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Vanishing on 7th Street (2010) Brad Anderson


NickLezob

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A Détroit, tout le monde vient de disparaitre comme par enchantement sauf 4 connards dont on va se taper les pleurnicheries et les réactions débiles pendant 1h30.

 

Un mystère mystérieux à la Twilight Zone qui commence pas trop mal mais patine sévèrement au bout de 20 minutes. Au point qu'il ne se passe plus le moindre truc jusqu'à la fin. Anderson zappe totalement le sujet de départ pour dévier vers un film de petite pleureuse. Ouinouinouin blablabla fin. Horrible A moins que son idée était de faire le truc le plus frustrant et irritant du monde à partir d'un sujet cool. Dans ce cas là c'est magistralement réussi.

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C'était sans doute le truc le plus insupportable à Gerardmer cette année : ça commence en effet très bien (ces plans avec les ombres évoluant en arrière plan/premier plan) et puis finalement ça allume et ça éteint des lampes pendant tout le reste du film. Les acteurs (et leurs personnages en particulier) sont à claquer et la fin se contente de mener nulle part. Nul.

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Ben pareil.

Ca commence drôlement bien pour finir en vague pensum christicocentrsite.... "J'existe!!!" Me soufflait à l'oreille un Superwonderscope terrorisé à la sortie de la salle, au milieu d'une foule au regard hagard composée d'individus ayant eut la drôle de sensation de s'être profondément fait entubé par le père Anderson.

Edited by Guest
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  • 1 year later...

Il paraît qu’il y a un début à tout …

 

Et bien voilà le premier Brad Anderson foireux

 

Et oui, ça fait chier de la part d’un réal’ comme ça (Session 9 ! The machinist ! Transsiberian !).

 

C’est con, parce que le pitch était pas mal dans l’absolu (l’obscurité comme entité maléfique à part entière, bandant !) et que le début du film fonctionne.

 

En fait, jusqu’à l’arrivée dans le bar, ça va.

 

Anderson signe une mise en scène précise et nous balance même une poignée d’images marquantes (les vêtements vides, l’avion, les ombres).

 

Après, ça part en vrille.

 

Le script se met à patiner copieusement et ça va durer jusqu’à une fin trop nébuleuse pour être honnête (le syndrome du « On savait pas comment finir le truc, alors on l’a pas fini »). Et puis le plan final est un pompage éhonté de The walking dead.

 

Sinon, l’interprétation est franchement pas terrible, ce qui contribue aussi à plomber le film. Seul Leguizamo s’en sort à peu près bien.

 

A l’arrivée, on tient un truc à des années lumière d’un Kairo ou d’un Darkness, deux films assez proches par certains aspects

 

Grosse déception !

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