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Lord Ruthven

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Tout ce qui a été posté par Lord Ruthven

  1. Au début, franchement, j'était pas client. Déjà Caméra Café, ça ne m'arrachait même pas un sourire... Puis finalement, à dose de quelques épisodes vu dans le désordre, je trouve que c'est assez sympa. Voila, je dirai pas que je suis fan, mais je suis réconcilié.
  2. Oui mais Amityville est sorti avant Shining...
  3. Lord Ruthven

    Les threads à liste

    Le problème c'est qu'on peut connaitre des films sans les avoir vu. J'ai pas vu le Trou, ça ne m'empêche pas de le citer pour aider Red Helling car je sais à peu près de quoi ça parle. Après pour en parler, je peux toujours faire un copier coller d'Allociné, mais ça ne fera pas avancer la discussion.
  4. Tu aurai du continuer, la réplique drole vient après : "- mais qu'est ce que je vais devenir ? - ben, un piéton... "
  5. J'en ai un, je sais pas si qqun l'a deja mis : [url]http://www.youtube.com/watch?v=7PicVVG1LPo[/url]
  6. Je déteste aussi. Sauf Lex Luthor qui est un excellent personnage.
  7. la Place Lordi , excellent. Vive la Finlande, vive Renny Harlin, vive le Hard Rock, Hallelujaaaaaah !
  8. On prend la même recette et on recommence. Alors que le premier Demons terminait de manière effroyablement pessimiste, Lamberto Bava remet le couvert, quasimment de la même façon. Tout commence par la diffusion d'un film d'horreur dans le film d'horreur, ce qui provoque l'apparition des Démons sur terre, la suite du tout se résumant à un chassé-croisé sympathique entre un échantillon humain et des saloperies dégoulinantes. Petite orginalité, les Demons utilisent cette fois la télévision, sortant de l'écran façon Videodrome. Du niveau de son prédecesseur, Demons 2 compense ses maquillages parfois douteux et son scénario improbable par un côté décomplexé et rock n' roll -un peu moins que Demons 1, helas-. A la réalisation, Bava fils fait du boulot soigné, n'oubliant pas de se prendre pour Romero quand ça lui chante, malgré quelques instants totalement "autres", alors qu'une femme-démon court au ralenti sur fond de choeurs. On notera un jusque boutisme de bon aloi, la métamorphose touchant hommes, femmes, mais aussi enfants et chien (!). Développant son bestiaire, Lamberto Bava nous offre également un mini-démon aussi brinquebalant que touchant (ceci expliquant cela ?).
  9. Toute façon, les commentaires désobligeants à l'Eurovision ça date pas d'hier : rappelons nous Fogiel et Dave... Enfin bref, sur ce... HARD ROCK HALLELUJAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh ! t'entends ? HARD ROCK HALLELUJAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh !
  10. Lord Ruthven

    Red Eye - Wes Craven (2005)

