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Robe Bottine

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Tout ce qui a été posté par Robe Bottine

  1. Mauvais film mais j'aime beaucoup la scène ou le camp est en feu. C'est pas tous les jours qu'on a du harem fumé sous les oeils
  2. Bah c'est très nul la premiere fois et la seconde, on se dit que ca a du charme finalement. C'est l'effet que ça m'a fait en tout cas. Et puis, c'est vrai qu'il est pas si désagréable ce petit film après tout. Lent mais une ambiance plaisante. A voir aussi pour les 3 fifilles cannibales... superbes créatures, j'ai une preference pour la brune. Et puis Eugene Levy, quel look bordel Ou quand Gerard Hernandez fusionne avec Zappa
  3. Robe Bottine

    Ritasilva

    Rita la skateuse ? (j'essaie de comprendre ) Sinon, sympa la visite de Rita Silva (si c'est pas un canular) quoique j'aurais prefere celle de Rita Calderoni
  4. Clairement le "moins pire" des Ilsa parce que mine de rien, c'est quand même une saga bien mauvaise. Celui là s'éparpille à gauche à droite, débute comme un WIP classique pour se terminer dans de l'espionnage, ce qui peut eventuellement faire passer la pilule.
  5. On peut rattacher les 2 films par le rapport post mortem entre le fils dégénéré et sa mère avec qui il continue de causer et de demander conseil. après, ça n'a pas grand chose à voir. J'aime bien Maniac mais ce Pyromaniac apparait comme 1000 fois plus percutant, peut être paradoxallement par son côté moins démonstratif que dans le film de Lustig.
  6. Un bon giallo de Martino et pourtant, peut etre son plus faiblard (en tout cas le plus insipide) comparé aux 3 gialli qu'il a tourné avec Fenech et surtout Torso.
  7. Et, petit HS (quoique) : pour les fans des Melvins, si toutefois il y en a ici, un lien intéressant : http://www.runningonion.com/melvins.html Une vraie mine d'or (c'est le cas de le dire) remplie de rares bootlegs, au son parfois degueulasse mais c'est ce qui en fait toute la saveur
  8. Mon amour immodéré pour les psycho-killer m'a fait aimer ce "Mardi-Gras Massacre" longuement convoité. Alors, oui, c'est lent, répétitif, extra Z mais c'est pas tellement pire qu'un Gordon Lewis et celui-ci se passe à la Nouvelle Orléans , une Nouvelle-Orléans malheureusement peu montrée excepté lors de l'haletante ( ) poursuite finale. Par contre, la musique est absolument effroyable. Une critique issue de Psychovision : http://films.psychovision.net/critique/mardi-gras-massacre-318.php
  9. Pas mal mais pas non plus transcendant pour autant. Si la seule séquence gore réputée pour être particulièrement corsée ne m'a curieusement pas plus marqué que ça, en revanche, l'incroyable thème musical me hante encore. Une des musiques les plus angoissantes qui existe.
  10. Un excellent survival/rape and revenge avec l'immense Don Stroud. Je prefere neanmoins "Otages en sursis" ou "California Axe Massacre" mais celui a le mérite de se révéler plus "profond", à travers notamment la dualité homme/femme qu'il propose à voir.
  11. Malheureusement, je confirme. C'est pas (plus) drôle. En plus, les personnages ont été reliftés récemment, l'animation est plus "clean" et moi, le propret, ça m'emmerde. Et pire, ça pue de plus en plus le politiquement correct.
  12. Les Simpson perdurent et pourtant, à mes yeux, ils sont morts aux alentours de la saison 11 ou 12. De nouvelles saisons en nouvelles saisons, j'attend un miracle, un retour aux sources et rien n'y fait. Le rythme des nouveaux épisodes est de plus en plus hyper-actif, les gags s'enchainent à une cadence trop infernale, sans compter qu'ils puent la facilité et le réchauffé. Tout ce qui semble compter actuellement, c'est le défilé de stars qui se bousculent au portillon pour prêter leurs voix. L'apogée des Simpson pour moi aura été atteint aux alentours de la saison 5, 6.
  13. Mouais...Lovelock en slip ou pas, on s'en fout pas mal. Par contre, le "body double" employé pour Muti, c'est un véritable scandale A vrai dire, c'est tout ce que j'ai retenu de cette histoire de triangle amoureux pas franchement passionnante. Un Lenzi vraiment mineur. La jaquette de la rarissime édition Lucal :
  14. Un psycho-killer bien moisi j'trouve. La seule bonne chose, c'est le tueur, assez barge, du genre à causer tout seul et se branler au téléphone mais ça manque terriblement de sang ou de déviance quelconque, les agressions et les meurtres étant systématiquement hors-cadre, en tout cas dans la version française, dispo en vidéo sous le titre "Brigade anti-viol". Je ne sais pas ce qu'il en est de cette prétendue version intégrale qui existerait en dvd.
  15. Bof bof.......BOF ! Un rape and revenge à l'impact bien ravagé par le temps, à la différence d'un I spit on your grave par exemple, toujours aussi percutant. Le film de Ferrara s'oublie rapidos. Quant à Driller Killer, le côté arty-junkie-poseur-undergroundo-prout-prout me file dangereusement de l'urticaire. Un pétard mouillé en ce qui me concerne. Ou une perçeuse rouillée pour rester dans le ton.
  16. Je suis plutôt client du cinéma de Cardona Jr., le Lenzi mexicain. Celui-ci est assez agréable à regarder. Casse pas la baraque mais on s'emmerde rarement, l'action étant assez soutenu et comme habituellement avec Cardona, c'est toujours un plaisir d'assister à ce défilé de stars, has-been ou pas. Stuart Whitman, Marisa Mell, Francisco Rabal, et l'incontournable barbudo mono expressif Hugo Stiglitz.
