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Immortal Beloved - Bernard Rose (1994)


Tomfincher

Messages recommandés

 

aka Ludwig Van B. dans nos vertes contrées.

 

La vie (romancée) et l'oeuvre de Beethoven à travers les différents amours de sa vie.

 

J'ai de l'affection pour ce film même s'il est loin d'être totalement réussi. C'est plutôt luxueux, avec une belle reconstitution de l'époque, mais la réalisation de Bernard Rose (Candyman) est plutôt très académique, sans réelle folie. Toutefois, l'un des plans final fait preuve d'une belle inventivité, quasiment magique, dans lequel un jeune Beethoven nage la nuit dans un lac, où les étoiles se reflètent. La caméra recule jusqu'au moment où Beethoven se mélange aux Etoiles.

Mais c'est tout de même moins fastueux et majestueux que le chef d'oeuvre du genre Amadeus (n'est pas Milos Forman qui veux).

 

Cependant, un joli casting (Gary Oldman, dans le rôle titre, entre excentricité et retenue, ou encore Isabella Rosselini) et surtout la musique du Maestro en font un film très agréable à regarder.

 

Faut que je choppe le blu-ray.

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Vous me tentez bien Melti et toi.

 

Je sais que mon père aimait bp le film, mais ça m'a tjrs donné l'image d'un truc un peu academique et tout, du coup j'ai jamais tenté.... Je vais lui offrir pr la fete des pères tiens, comme ça je le materai !

 

Le z2 a l'air un peu vieillot par contre

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A part ça, la BO était pas mal.

 

Tu plaisantes mais c'est la premiere BO que je me sois achete a la FNAC en K7. En sortant du film. Film qui m'avait scotche a l'epoque, mais j'avoue que j'en ai plus trop de souvenirs now, mis a part un Oldman encore une fois habite par le role.

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Mais c'est tout de même moins fastueux

 

 

Budgets :

Amadeus (1984) : $ 18M

Immortal Beloved (10 ans plus tard) : $ 10M

 

Ceci doit avoir une incidence

 

Quel merveille ce film ! Comme le dit Tomf, ce n'est pas totalement réussi mais l'envoutement marche quand même. Ce qui en fait sa force est que ce n'est pas un film "sur" Beethoven mais sur la création, l'inspiration, partant d'une simple lettre signée par Ludwig avec ce mystérieux "Immortal Beloved". Le film prend donc ses libertés avec l'histoire, utilise Beethoven comme prétexte à un voyage poétique. Et tout comme dans Candyman, le travail sur le son (ou le silence d'ailleurs) est incroyable.

Pis comme vous tous, la scène dans la mare, avec la création de l'ode à la joie

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