    Un Craven mineur qui tombe dans l'autocitation -la fin, très "screamesque"-. Reste que les parties en huis-clos dans l'avion sont particulièrement réussies et Cilian Muprhy est parfait dans son rôle. J'ai aimé la rupture de ton, alors que le film commence comme une romance toute naze avant de basculer dans ce qu'il est. Plaisant. Craven a de beaux restes, quoi qu'on en dise.
  11. Mon film sur Robin des Bois préféré. En même temps, y'en pas pas beaucoup finalement...
  12. Vu en salle, une belle claque. Je ne l'ai pas revu en revanche, j'avais peur que ça passe moins bien...
  13. Un petit western au ton léger que ce Je Vais, Je Tire et Je Reviens (Any Gun can Play), que l'on pourrait par exemple mettre au même rayon qu'un Sabata avec Lee Van Cleef. Peu de fusillades, plutôt des bagarres potaches mais soignées. Pas de coup de poing sur le sommet du crâne ici, mais des bourre-pifs à n'en plus finir, alors que les méchants traversent les décors. L'introduction donne le ton, alors qu'un chasseur de prime, l'Etranger -George Hilton, impeccable-, descend trois bandits habillés respectivement en Homme Sans Nom, en Django et en Lee Van Cleef. La suite restera dans la tonalité, davantage dans le gentil détournement ou le clin d'oeil amusé -voir le duel final- que dans la parodie pure et dure. Castellari livre ici un western solide et sympathique, bien que d'un style assez quelconque. On ne trouve pas encore ses célèbres ralentis. Le gout des cascades en revanche est bien présent.
  14. Le sens du commerce poussant parfois à des choses étranges, l'Empreinte de Dracula n'a rien à voir avec Dracula, ni même avec le vampirisme, et pour cause : c'est un film de Loup Garou, avec Paul Naschy. Sympathique fourre tout où le descendant d'un inquisiteur est frappé de malédiction lycanthrope pendant qu'un tueur à la hâche terrorise la région, l'Empreinte de Dracula mèle sabbat dénudé, gothique léger et petit hommage à Universal, le maquillage de Loup Garou étant quasimment le même que celui porté par Lon Chaney Jr, sans parler de la transformation reprise presque en l'état. Une intention qui a son revers, le film baignant dans un côté kitsh qui prend un peu le pas sur le côté sombre de l'ensemble. Le film n'en reste pas moins agréable à suivre et assez soigné malgré quelques zooms disgracieux.
  15. - Attends, c'est pas ce que tu crois... - Non, laisse moi deviner, t'as trébuché et t'es tombé la queue en avant sur ma femme ?
  16. Etrange...Je sais pas trop quoi en penser.
  17. Vu la moitié pour l'instant. Je suis moins convaincu que le premier épisode. Je dirai que ça frole le remplissage : il y a encore plus de dialogue que dans le premier, des flashbacks du premier, une loooongue séquence d'entrainement et comble de tout, la plupart des combats que j'ai vu se passent dans la pénombre...
  18. Terry (Sonny Chiba) est un mercenaire ultraviolent a qui il ne faut pas baver sur les rouleaux. Suite à une transaction avec la Mafia qui tourne mal, notre bonhomme se retrouve avec tout un tas de monde aux fesses. Ca va barder ! Film d'arts martiaux complètement outrancier, The Street Fighter nous fait suivre les exactions d'un combattant hors-pair qui n'aime rien tant que de briser les os de ses victimes, quand il ne les transforme pas en pizza-bolognaise. Des yeux crevés, un violeur castré à main nues, des cranes défoncés...ça n'arrête pas et le concept atteint son paroxysme lors d'un final apocalyptique où Terry défonce tout un tas de monde sur un bateau, dont un pauvre type qui rendra sa bile après un fulguropoing dans le ventre. C'est barbare, c'est parfois gore et Sonny Chiba prend des poses et des mimiques assez bidonnantes, mais malgré tout, ça sait se montrer émouvant, notamment par la relation entre Terry et son sidekick rigolo qui au fur et à mesure du film prend une dimension allant au dela du simple faire-valoir. Pas plus mal joué qu'un Bruce Lee -qui n'était pas vraiment un acteur dramatique extraordinaire, avouons le-, et plus violent, the Street Fighter est un moment sauvage et agréable.
  19. Il a une bonne bouille avec les phares ronds. J'aime bien les look un peu rétro. Tiens, le PT Cruiser par exemple :
  20. Lord Ruthven

    Mustapha ?

    Bah ça veut rien dire ça, même Arthur il fait des One Man Show maintenant.
  21. Je connais que le single bizarre. C'est comment sur un album ?
  22. Serial Killer, demi plagiat du Sous Sol de la Peur plutot sympa. Le Couvent, ça aurait pu être fun mais en fait non, j'ai trouvé ça assez chiant. C'est pourtant pas faut d'avoir été en état d'apprécier. Celui là à l'air plus ambitieux, ça me rend curieux.
  23. Pas exceptionnel, mais pas honteux non. J'aime bien la scène du sabre.
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