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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Jezabel Carpi joue tellement "bien mal", que je trouve le film irrésistible rien que pour elle. Ce n'est pas un film d'exploitation, donc exit la racole en effet. Par contre le film s'intègre formidablement bien dans cet esprit parisien des années 80 qui n'en finissent pas de mourir d'ailleurs... le Palace, Jacno, Rohmer, Pascale Ogier, le sexe, le fric...
  2. C'est plutôt un compliment ça pour moi! Merci Julien.
  3. Si tu veux Jérémie, je peux te faire un montage du film incluant du Gaga! Ca peut le faire!
  4. Nicolas

    Big Fish - Tim Burton (2003)

    Je ne l'ai vu qu'une fois, à sa sortie. Je l'avais trouvé très mécanique dans son émotion "le film de la maturité", un peu rouillé, un peu prévisible aussi dans son traitement "à la Burton" obligatoire. Le gros point fort, étant les interprètes... la fin était assez joli dans mon souvenir. Il faudrait le revoir... mais j'en ai pas plus envie que ça pour le moment.
  5. Nicolas

    Alien 3 - David Fincher - 1992

    Non, c'est juste que je suis pointilleux sur l'esthétique du titre opté à sa sortie.
  6. Nicolas

    Alien 3 - David Fincher - 1992

    Des galères de production qui n'entachent pas vraiment le résultat final. Il me semble que David Fincher n'est pas totalement satisfait du produit final... quel orgueil ... il est beau, il est grand son Alien³. Le mieux filmé, et de loin le plus intense dramatiquement, avec le premier. Après le second opus en gueulorama, ça fait du bien de revenir à une terreur sourde plus profonde et plus austère.
  7. Et pour le coup, je suis d'accord! Alien³ bénéficie de l'apport de Fincher sur la saga, un ton froid, pastoral, désespéré... une singularité que n'a pas cet opus qui semble davantage un film spectateur de lui-même. Jeunet a bien importé ses "trucs" et ses gadgets, mais comme quelqu'un la très bien dit l'univers Alien, et la personnalité du cinéaste s'épousent mal.
  8. C'est la classe ce film. Et c'est un film qui se revoit sans mal. (et qui gagne à l'être même) Le BD est bien, sans plus. Y a que Johansson, avec son jeu ingrat, qui tire un peu le standing du metrage vers le bas.
  9. Je l'avais consciencieusement zappé à sa sortie, vu qu'après "Intolérable Cruauté", je n'étais vraiment pas pressé de revoir un film des frangins. Rattrapé en bd... et là, je suis bien obligé de m'incliner devant le morceau. Quelle mise en place! Quel scénario ! Quel plaisir de cinéma ou le début contemplatif et atmosphérique installe doucement une narration au brio! Beaucoup évoque Bardem, et son côté animal froid redoutable. Le film est tellement intelligent, qu'ils réussissent à rendre ce personnage à la fois effrayant et drôle. (à la Coen) Pour tout dire, le film m'a à ce point impressionné que... heu... j'en ai rêvé et même plutôt fait des cauchemars!
  10. Une petite interview du réalisateur : wuCYNmi9218
  11. Bah c'est très bien, "Souviens-toi l'été dernier"! C'est même un grand et beau classique à côté du film de Blanks. Non mais.
  12. Un psychopathe vengeur muni d'un masque de poupée tue les femmes qui l'avaient ridiculisé dans son enfance . Vive les slashers tout pourris, donc! (et de circonstance) Celui là s'était ramassé des tomates, avec les cageots compris. En vérité, je l'ai revu... et... ce n'est pas si mal. Et puis c'est toujours mieux qu'un film avec Jennifer Aniston. En tous cas, cette fois je me suis un peu plus laissé prendre au jeu (regressivité?), et j'avoue que l'apport de Denise Richards n'y est pas étranger. Elle est assez spectaculaire dedans. Pour ce qui est du postulat, c'est un peu le degrès zéro incarné, le néant abyssal sur le mode de la douce revanche, une idiotie au rendu aseptisé, du slasher pour filles TV, mais le produit fini se laisse regarder par son professionalisme et flatte l'oeil assez régulièrement. (ça sent les brouzoufs et le champagne après chaque prise, et c'est pas trop mal filmé) La distribution féminine est très bien d'ailleurs, y a vraiment que Boreanaz qui fasse réellement tache... mais c'est vrai que c'est un gros problème pour le film. A l'actif de cette nouvelle vision... l'intro avec Katherine Heigl, que je trouve vraiment très bien et dont je ne me souvenais pas. Le meurtre totalement gratuit à coup de fer à repasser, d'un voisin de palier dont tout le monde se fout, et qui m'a fait rire! Et la formidable scène du jacuzzi avec Denise, plus belle que jamais. Anecdotique en somme, complètement dispensable, mais pas si détestable que ça à l'arrivée. dA-koJi7wVU
  13. Vous n'êtes pas vif, Gilberto. Quant au film, je savais même pas qu'il était sorti.
  14. Même pas à 10 centimes chez cdiscouille Canalplay défonce en tous cas!
  15. Ah oui en effet, c'est très bien ça. Merci Pro-DJ
  16. Ne laissons pas l'oubli faire son oeuvre. le site officiel (toujours en ligne!) : http://monsite.wanadoo.fr/film-croisiere/ Dans une atmosphère chaleureuse et conviviale, sept jeunes gens partent pour une croisière de rêve. Mais après cinq jours, ils se retrouvent isolés en pleine mer. Un drame va les plonger dans l'horreur. Malgré l'angoisse et la peur permanente, le groupe tente de rester solidaire pour survivre. L'évolution dramatique, empreinte de craintes et de suspicions, fait de"Croisière" une comédie noire réaliste. Battosai sur DevilDead : Kikavu?
  17. Il ne m'avait pas emballé à l'époque celui là... trop symptomatique des 90's et son esthétique films pour video club... terne, froid, sans impact. Revu un peu à la hausse, mais j'y ai tout de même retrouvé les limites qui ne m'avaient pas beaucoup plu : mise en scène tristement fonctionnelle -très plan plan, on sent que Savini n'est pas super à l'aise dans ce rôle-, maigre apport des SFX au récit, incapacité à créer une ambiance sur la durée, musique synthé ultra moche et bas de gamme... A l'actif du film, je dirai qu'il y a quand même une volonté évidente de bien faire, mais Savini m'a semblé paralysé par son illustre modèle, il reste une certaine intégrité vis à vis du matériau de base. L'interprétation est d'un bon niveau ... Patricia Tallman, comme soulignée, est assez irréprochable... effectivement, final plutôt réussi... Non, en fait je suis assez surpris des très bons retours dessus finalement, même si c'est pas foncièrement antipathique, c'est quand même très très loin du film de 68... heu.. que bah je préfère de très loin à tous les niveaux. Sinon, vous avez réussi à parler de ce film sans citer Menahem Golan, qui est coproducteur et ça vous voyez, c'est pas très urbain! ts6Olsq9GuE Vu sur le Z2 Columbia, qui est très complet avec bande-annonce, belle copie, commentaire audio, featurette sympa.
  18. Stanley Kubrick songe aussi sortir de sa retraite après avoir vu "La Horde". Des bonnes nouvelles pour le cinéma tout ça.
  19. Vivement le prochain Dany Brillant en 78T!
  20. Michael Dudikoff recherche la cité de l'or perdue dans la forêt amazonienne. C'est une production Cannon, alors que le studio avait déjà amorcé son déclin fatal et autant dire que ce n'est pas le pauvre Steve Carver, réalisateur de "Steel" (apprécié ici) et de deux Chuck Norris anecdotiques qui sauve les meubles dans cette aventure aux minces péripéties filmées de manière ventripotente. Le casting recycle le très fatigué Donald Pleasance en éternel victime ambigüe des nazis (je ne voudrai pas gâcher le suspense), un Herbert Lom pas vraiment dedans qui devait avoir besoin de refaire sa piscine et surtout un Robert Vaughn hystérique en déclinaison de docteur mengele bien au delà de la grossiereté bis admise. C'est malheureux à dire car quelque part on l'aime bien mais Michael Dudikoff a bien du mal à tenir l'écran, sorti de ses agitations ninja. On s'en doutait un peu, mais le voir en émule d'Indy a quelque chose d'assez triste dans le résultat. Le pauvre est tellement expressif qu'on lui a ajouté une voix off pour expliquer ce qui se passe en n'dans.. ce qui témoigne d'une certaine lucidité dans le même temps. Une chose assez surprenante néanmoins, la volonté (ou négligence?) de rompre avec le public familial des Quatermain... Attention dans "la rivière de la mort" les autochtones sont quasi aussi brutaux que ceux de "cannibal holocaust" et l'usage massif des armes à feu est l'unique voix du dialogue pour le héros! On est loin de Richard Chamberlain et sa quête d'amitié envers les tribus indigènes. Difficile de s'emballer pour cette fin de série qui sentait bien la fin...
  21. Nicolas

