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Commissaire Tanzi

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Tout ce qui a été posté par Commissaire Tanzi

  1. Christopher Mcquarrie, scénariste plutôt doué et j'ai un super bon souvenir de Way of the gun qui est désormais cantonné à des Tomcruiseries sans âmes. Chuck Russel, avec Freddy 3 et le Blob, on y a tous cru à l'époque.
  2. C'est chez LCJ mais la restauration est de bonne qualité.
  3. J'essaie de te numériser ça dès que j'ai un moment. Et quitte à rester dans un univers de coquinou: hDgR7c6G5Kc
  4. T'inquiète pas, c'est pas chez Gaumont !
  5. Le film a été restauré il y a un an ou deux, il existe un master HD mais je ne sais pas si une sortie officielle est prévue...
  6. Les 5 tomes sont mortels. C'est un beau boulot d'édition mais il s'agit d'une essentielle et non d'une intégrale. Vu ce que raconte la biographie de Fukutani, il semble qu'il fallait faire un sacré tri dans les histoires. ..
  7. C'est la différence entre le blu-ray à 24i/s et le dvd qui est en 25i/s
  8. Ah bon ? Depuis quand la Suède fait-elle partie des "pays de l'Est" ? Très chouette en tout cas. sorry, je pensais que c'était polonais ou un truc comme ça... Je sens que tu confonds avec "L'évasion du cinéma liberté " qui est quand même un peu moins rigolo.
  9. J'en ai vu des bouts, ça a pas l'air honteux. Maintenant ça m'a pas fait rire du tout, mais clairement, je suis pas dans la cible. Effectivement, photo et réal plutôt correcte, on est au-dessus d'un Philippe de Chauveron. Y'a même des FX en latex à l'ancienne....
  10. ça dépend de la sensibilité des mômes, ma grande pouvait voir des trucs un peu sec assez tôt. Il faut en profiter, ça permet de montrer du classique et des trucs plus contemporains mélangés, sans les réflexions genre "ce truc de vieux". Là elle à 13 ans, je l'ai emmené voir la reprise des "Guerriers de la nuit", elle a bien kiffé. Mon petit de 4 ans, en revanche, je sens que ce sera pas la même. Bon, il aime quand même le Tokusatsu...
  11. Amy Smart? Elle est tant que ça dans la dèche?
  12. Vraiment bien apprécié ce mélange entre la série B gothique Hammer/Universal et le cinéma surréaliste d'Europe de l'est. Verbinski semble pouvoir faire ce qu'il veut, ce qui donne un scénario souvent bancal et incohérent, mais le film est tellement beau, jonché de scènes fortes, parfois drôles, souvent malaisantes (ça se dit ça?) que ça n'est pas gênant. Et putain, ça va loin..quand tu pense au logo Fox au début du film, ça déroute un peu. Est-ce que le succès surprise de Deadpool ne les aurait pas poussé à s'aventurer dans une production dont ils ne saisissaient pas tout?
  13. Ça ne décolle jamais vraiment, malgré des acteurs convaincants et quelques jolis plans. Le thème de base et sa résolution ont été balisé par des centaines de films et de séries avant eux et on se retrouve dans une balade tranquille, sans tension ni surprise (sauf qui m'a un peu sorti de ma torpeur) avec quelques éléments (le drône et ses vues en caméra de surveillance) qui semblent sortir d'un DTV Netflix. J'imagine que le final se veut à la hauteur des dernières franchises pour ado, mais je ne suis pas expert sur le sujet, et je vais tacher de ne pas le devenir.
  14. J'en peux plus, cette série me suit depuis les années 90, quand ça s'appelait encore UFO. Quand le remake est sorti il y a 3 ou 4 ans, je l'attendais le couteau entre les dents et j'y ai finalement englouti l'essentiel de mon temps libre, car comme la série originale, la rejouabilité est totale. Pour le 2, je crois que c'est le premier jeu que j'ai pécho day one, payé plein pot, malgré l'avalanche de bug dont il souffrait à sa sortie. Xcom, c'est de la vraie belle stratégie en tour par tour, une sorte de gigantesque jeu de plateau que seul un jeu vidéo (ou une table de 120m²) peut vous offrir. Vous êtes dans la peau d'un commandant qui doit gérer son budget, définir ses priorités de recherche, de fabrication d'armes, d'optimisation de base, qui doit faire avancer l'intrigue, faire des choix réfléchis (chaque erreur se paye, et pas forcément immédiatement). C'est aussi une phase escarmouche bien tendue sur le modèle d'un jeu de figurine, avec des maps parfaitement conçues et des ennemis qui ne vous feront pas de cadeaux. Le 2 commence sur un constat très simple: Vous avez perdu dans le 1er (et vu le niveau de difficulté, c'est crédible). La terre est désormais aux mains d'une corporation extra-terrestre qui cache la vérité au peuple et vous vous retrouvez dans le rôle inverse: c'est vous qui attaquez le pouvoir en place. Si les qualités du jeu sont toujours aussi incroyables, putain le scénario, c'est vraiment la honte...vos soldats semblent sortir de la rave partie de Matrix 2, les chefs d'atelier racontent leurs vie de merde (Heureusement, on peut couper les dialogues) et certaines créatures ont un look proche du n'importe quoi. Mais si vous réussissez à faire abstraction de cette histoire pour débiles profonds, sacrifice qui semble nécessaire pour tout passage à un budget triple A, le plaisir de jeu est bien là et vous vous surprendrez à rester planté une dizaine d'heure devant l'écran sans arriver à en décoller. La perfection ludique.
