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Lord Ruthven

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Tout ce qui a été posté par Lord Ruthven

  1. Je sais pas si c'est une référence volontaire , mais cette scène m'a super fait penser à Tintin et le Temple du Soleil. Dans ma tête, je voyais même Tournesol débarquer et dire "cette scène de panique est admirablement bien jouée".
  2. je dirai même plus : n'a-leine de couilles (ceux qui ont vu comprendront)
  3. Lord Ruthven

    Le retour des musclés

    Les Musclés font dans le contestataire maintenant ? La rythmique "russe" du morceau sont intéressant.
  4. La scène de la panthère noire est quand même bien méchante. Après c'est sur, comparé à Saw 3 ou La Passion du Christ...
  5. Une bombe ! Epique, violent, presque muet, j'avais pas vu ça depuis longtemps. Ce film c'est la surpuissance ! Par contre, les Mayas ont des noms à la con : Ivrogne Quatre (!), Course de Tortue, Mousse qui Penche...
  6. A force de voir le SWAT dans des films et séries, il fallait bien que quelqu'un se charge d'un film sur ce groupe d'élite. Avec son casting burné, auquel s'ajoute une Michelle Rodriguez à peine moins mâle, ses dialogues fleuris et son sujet propice au badaboum, SWAT aurait pu être un film d'action un peu débile comme on en voit tant. En fait oui, mais pas que. Déjà, le traitement visuel est intéressant, tout ou presque étant filmé façon reportage pris sur le vif. D'aucun diront que Johnson fait du sous-Tony Scott, mais il faut reconnaître que l'effet est efficace. Ensuite, les personnages sont attachant et ont une vie en dehors du SWAT qu'on découvre par petit bout. D'ailleurs, on a presque l'impression que le film se termine trop tôt, alors que Michelle Rodriguez pense à sa fille tout en roulant vers sa prochaine mission. Après un prologue bourrin façon Counter Strike -la SWAT Team élimine des terroriste cagoulés et en treillis- Le film se divise en deux parties : une partie entraînement et une partie "on va au casse-pipe" qui compense le manque d'action de ce qui précédait. Si il est un peu dommage que SWAT frôle des concepts monstrueux sans y entrer vraiment -on pensera aux traquenards des gangs, sur fond de lance-roquette !-, le film reste efficace et divertissant et offre un final bien vitaminé. "Motherfucking terrorist on this motherfucking town !'
  7. Heureuse surprise, mon cinéma le passait en VO...ça m'a permis d'apprendre que les Espagnols parlaient anglais. Ce qui en soit beaucoup plus drôle qu'un Mel Gibson tournant un film en araméen. Le film en lui même oscille entre le fascinant et le grotesque SPOHugh Jachman se transforme en plante verte ILER. C'est très orienté sur les images, au point que l'histoire passe un peu à la trappe. Il y a d'ailleurs beaucoup de répétitions pour bien faire comprendre au spectateur ce qui se raccroche à quoi. J'en suis pas sorti plus chamboulé que ça, mais surtout intrigué quand au propos du film. Et un peu frustré que The Fountain ne se soit pas déroulé intégralement au temps des conquistadores. Hugh Jackman est excellent.
  8. Arielle Dombasle joue comme une patate, mais il y a des bonnes scènes, Comme celle où Smain n'arrive pas à se pignoler correctement.
  9. Mourir à Noel. Jusqu'au boût de la classe.
  10. Oui hier c'était encore du grand moment de télévision. Aurélien ne supporte plus ses parents -mais leur demande quand même de l'argent pour sortir- et tourne mal. Dans une bagarre, il a frappé son ex petite-ami qui porte plainte. Heureusement, Pascal (Le Grand Frère, qui a passé son enfance dans une banlieue du Nord), est là pour le remettre dans le droit chemin. Grace à lui, Aurélien trouvera le courage de se rendre chez son ex pour s'excuser de lui avoir cassé le bras sans faire exprès, et accessoirement la convaincre de retirer sa plainte. Celle-ci, à qui on ne la fait pas, répondra qu'il a "des choses qui ne s'oublie pas", avant de soupirer et de tourner casaque, car dans le fond, Aurélien est un bon gars qui peut changer. Ouf. Pascal (Le Grand Frère) a appliqué ses techniqués parfaitement rodées : la ballade en voiture avec speech moralisateur et la séance de sport libératrice. C'était beau. Pascal (le Grand Frère) est un héros.
  11. Bon c'est nul, mais il y a deux qualités. Déjà, on sent qu'il y a des moyens : le film a de la gueule. En outre, il faut reconnaître que Christina Appelgate est un agréable substitut à Valérie Lemercier (et à Muriel Robin). Beaucoup moins insuportable que le 2.
  12. Ah ben voila, on a trouvé la solution à la guerre des gangs : Tony Scott.
  13. Scorsese revient à ce que l'aime voir faire et ça fait plaisir. Belle réalisation, voix off, repliques de poseurs...Ca commence comme Les Affranchis à Boston, c'est super. Di Caprio est impeccable en petit frappe, Nicholson fait un numéro de fou furieux, seul bémol pour moi, Matt Damon que j'ai trouvé grotesque au plus haut point. Quand il reste sans bouger la bouche ouverte, s'en est presque gênant. Par rapport à Infernal Affairs, c'est un remake tout ce qu'il y a de plus honorable, mais il y a quelques longueurs et surtout, une thématique qui m'a semblé absente du Scorcese. Dans IA, l'infiltré dans la pègre perdait un peu ses repères à force de jouer la taupe, on le sentait lié à ses nouveaux frères d'arme. Là, j'ai eu l'impression que Di Caprio ne perdait jamais sa mission officielle de vue. M'enfin bon, ya des bonnes fusillades, des bagarres qui font mal, une intrigue intéressante quoiqu'un peu nébuleuse et surtout, un morceau de rock mêlé d'une mélodie irlandaise assez terrible. Un bon moment.
  14. Lord Ruthven