    Bleed - Devin Hamilton (2002)

    Très juste Kevo, il y a un côté cinéma vérité YouTube dans le film. A noter aussi un générique d'ouverture, probablement réalisé par un ado dans sa cave contre un peu de shit.
  22. Une jeune femme aux pulsions meurtrières couche avec son patron (très sexy) qui lui propose d'intégrer une sorte de club un peu spécial... ou chaque membre se doit d'être assassin. L'affaire tourne au drame lors de son premier meurtre, lorsque celle ci apprends que ce club n'est en fait qu'un canular. Les membres du club sont assassinés les uns après les autres... Une toute petite production Charles Band au rendu semi amateur qui évoque visuellement davantage un porno sans sexe, qu'un slasher a proprement parler. Trois décors, une piscine, beaucoup de plans nichons et un surprenant plan "Michael Sopkiw" ou l'un des interprètes bodybuildés voit son bazar en bonne vue pour le spectateur, en donnant l'impression de l'ignorer. Ce genre de chose hisse le niveau d'un spectacle. (et aurait pu relancer la carrière de ce quacker) Les 82' s'écoulent très Z, sans enthousiasme mais sans trop de mal non plus face à l'exercice de pur remplissage que constitue le métrage. Un divertissement en soi de voir un scénariste se dépatouiller. Merci Steve et vive les slashers. (même tout pourris)
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