  15. J'en arrive à me demander si j'aime encore le cinéma quand je vois un navet pareil se prendre autant de bonnes critiques. C'est moche, c'est fade, ça n'a aucun souffle ni tension, ni suspense...et ça se prend tellement au sérieux. Entre les premières minutes qui n'ont aucun sens ( et le name-dropping de planètes dont on a rien à foutre (On y passe rarement plus de 5mn), j'ai été fixé sur mon sort pendant la séance. Pour un film centré sur eux, les personnages n'ont pas la moindre consistance.... L'héroïne passe de ses 5 ans à ses 20 en un clin d'oeil, sans qu'on sache comment elle a grandi et quelle a été l'influence de son père adoptif, et on devrait s'attacher à elle? Pareil pour son pote des services secrets rebelles. . La fin est censée être courageuse, mais comme les mecs crèvent tous à la chaine en 10mn, ben du coup, ça ne m'a pas franchement bousculé. En fait j'en ai un peu assez de cette façon qu'a Disney de produire des films. Marvel et Star Wars partagent désormais les mêmes défauts: une photo moche, une direction artistique cheap, un langage télévisuel (blabla-scènes d'action-blabla-scène d'action), du fan-service à (pour?) gogo et surtout une volonté de ne jamais sortir le spectateur de sa routine, c'est qu'il ne faudrait surtout pas bousculer qui que ce soit en proposant des trucs nouveaux (ce que Star Wars à toujours fait, même dans la précédente trilogie, qui aura au moins eu cette qualité). Après un épisode 7 qui ressemblait à un fan film et ce spin off qui à la consistance d'un scénario de jeu de rôle, j'abandonne cet univers...
  16. Vous pouvez me laisser travailler s'il vous plait? Merci
  17. XCOM (meilleur jeu de la terre pour moi) Les 3 Batman Arkham Red Dead Redemption Bully Vanquish Crackdown (le 1 uniquement) Smackdown vs Raw (2007 ou 2008 de preference, plus moche mais plus technique) Bioshock (le 1 uniquement) Borderlands 1 et 2 Beautiful Katamari Lost Planet (le 1 uniquement) Rockband, si tu arrives à choper la batterie (pour la guitare, prendre celle de Guitar Hero)
  18. C'est vraiment bien? Le jeu s'est pourtant fait défoncer de partout...
  19. Le Vagabond de Tokyo de Takashi Fukutani. Je n'ai jamais été le public des mangas, même si je me suis toujours douté que le Japon doit avoir des merveilles en BD, tout est tellement noyé par la quantité qu'a chaque arrivée dans les rayonnages, je me retrouve un peu désarmé et je laisse tomber. Et les premières grosses éditions sorties dans les années 90 ne m'avaient pas non plus ému... Mais la persévérance paye et je dois dire que Le Vagabond de Tokyo est une des BD les plus attachantes que j'ai jamais lu. Ca raconte l'histoire de Yoshio, un marginal feignant, alcoolique et obsédé sexuel, toujours en quête du bon coup qui lui permettra d'en tirer un ou de devenir riche facilement. Evidemment, ça ne marche jamais...C'est à la fois drôle, assez trash et en même temps tragique, c'est un portrait de japonais loser, laissé pour compte pour n'avoir pas eu envie de faire partie de la fameuse bulle économique des années 80/90. Pour tenter une comparaison, je dirai que j'ai souvent pensé à Reiser et Bukowski pendant la lecture. L'auteur a suivi un parcours assez similaire, ayant fugué à 16 ans de son petit village pour monter à Tokyo, enchainant les boulots de chantier payé à la journée et vivant dans un taudis. Sa bio dans le tome 1 est assez hallucinante...
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