouverture entre autres), certaines scènes imposant un rythme soutenu et une certaine légèreté/originalité, et l'actrice principale/réalisatrice m'a l'air bien attachante...(La Guerre est Déclarée est son second film en tant que réalisatrice) Quelqu'un l'a vu ?? Même pas DPG ?? " Une bonne surprise. (...) Un rôle savoureux de paumée. (...) Les bonnes fées Eric Rohmer et Agnès Varda se sont penchées sur cette fantaisie au goût festif de pomme d'amour." Caroline Vié.
  12. Binky

    Vos lectures du moment

    ...Tain ce livre est passionnant...la révolution du parlant et cette géniale phrase de Twist, un pote de Walsh "maintenant, un film n'est plus un film, c'est un disque !"...l'accident de Walsh, la perte de son oeil...et un dernier passage extra: Walsh doit revenir sur La Piste des Géants, le tournage. Il rencontre dans les studios un mec qui porte du matériel, avec une bonne voix. Il lui dit demande son nom: Morisson, monsieur. Il lui conseille de se laisser pousser les cheveux et de revenir dans deux semaines. Deux semaines plus tard, on recherche encore l'acteur principal. Puis arrive le fameux Morisson. Walsh et son compère acceptent l'acteur bras ouverts mais n'aiment pas ce blaze. Ca fait trop...pasteur ! Walsh fouille dans un dico, cherche les grands noms des pionniers américains. Puis il trouve. Wayne, c'est bien. Ce sera John Wayne !
  13. L'épisode de South Park où Cartman joue Gordon Ramsey Sinon, c'est aussi répétitif, inutile qu"assez réjouissant : "et t"appelles ça de la bonne cuisine, pauvre connard ? j’emmènerais même pas des rats bouffer dans ce taudis pourri !" etc etc... Gordon is God !
  14. Binky

    Bref sur Canal +

    C'est super sympa ! 'et il m'a fallu que quatre minutes pour dire ça' Dans le genre "trucs drôles courts français là tout de suite", c'est ce que j'ai vu de mieux, de plus ambitieux formellement, de plus rigolo, depuis...pfouuu... Sinon vous parlez de quoi ? du facebook du grand journal ?
  15. C'est ce qui appelle soit du bluff de génie, soit de la motivation hardcore.
  16. Binky

