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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

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  2. Nicolas

    Six Pack - Alain Berberian

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  3. paye ton best of! [dmotion]xae4in[/dmotion]
  4. Nicolas

    Top Secret! - ZAZ - 1984

    J'aime bien aussi l'amant du lagon bleu. Mais sinon, pouet pouet, manque de rythmique comédie. Mel Brooks est finalement plus drôle avec les nazis. Situations s'enchainant sans réelle grâce. Moi je réserve mon potentiel lacrymal aux mélos décriés.
  5. Tout le monde est à peu près d'accord pour souligner l'aspect jouissif, décadent, et nawak de ce death wish... mais le suivant, "le justicier braque les dealers" chez nous, le dépasse presque d'un gland.
  6. Nicolas

    Top Secret! - ZAZ - 1984

    J'ai revu le film en dvd, il n'y a pas si longtemps... je ne trouve pas que le film profite si bien que ça des années. Des choses surnagent, des situations et des répliques font rire... mais je ne sais pas... la sauce a tourné dans l'ensemble. Ah la fausse vache qui se fait enculer par la vraie. J'ai plus 8 ans, ça me fait plus rire. Comme dirait Simon Monceau, à vous de voir.
  7. En branlant Google, j'ai trouvé mieux que Disc King... Le Best of Dancing Machine... ce qui devrait répondre à Norman... http://video.google.fr/videoplay?docid=2455005509581531482&hl=fr enjoy!
  8. Oui, je sais, mais l'as-tu lu? De l'érotisme avec Alain, qui donne TOUT ! [dmotion]xa65ss[/dmotion]
  9. Des morts étranges surviennent dans le cours de danse que dirige Alan Wolf assisté par Chico. L'inspecteur Eparvier enquête. La jeune Daphné sera-t-elle la prochaine victime? Wolf la fait travailler jusqu'à épuisement; Chico est tué. Mais le pervers n'est pas celui qu'on pense... GILLES BEHAT / ALAIN DELON / CLAUDE BRASSEUR / PATRICK DUPOND / TONYA KINZINGER / SCENARIO : MARC CERRONE / PAUL-LOUP SULITZER / DIDIER DECOIN / MUSIQUE : MARC CERRONE & PROKOFIEV , la magie des noms, le fracas du trivial et du divin. Le nanar vibrant des 90's. Des dialogues ahurissants, des situations et une mise en scène surréaliste (dont un suicide au rond-point) un Delon des grands jours avec un balai de chiotte dans le cul qui collectionne les répliques sentencieuses et qui explose la vulve de Tonya Kinzinger sur du Prokofiev, une intrigue absolument gigantesque avec un retournement final qui vous fera dire : quel génie ce Didier Decoin ! [dmotion]xa65eg[/dmotion]
  10. Etonnant de retrouver John Badham sur une telle question de société. Le résultat est déconcertant de tact. Le film ne tombe jamais dans le mélo plombant et ne dérive jamais des vraies questions qu'il pose et expose avec honnêteté les implications profondes de son sujet. On aurait pu craindre derrière ce magnifique sujet à oscar, un abattage hollywoodien avec un Richard Dreyfuss agonisant le goutte-à-goutte dans une main, l'oscar dans l'autre. Jamais le film ne tombe dans cet écueil . Sa sobriété n'en est que plus salutaire. Le Huis clos de l'environnement hospitalier, tout en étant pesant, est rendu affrontable par sa composition. Aux côtés de Richard Dreyfuss, John Cassavates insuffle à son personnage l'épaisseur complexe de la vieille garde médicale face à une question éthique. Christine Lathi, crédible, apporte une présence féminine qui ne se transforme pas en romance condamnée d'avance. Ce qui rends d'autant plus émouvant la relation tissée avec son patient. Bob Balaban dans l'un des éternels emplois des années 80, au choix scientifique, bureaucrate ou gynecologue astygmate. Ici ce sera avocat. Les plus attentifs repéreront la présence de Jeffrey Combs, alors interne.... ca ne s'invente pas...