  17. Un Merli correctement torché, le cul entre 2 chaises. La meilleure scène restant celle du passage à tabac de petites frappes dans un bus par Merli et le chauffeur qui stoppe son véhicule rien que pour se meler a la bagarre
  18. Ce montage trisomique serait apparemment dû à des japonais, même si ça fleure bon le réassemblage taiwano-coréen, à la manière de "Les fantastiques supermen", pot-pourri de la série des Super-Riders. N'étant pas fan des kaiju eiga pour un yen, j'avoue avoir pris mon panard devant ce Gameka et les 3 super women hautement débile et ces chorégraphies de combats renversantes : Gameka qui chevauche un poulpe-monstre façon jet-ski, Gameka qui s'agrippe à une barre transversale et commence à tournoyer autour, etc.
  19. Un monument du bis de l'Héxagone qui mériterait bien une sortie en dvd de par chez nous. Pas aussi cinglé qu'on le prétend mais un film qui reste prodigieux qualitativement parlant, surtout au vu du faible budget. Même les acteurs, professionnels ou non, dont la fameuse Géziale la sorcière, s'en sortent avec les honneurs. Un film définitivement inoubliable.
  20. un film que je l'ai jamais vu mais que je l'ai mais que je l'ai pas vu encore mais que je vais le voir
  21. Un très chouette film de monstre. Les fans de Harryhausen apprécieront ou protesteront au choix, les effets spéciaux n'étant pas aussi aboutis que ceux du maitre. Film paru en son temps en vhs chez VIP Copier/Coller d'une ancienne critique en provenance de Psychovision : David, accompagné de trois amis, compte bien rencontrer le professeur Waterman, vivant reclus dans une cabane au fin fond d'un parc forestier. Le vieil homme, autrefois archéologue de renom, détiendrait un grimoire légendaire recelant de forts curieux textes sur la démonologie. Sitôt arrivés sur les lieux, nos quatre amis découvrent le logis du professeur saccagé et inhabité. A la recherche de Waterman, ils ne vont pas tarder à se heurter à des forces maléfiques, visiblement issues du livre maudit. Une cabane au fond des bois, un archéologue disparu, un grimoire maléfique, des cas de possessions démoniaques... Ca ne vous rappelle rien ? Mais oui, bien sur, ça crève les yeux : Bambi ! Ce court résumé, aussi vaseux que ma blague, fait irrémédiablement penser à un clone d'Evil Dead. La vérité est ailleurs, Scully. Equinox, véritable travail acharné d'étudiants passionnés par le fantastique, a été bouclé en 1970, soit une bonne douzaine d'années avant le chef d’œuvre de Raimi. Plagiat ? Raimi dément pourtant s'être inspiré du film de Jack Woods pour son premier long métrage. Si le scénario d'Evil Dead sent donc le réchauffé à plein nez, ça n'empêchera pas Raimi de révolutionner tout de même le cinéma horrifique grâce à ses vertigineux effets de caméra et sa mise en scène épileptique. Quoi qu'il en soit, revenons en à nos moutons. La bande de moutons donc (de simples étudiants en fait, m'apprend-on), responsable de ce sympathique Equinox s'inspire quant à elle des fantaisies de Ray Harryhausen pour parachever les nombreux trucages présents à l'écran et le bestiaire de créatures fabuleuses qui va avec. On y croise entre autres : une créature tentaculaire typiquement lovecraftienne, un géant, un homme-gorille cornu, un diable ailé, etc. Ce généreux bestiaire met d'ailleurs du temps à débouler dans le récit, ce qui promet malheureusement une première moitié de film apathique et ronflante. Le rythme s'accroît par la suite, sitôt le Necrono... enfin, le bouquin là, découvert et ses incantations récitées au grand désespoir de nos quatre héros inconscients. Au sein de la toute jeune équipe de tournage circulent quelques futures renommées du cinéma et de la télévision : Denis Muren, star actuelle dans le milieu des effets spéciaux occupe ici le poste non crédité au générique de co-réalisateur tandis qu'Ed Begley Jr., un habitué des sitcoms et des téléfilms mièvres américains débute ici sa carrière en tant qu'assistant caméra. Les vétérans Fritz Leiber (brillant écrivain de science-fiction campant dans Equinox le personnage du professeur Waterman) ainsi que Forrest J. Ackerman (personnalité excentrique incontournable dans le milieu du fantastique hollywoodien) sont également de la partie. Avec la récente sortie en DVD d'Evil Dead dans nos contrées, il serait de bon aloi de rendre enfin à César ce qui lui appartient (mais non, pas sa pâtée pour chien) en (re)découvrant la principale source d'inspiration du classique de Sam Raimi.
  22. Complètement d'accord. Un des meilleurs Sherlock Holmes, film comme personnage d'ailleurs, Christopher Plummer se révélant tout simplement parfait, aux côtés de James Mason, un Watson plus vrai que nature, et une réussite incontestable de plus à attribuer à Bob Clark. Eventuellement, il est possible de se paumer en chemin en raison d'une intrigue très riche foisonnant de multiples hypothèses et partant dans plusieurs directions. Heureusement, les zones d'ombre s'estompent en fin de bobine et tout s'éclaircit admirablement bien. C'est à cela que l'on reconnait les grands scénarios...et les grands films, dans le cas présent.
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