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FUCK YOU BILL MURRAY

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Tout ce qui a été posté par FUCK YOU BILL MURRAY

  1. Je n'ai pas trouvé une version en VO avec sous-titre anglais.
  2. Ce film est la deuxième adaptation du roman de Oniruku Dan, la première avait été réalisé par Masaru Konuma (une femme à sacrifier, la vie scrête de madame yoshino) en 1974 et était une authentique petite perle ! Cette adaptation a été réalisée par Takashi Ihii (un des seul cinéaste japonais de genre à s'intéresser à la condition de la femme dans son pays, et à raconter des histoires uniquement depuis un point de vue féminin) qui n'avait quasiment rien tourné depuis FREEZE ME. Il me tarde de le voir !
  3. A la vision de ce film, je me suis dis qu'il fallait pardonner le mec qui l'avait réalisé ce film car un 1er film est souvent plein de maladresses. J'ai appris par la suite que c'étais son 5ème. J'ai vu hièr HIGHWAYMEN, sur un sujet très similaire, c'est quand même une autre limonade. Et au moins on se coltine pas l'humour "springbreak" d'ado Ricain. L'humour dans ce genre de film est rarement une plus-value, jamais un parti-pris de mise en scène, c'est bien ça qui le rend artificiel et irritant.
  4. La "décérébration" de SHOOT'EM UP m'a paru terriblement convenue, c'est sûrement ce qui m'a le plus ennuyé pendant la projection (outre le fait qu'au bout de 5 minutes de film, le metteur en scène avait déjà repompé une scène entière de TIME & TIDE). Il y a quand même un énorme fossé entre ce que le film prétend être (ou ce que le film est vendu pour être) et ce que le film est réellement. Michael Davis aimerait être un croisement entre John Woo et Takashi Miike, mais n'a que le talent d'un ersatz de Tarantino & Guy Ritchie.
  5. Clive Owen ne joue pas dans la question humaine pourtant ??? Ahhh la bonne vieille querelle cinéma de genre versus cinéma d'auteur...
  6. Moi Clive Owen m'a fait pitié de se retrouver dans cette bouse imbitable. Si je n'étais allé voir un autre film dans la foulée, je serais pas resté 20 minutes.
  7. C'est marrant, en sortant de la salle je me disais EXACTEMENT LE CONTRAIRE ! Lors de la baston avec le Marocain, on a pas du voir la même scène, je crois n'avoir jamais vu une scène aussi "lisible" en terme de mouvements et de raccords-montages pour des prises de vues caméra à l'épaule. Je suis allé voir 28 WEEKS LATER juste après, ça m'a permis de comprendre ce qu'étais vraiment une "scène d'action illisible". A part ça, le film est d'une densité rarement atteinte dans un film de ce genre. J'ai été happé par le film comme rarement je l'ai été.
  8. Pas mal cette séquelle, même si le film manque terriblement d'un personnage principal. On crois d'abord que c'est Carlyle, puis l'infirmière, puis le soldat, puis les gamins... L'identification fonctionne difficilement dans ces conditions. Même défauts que le 1er : Un début terrible, un milieu un peu mou, une fin un poil décevante.
  9. Pas digne de lui ? Tu penses vraiment qu'il va se contenter de tourner un "simple remake" ? Je crois au contraire qu'il est face au plus grand défi de sa carrière. C'est plutôt courageux de sa part. Vu comment les technologies ont évoluées, je me demande comment il va remaker la "scène de la bande vidéo"...
  10. FUCK YOU BILL MURRAY