  11. Ayant découvert une magouille tournant autour des courses de chevaux, deux amis décident de rentrer dans la danse et d'en tirer profit. Ils se heurtent en premier lieu aux deux hommes qui ont monté la combine et qui ne l'entendent pas de cette oreille. D'autant plus que l'un des deux amis va avoir une liaison avec le patron de la pègre local, qui tire les ficelles derrière cette arnaque hippique. Houlala c'est un peu terrible à dire d'un film d'Edwards, mais c'était pas très drôle, poussif et globalement bien décevant. Quelques apparitions plutôt sympathiques comme Dennis Franz en beau frère crédule, mais le duo vedette Danson / Mandel manquent singulièrement de peps. Bon j'ai quand même ri quand Richard Mulligan se prends un gode et court à 200km/h. C'est n'importe quoi.
  12. Arf. Comment peut-on dire que cela ne raconte rien... enfin... Il est superbe ce film, en plus c'est le summer of the 80's... et dans la bande son pêle mêle tangerine dream (risky business), les cars... Laura Linney, impeccable comme d'hab. Jeff Daniels, très juste... et ces ados déboussolés sonnent juste pour une fois. J'ai eu peur quand le chartreux s'échappe.
  13. Quelle gratitude. Mais nous sommes largement quitte avec "poing de force", mon chou.
  14. C'est pas gentil ça... Ce n'est pas méchant non plus. Une rediffusion de Dirty Dancing ne peut réjouir personne.
  15. http://www.youtube.com/watch?v=OxuoDEB1XX4 Vu y a longtemps sur canal+, c'est d'ailleurs suite à cette diffusion que le film a eu un regain de popularité en France, parce qu'il était plutôt passé inaperçu à la base. Faut s'attendre à ce qu'il repasse sous peu à la télé, d'ailleurs...
  16. Chilly D est un jeune homme de New York de 1984, qui ne vit que pour le plaisir de rapper et de breakdancer avec son groupe, les Body Rocks. Une nuit, Chilly reçoit une offre unique de devenir une star. [wow le résumé] Quelqu'un évoquait le bon souvenir de Lorenzo Lamas (je crois que c'était à l'occasion de la ressortie de GREASE), dans ce truc oublié, il a l'air de faire face quand même. L'imdb met l'eau à la bouche : This film is listed among the 100 Most Enjoyably Bad Movies Ever Made in Golden Raspberry Award founder John WIlson's book THE OFFICIAL RAZZIE® MOVIE GUIDE. Jamais vu, il a vraiment la réputation d'être sacrêment horrible, mais faudrait faire une rétrospective avec les Breakin' à l'occasion. kMoFmcjqnIg
  17. T'as oublié de mentionner Sheila. [dmotion]x78o76[/dmotion]
  18. Non, c'était pour Terminator 3! Mais je vois que t'as de la mémoire dis donc.
  19. On ne devrait pas avoir le droit de dire du mal de certains films.
  20. Ah ! je l'ai vu en salle avec un cousin américain de 12 ans qui mange du pop corn, il me pointait d'un regard inquisiteur et réprobateur pendant toute la projo de l'avoir amené voir ça. Cela m'avait complètement gaché cette séance qui n'avait pas besoin de ça. Ah Johnny, tu nous mène nulle part.
  21. Il est mignon le mec au milieu. C'est qui?
  22. Nicolas

    Lucky Luke - James Huth - 2009

    Je n'en peux plus de Jean Dujardin. Son nom sur une affiche, rien que d'un point de vue graphique, me fait un effet désolant. La star française en mousse.
  23. Nicolas

    Waterworld - Kevin Reynolds (1995)

    Le film préserve un équilibre sain entre le mal dégrossi et la touche de sensibilité. Bien sur le personnage de Costner est assez antipathique de prime abord, mais plus ça va... plus les femmes le révèlent à sa nature. (Jeanne Tripletrompe et la petite mongolienne) Les fulgurances Z de post nuke italien sur l'eau rendent l'entreprise aussi peu étanche que touchante. Un joli thème de JNH, dans un ensemble pompier sans biscoto, qu'on dirait la BO de Bloodsport avec Van Damme sermonné par son maître. Tqs37gk5ZRo
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