    2007 sur Arte

    Je suis triste, je viens de m'appercevoir que le Locataire n'est pas redifusé.
  15. Loin du côté bourrin qu'on aurai pu attendre de Walter Hill, cette histoire de vengeance d'un freaks est assez touchante et posée. Très beau final qui rapelle un peu Peckinpah. Petit bemol avec le personnage de Morgan Freeman, qui est un peu mal foutu.
  16. Comme tous les trucs à Courbet, c'est une connerie effroyable. On nous présente un Djeuns mal dans sa peau et qui a tout un tas de problèmes. Après cette séquence très triste arrive PASCAL (LE GRAND FRERE) dans un beau ralenti. Au début, le premier contact est difficle, alors Pascal (Le Grand Frère) emmène le jeune faire du sport. Ce dernier retrouvera le sourire et le goût à la vie. Tout va bien, Pascal (Le Grand Frère) a résolu la situation. Le jeune est un peu têtu et a de mauvaise fréquentation, mais qu'à cela ne tienne, Pascal (le Grand Frère) lui remettra les idées en place en quelques sermons sententoires bien appliqués. A la fin, le jeune est heureux, a trouvé un peu job et Pascal (le Grand Frère) s'en va sans se retourner vers le lointain, en direction de son prochain chèqu...cas désespéré à sauver. C'est beau. Je vais pleurer.
  17. Lord Ruthven

    Rebel Assaut

    Quand Lucas adapte son propre univers en jeux videos, ça donne bien sur X Wing, Tie Fighter, Dark Forces, etc...au milieu, il y avait Rebel Assaut. Rebel Assaut nous faisait vivre les grandes lignes de la trilogie, par les yeux d'un personnage n'ayant rien à voir avec les films : Rookie One, un jeune pilote. Rookie One commencera par un entraînement intensif (pilotage, tir), avant de partir au front contre les impériaux. Evidément à la fin, il s'agira de faire péter l'Etoile Noire. Entre temps, nous aurons volé dans ses canyons, abbatus des Marcheurs Impériaux sur Hoth, flingué des stromstroopers, virevolté dans un champs d'astéroides... Le jeu alterne des vues à la troisième personne ou subjective et nous fait piloter différents types d'apareils, pour bien sur finir aux commandes d'un X Wing. Très sympa.
  18. "Y'en a des bieeeeeeeeens Y'en a des bieeeeeeeeens..."
  19. Il jouera le débile ou l'alcoolique ? Bensalah, ce type est une énigme pour moi. Il s'evertue à faire de la comédie alors qu'il est à la limite de l'excellence dans le drame. D'ailleurs de ses comédies, les passages les plus réussies sont les ruptures de ton et les instants tristes. Le Ciel les Oiseaux et Ta Mère et Le Raid (pas vue Johnny Baschir) ont ceci de particulier que la comédie passe au drame et inversement sans transitions. Un coup c'est drôle (ou supposé) et léger, puis soudain, c'est plus grave, comme ça, sans crier gare.
  20. Je trouve le début assez scorcesien en fait, avec ces plans rapides sur les truands, et leurs noms qui s'inscrit. Après, Placido trouve son propre style et c'est tant mieux. D'ailleurs dans les bonus, Michele Placido parle plutot d'une influence de Pasolini.
  21. Petit up à l'occasion de la sortie DVD Ma foi, cet excellent film passe très bien au revisionage, même si ses quelques défauts ne se gomment pas -notamment un trop plein de personnages, rendant le dernier acte assez nébuleux-. Une troisième vision y remédiera peut être ? Romanzo Criminale reste cette chronique racée, commençant à la Scorcese pour s'achever de façon très dépouillée. Les bonus -de l'édition 2 DVD- ne sont ni conséquents ni indispensables, mais apportent un peu d'informations historiques complétant bien le film et aidant à sa compréhension -notamment sur Aldo Moro et son assassinat-.
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