    Vos lectures du moment

    Quelqu'un a lu les Nouvelles de Salinger ? L'attrape-coeurs était génial, mais puisque je l'ai déjà lu, j'aimerais savoir si ce recueil valait le coup...merci ! Sinon, en ce moment, je lis l'autobiographie de Raoul Walsh, c'est génial ! - Fairbanks va souvent se baigner dans la grande piscine des studios, durant le tournage du Voleur de Bagdad...et Chaplin, qui fait également parti de United Artists, aime déclamer son texte avant de piquer du nez dans la piscine. Ce bon vieux Doug est un gros farceur: un matin, il remplit la piscine de glaçons, et Chaplin de partir de la piscine furieusement, en insultant généreusement les deux lurons ! (Walsh et Fairbanks) -Walsh fit tourner un vieux cowboy...un jour, ce cowboy meurt, à cause de l'overdose de whisky qu'il s'est entamé durant des années dans le foi. Son dernier souhait: être enterré dans sa ville natale...Cheyenne. Walsh l'exauce, et cela lui coûte la modique somme de 400 dollars. Plus tard, le maire d'une ville lui envoie par la poste pas moins de 1000 dollars: le cowboy était recherché mort ou vif pour meurtre, et c'est donc à Walsh, qui l'a déposé malgré lui dans le cercueil, d'être récompensé ! Et Walsh de se demander si, après tout, ce vieux briscard de cowboy n'avait pas prévu le remboursement depuis longtemps... -Le père de Walsh rencontre un acteur japonais qui, je crois, tourna dans Le Voleur de Bagdad. Hasard parmi les hasards, le grand Empereur du Japon débarque à New York, en pleine gare, au même instant. Des centaines de Japonais sont présents. Tout content, son père part prendre son train et dit à son fils "c'était gentil de m’amener une si grande insistance pour me souhaiter un bon départ !" -Un collègue de Walsh, pour tourner une scène, a du faire couper un arbre qui le gênait pour le plan. Quelques instants plus tard, le gars est arrêté par les autorités. Cet arbre fut planté par un grand président des États-Unis ! -Un pote de Walsh a grand besoin d'alcool. Or, sa réserve d'alcool est casée dans une cave dont il n'a pas la clé. Walsh prend conseil auprès du dynamiteur de ses films. Lui et son pote sortent de la maison en question, après avoir casé six-sept bâtons de dynamite. C'est toute une partie de la baraque qui vole en éclats, et Walsh et son gus sont obligés de s'exiler à des bornes de là durant deux jours pour ne pas être arrêtés ! Sans oublier les astuces de Walsh pour les SFX du Voleur de Bagdad, premier blockbuster de l'histoire du Cinéma.
  17. Tu devrais plutôt poser la question à Peter Biskind !
  18. De Palma est tout de même bien roublard. Il annonce dans un entretien qu'il aurait très bien pu faire Blow Out sans stars, pour un budget bien moins confortable...et pour conclure ses propos, il dit, en quelque sorte, que le film est juste une petite variation sur...l'affaire Watergate ! J'adore.
  19. Ouep. Ah non, mais au bout de dix De Palma, j'ai pigé qu'il aimait bien Hitchcock hein... A noter qu'à l'époque du Nouvel Hollywood, De Palma était considéré comme le gros intello de la bande, avec Paul Schrader, lequel est décrit comme bien plus antisocial, maladif, renfermé, inquiétant, super-maladroit...(bah...à l'image de ses films, pour les premiers adjectifs ?)...alors que De Palma était du genre à attirer toutes les poulettes new-yorkaises. Je vois bien le genre. le mec est génial, beau gosse. (enfoiré, va). Après, personne n'a eu le courage de voir ses premiers films non plus... Sinon, je fais une pause dans mon marathon De Palma.
  20. Oui, disons que Body Double est l'épilogue de la trilogie, le truc qui conclut le troisième volet. Ça va là ?
  21. Décrit comme un des piliers de la trilogie de l'hommage Hitchcockien (formée de Blow Out, Pulsions, conclue par Body Double, j'y reviens encore mais what da fuck le putain de film !!), Obsession est tout simplement défini par beaucoup comme le Vertigo de l'ami De Palma (rien de moins !)...l'histoire, en tout cas, c'est pas Hot Shots !, et ça m'a pas l'air d'être la fête du slibbard durant une heure trente. N'empêche que je suis hyper tenté par ce qui s'annonce être du bon gros De Palma majeur (lequel m'a appelé pas plus tard qu'il y a cinq minutes : "salut mec, merci de me promouvoir à fond chez Zonebis, allez, tchao pauvre connard !"...oui, Brian est sympa mais un peu ours grognon parfois...) Une de mes connaissances en dit ca; "Si tu trouves un plaisir pervers à mettre tes nerfs en pelote et si tu as un goût esthétique porté vers le romantisme morbide, je te conseillerais la vision d'"Obsession", variation étourdissante sur le "Vertigo" d'Hitchcock. Un de ses premiers films, on n'y trouve pas encore ce côté théorique, cérébral qui peut rebuter certains ou même cette part kitchissisme qui décolore un peu certains de ses films. Déjà, la musique cauchemardesque d'Herrmann dit tout..." Voilou. Je vais même me le mater avant Carrie, pour confirmer ou pas le claquage de beignet attendu !
  22. Binky

    Snake Eyes- Brian De Palma-1998

    Ca commence de manière si géniale, et ca finit assez platement, hormis un clin d’œil malin qui souligne le sous-texte du film...les écrans et leur influence, donc, etc etc... Bon, maintenant, je dois voir Carrie !
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