    Gerardmer 2008

    PLus sérieusement, quels sont vos bons plans / possibilités / alternatives de logements durant le festival, les hôtels que vous avez testés, les bons gîtes, etc... ?
  11. Sauf qu'avec lui on est prévenu d'entrée, la même chose passe quotidiennement pour du journalisme sur toutes les chaînes TV de France et j'entends personne s'offusquer, sans doute parce que Pujadas et PPDA ne sont pas gros et de gauche. Mais si, moi je m'en offusque quasiment tout les jours, et je crois que je ne suis pas le seul, il se trouve juste que les gens ayant un regard critique envers les images critiquent de manière égale les journaux télé manipulateurs et les documenteurs, et qu'à l'inverse les gens qui ne veulent pas faire cet effort prennent tout pour argent comptant. Je ne dis pas qu'un "réalisme total" dans le documentaire est possible, mais il y a quand même des limites dans la manipulation de la réalité... Pour moi, à essayer de divertir en même temps qu'il "informe", Moore va déja trop loin. Quand je cherche des informations, je n'ai pas besoin qu'un clown qui jongle me les donne en chantant, je suis assez grand pour comprendre les informations de manière brute. C'est ça le truc qui me pose le plus de soucis avec ce gars...
  12. je le pense aussi mais on ne sait jamais, il parle peut etre en connaissance de cause! Je parle en connaissance de cause de ses autres films. Pourquoi ? Moore as t-il arrêté d'essayer d'amuser les gens tout en tentant de leur faire croire que regarder ses films allait les rendre intelligent ? Dans ce cas prévenez-moi. Si c'est le même système qu'avant (montage manipulateur, chantage affectif à l'égard du spectateur, vérité sélective), je préfère encore regarder... un bon film !
  13. Michael Moore c'est ZONE INTERDITE au cinéma, la prétention du discours en plus.
  14. La scène du meurtre façon "Comtesse Bathory" est vraiment splendide (photo, mise en scène), la scène avec Deodato en featuring est pas mal non plus... Le reste est assez mou et n'apporte pas grand chose à l'ensemble, néanmoins j'ai trouvé ce "II" plus "adulte que le premier.
  15. "Annoncée de longue date et maintes fois reportée, la sortie du 1er album solo d’Arnaud Michniak tombe finalement à point nommé. En effet, l’ex-Diabologum délaisse son projet Programme pour publier Poing Perdu sous son propre nom au moment où l’été balbutie, que l’air est de plomb et l’ambiance générale qui flotte en France plutôt nauséabonde. Il s’agit en réalité d’un mini album, regroupant 8 morceaux pour moins de 24 minutes d’une plongée claustrophobe dans les troubles du toulousain. Chiche en mélodie, voire carrément hermétique à l’idée même de musicalité par moment, Poing Perdu est une succession de phrases désabusées et définitives, martelées avec entêtement et abnégation, comme autant d’uppercuts. Du style, "personne ne m’arrêtera car je vais nulle part" répétée à l’envie sur le morceau titre, décliné en 3 versions. Une guitare nerveuse, une boite à rythme salement méchante et les paroles, la voix de Michniak suffisent à faire de J’Attends, un manifeste au mal-être. Allant encore plus loin dans sa démarche artistique que les albums pourtant intransigeants de Programme, Michniak affirme un peu plus fort encore qu’il ne fera aucune concession. Pour paraphraser ce poète punk, on attend, ça devient insupportable et on devient fous. Le moyen le plus radical de ne pas "mourir idiot". " http://www.autresdirections.net/article.php3?id_article=1180 Album à télécharger ici : http://blackcatboneseditions.blogspot.com/2007/06/appel-ca-comme-tu-veux.html
  16. Un film "Femis" sous influence Lynch. Globalement, l'intrigue est un peu Moll, non ? (...)
  17. Ne jamais dire jamais. Tu connais le proverbe. Aimer Inland Empire c'est comme avoir la foi, ça ne s'explique pas, mais c'est une expérience similaire.
  18. C'est TOUJOURS une très belle femme Pffffiou, c'est vraiment mon premier amour platonique de jeunesse Mathilda May... Dire que j'avais l'affiche de ce navet qu'est LA PASSERELLE dans ma chambre à 12 ans Heureusement que je suis tombé sur mad Movies un an plus tard, ça aurais pu très mal finir cette histoire...
  19. Le jour où je reverrais ce film, ça sera en salle. Ou jamais.
  20. Je voudrais me téléporter le jour de la diffusion du début de la saison 4...
  21. C'est bien là que réside tout l'intérêt du film non ? Putain, cette scène de l'enterrement de la fillette où on ne sait plus si on doit pleurer ou éclater de rire ! Franchement, parvenir à ménager toutes ces couches, tout ces genres tout en restant compréhensible, ça tient du génie. Qui en France serait capable de réaliser un truc aussi complexe et tordu tout en restant "grand public" ? Réponse : personne.
  22. Moi j'ai pas compris si le réal prenait au sérieux ou si il tournait en dérision les personnages des bidasses. Grosse erreur de traitement à la base, donc. Quel dommage que Aja n'ait jamais pu tourner son scénario à base d'immigrés clando Mexicains qui se font défourailler... Le studio a peut-être eu peur que le public ne se reconnaisse pas dans des personnages de la sorte... Vraiment dommage.
  23. Ce qui m'a sauté aux yeux la première fois que j'ai vu ce film c'est que le film est déjà en soit un "jeu qui ne se joue pas" (un but, pleins de niveaux, des "boss" à affronter), c'est aussi ce qui en fait son grand intérêt et sa facture avant gardiste. Au delà de l'aspect "théorique" : Je surkiffe ce film, je le regarde super régulièrement.
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